cary – Übersetzung – Keybot-Wörterbuch

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Keybot 194 Ergebnisse  www.biographi.ca  Seite 5
  Biography – CARY, LUCIU...  
CARY, LUCIUS BENTINCK, 10th Viscount FALKLAND
CARY, LUCIUS BENTINCK, vicomte FALKLAND
  Biography – CARY, LUCIU...  
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  Biography – ANTHONY, GA...  
CARY, LUCIUS BENTINCK, 10th Viscount FALKLAND (Vol. 11)HOWE, JOSEPH (Vol. 10)MEUSE, ANDREW JAMES (Vol. 7)
CARY, LUCIUS BENTINCK, vicomte FALKLAND (Vol. 11)HOWE, JOSEPH (Vol. 10)MEUSE, ANDREW JAMES (Vol. 7)
  Biography – CARY, GEORG...  
James E. Hendrickson, “CARY, GEORGE HUNTER,” in
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  Biography – CARY, GEORG...  
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  Biography – SHADD, ALFR...  
Both Alfred Shadd’s grandfather Abraham Doras Shadd and his aunt Mary Ann Camberton Cary [Shadd*] had been prominent activists in Ontario’s black community. Trained initially in Toronto as a teacher, he taught for at least a year at the same racially segregated school in Chatham in which he had been educated.
Après un an à Kinistino, Shadd retourna à la University of Toronto, où il termina ses études de médecine avec distinction en 1898, puis retourna à Kinistino afin d’exercer sa nouvelle profession. Comme il parcourait sans cesse la vallée de la rivière Carrot pour soigner des malades, il se fit vite connaître par son dévouement. En 1904, il réinstalla son cabinet dans une localité voisine, Melfort, où il tint aussi une pharmacie pendant un temps. Trois ans plus tard, il partit pour l’Europe en vue de faire des études de troisième cycle à Édimbourg et à Paris, mais un manque d’argent l’obligea bientôt à renoncer à ce projet et à reprendre l’exercice de la médecine à Melfort.
  Biography – BARKER, WIL...  
In 1927 the Toronto Maple Leafs’ manager, Constantine Falkland Cary (Conn) Smythe*, a former RAF pilot, had Barker appointed the first president of the hockey club, a symbolic gesture to help raise the losing team’s profile.
En 1927, à l’instigation du directeur sportif des Maple Leafs de Toronto, Constantine Falkland Cary (Conn) Smythe*, ancien pilote de la Royal Air Force, Barker devint le premier président de l’équipe de hockey. Cette nomination symbolique, espérait-on, contribuerait à faire oublier les défaites du club. Smythe, toujours sobre, ne comprenait rien aux problèmes émotifs de Barker et n’avait aucune compassion pour les buveurs – situation qui les mit tous deux dans l’embarras en public. Barker fut aussi nommé directeur général d’une compagnie ontarienne de culture du tabac dont le propriétaire était le père de sa femme, Horace Bruce Smith. Cependant, Barker ne fumait pas, et l’agriculture lui répugnait. Cette sinécure offerte par un beau-père qui ne le portait pas dans son cœur n’avait rien de gratifiant ; elle était peut-être même humiliante.
  Biography – CARY, GEORG...  
Cary arrived in Victoria, Vancouver Island, on 26 May 1859. Douglas was impressed with his background, intelligence, and energy and appointed him also acting attorney general of Vancouver Island in August 1859; one week later Cary announced his candidacy to represent Victoria Town in the second House of Assembly for Vancouver Island.
Cary arriva à Victoria, Île-de-Vancouver, le 26 mai 1859. Impressionné par sa formation, son intelligence et son énergie, Douglas le nomma également procureur général intérimaire de l’Île-de-Vancouver en août 1859 ; une semaine plus tard, Cary annonça sa candidature au poste de représentant de la ville de Victoria à la deuxième chambre d’Assemblée de l’Île-de-Vancouver. Dans la lutte qui s’ensuivit, marquée d’accusations d’irrégularité et de malveillance, Cary l’emporta sur Amor De Cosmos*, un « réformiste » opposé au gouvernement. De 1860 à 1863, Cary servit comme ministre des Finances
  Biography – CARY, GEORG...  
Cary arrived in Victoria, Vancouver Island, on 26 May 1859. Douglas was impressed with his background, intelligence, and energy and appointed him also acting attorney general of Vancouver Island in August 1859; one week later Cary announced his candidacy to represent Victoria Town in the second House of Assembly for Vancouver Island.
Cary arriva à Victoria, Île-de-Vancouver, le 26 mai 1859. Impressionné par sa formation, son intelligence et son énergie, Douglas le nomma également procureur général intérimaire de l’Île-de-Vancouver en août 1859 ; une semaine plus tard, Cary annonça sa candidature au poste de représentant de la ville de Victoria à la deuxième chambre d’Assemblée de l’Île-de-Vancouver. Dans la lutte qui s’ensuivit, marquée d’accusations d’irrégularité et de malveillance, Cary l’emporta sur Amor De Cosmos*, un « réformiste » opposé au gouvernement. De 1860 à 1863, Cary servit comme ministre des Finances
  Biography – DUNSMUIR, J...  
His three and one-half years as British Columbia’s lieutenant governor, from 11 May 1906 to 11 Dec. 1909, were noteworthy for the active social life which centred on Cary Castle, the official residence.
avait raison de noter, à propos de Dunsmuir : « ses antécédents et sa formation [...] ne l’[avaient] pas préparé aux situations et aux compromis que comportait une carrière politique ». Dunsmuir ne fut guère qu’une figure de transition dans la période où la province s’acheminait péniblement vers le gouvernement de parti, mais il eut tout de même quelque influence sur le poste de premier ministre, qu’il occupa du 15 juin 1900 au 21 novembre 1902. Quant aux trois ans et demi durant lesquels il fut lieutenant-gouverneur de la Colombie-Britannique, du 11 mai 1906 au 11 décembre 1909, ils furent remarquables en raison de la vie mondaine qui régna à la résidence officielle, Cary Castle.
  Biography – GIBBS, MIFF...  
CARY, GEORGE HUNTER (Vol. 9)DE COSMOS, AMOR (Vol. 12)APPLEBY, CHARLES (Vol. 15)
Amérique du Nord – Canada – Colombie-Britannique – Île de Vancouver
  Biography – CARY, GEORG...  
CARY, GEORGE HUNTER, lawyer and politician; b. 16 Jan. 1832 in Woodford, Essex, England, the eldest of the ten children of William Henry Cary and Elizabeth Malins; m. Ellen Martin on 6 Nov. 1858; d. 16 July 1866 in London, England.
CARY, GEORGE HUNTER, avocat et homme politique, né le 16 janvier 1832 à Woodford, dans le comté d’Essex, en Angleterre, aîné des dix enfants de William Henry Cary et d’Elizabeth Malins ; il épousa Ellen Martin le 6 novembre 1858 ; décédé à Londres le 16 juillet 1866.
  Biography – CARY, GEORG...  
CARY, GEORGE HUNTER, lawyer and politician; b. 16 Jan. 1832 in Woodford, Essex, England, the eldest of the ten children of William Henry Cary and Elizabeth Malins; m. Ellen Martin on 6 Nov. 1858; d. 16 July 1866 in London, England.
CARY, GEORGE HUNTER, avocat et homme politique, né le 16 janvier 1832 à Woodford, dans le comté d’Essex, en Angleterre, aîné des dix enfants de William Henry Cary et d’Elizabeth Malins ; il épousa Ellen Martin le 6 novembre 1858 ; décédé à Londres le 16 juillet 1866.
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CARY, LUCIUS BENTINCK, 10th Viscount FALKLAND – Volume XI (1881-1890)
CARY, LUCIUS BENTINCK, vicomte FALKLAND – Volume XI (1881-1890)
  Biography – ROBIE, SIMO...  
HALLIBURTON, Sir BRENTON (Vol. 8)McCULLOCH, THOMAS (Vol. 7)RAMSAY, GEORGE, 9th Earl of DALHOUSIE (Vol. 7)CAMPBELL, Sir COLIN (Vol. 7)CARY, LUCIUS BENTINCK, 10th Viscount FALKLAND (Vol. 11)CROKE, Sir ALEXANDER (Vol. 7)HOWE, JOSEPH (Vol. 10)INGLIS, JOHN (Vol. 7)More
KEMPT, sir JAMES (Vol. 8)McCULLOCH,THOMAS (Vol. 7)RAMSAY, GEORGE, 9e comte de DALHOUSIE (Vol. 7)CAMPBELL, sir COLIN (Vol. 7)CARY, LUCIUS BENTINCK, vicomte FALKLAND (Vol. 11)CROKE, sir ALEXANDER (Vol. 7)HARVEY, sir JOHN (Vol. 8)HOWE, JOSEPH (Vol. 10)FR:More
  Biography – NUGENT, RIC...  
ANNAND, WILLIAM (Vol. 11)CAMPBELL, JOHN GEORGE EDWARD HENRY DOUGLAS SUTHERLAND, Marquess of LORNE and 9th Duke of ARGYLL (Vol. 14)CARY, LUCIUS BENTINCK, 10th Viscount FALKLAND (Vol. 11)CRAWLEY, EDMUND ALBERN (Vol. 11)CROSSKILL, JOHN HENRY (Vol. 8)GIDNEY, ANGUS MORRISON (Vol. 11)HOWE, JOSEPH (Vol. 10)JOHNSTON, JAMES WILLIAM (Vol. 10)More
YOUNG, GEORGE RENNY (Vol. 8)ANNAND, WILLIAM (Vol. 11)CARY, LUCIUS BENTINCK, vicomte FALKLAND (Vol. 11)CRAWLEY, EDMUND ALBERN (Vol. 11)CROSSKILL, JOHN HENRY (Vol. 8)GIDNEY, ANGUS MORRISON (Vol. 11)HOWE, JOSEPH (Vol. 10)JOHNSTON, JAMES WILLIAM (Vol. 10)FR:More
  Biography – CARY, GEORG...  
Cary’s sojourn in the Cariboo goldfields in 1863 resulted in both financial and professional setbacks and markedly affected the state of his health. To a long-standing eye affliction and recurrent attacks of rheumatism were added new signs of increasing mental instability.
Le séjour de Cary dans les champs aurifères de Cariboo ne lui apporta que des revers, tant financiers que professionnels, et affecta notablement sa santé. À une maladie des yeux dont il souffrait de longue date et à de fréquentes attaques de rhumatisme vinrent s’ajouter des signes de déséquilibre mental. À l’été de 1864, le successeur de Douglas au poste de gouverneur de l’Île-de-Vancouver, Arthur Edward Kennedy*, accusa Cary d’irrégularités financières, et en particulier de tirer des honoraires excessifs du gouvernement pour des services juridiques sans rapport avec la cour. Plutôt que de se défendre de ces accusations, Cary démissionna.
  Biography – CARY, GEORG...  
Cary’s sojourn in the Cariboo goldfields in 1863 resulted in both financial and professional setbacks and markedly affected the state of his health. To a long-standing eye affliction and recurrent attacks of rheumatism were added new signs of increasing mental instability.
Le séjour de Cary dans les champs aurifères de Cariboo ne lui apporta que des revers, tant financiers que professionnels, et affecta notablement sa santé. À une maladie des yeux dont il souffrait de longue date et à de fréquentes attaques de rhumatisme vinrent s’ajouter des signes de déséquilibre mental. À l’été de 1864, le successeur de Douglas au poste de gouverneur de l’Île-de-Vancouver, Arthur Edward Kennedy*, accusa Cary d’irrégularités financières, et en particulier de tirer des honoraires excessifs du gouvernement pour des services juridiques sans rapport avec la cour. Plutôt que de se défendre de ces accusations, Cary démissionna.
  Biography – CARY, GEORG...  
On Vancouver Island Cary had aspired to the life of a country gentleman. By 1861, in addition to one or two houses in England, he owned about 400 acres of land in and around Victoria and over 1,400 acres on Sallas (Sidney) Island.
Dans l’Île-de-Vancouver, Cary rêvait de mener la vie d’un gentilhomme campagnard. En 1861, outre une ou deux maisons en Angleterre, il possédait quelque 400 acres de terre dans la ville et les environs de Victoria et plus de 1 400 sur l’île Sanas (Sidney). Deux ans plus tard, il commença à construire « Cary Castle », une spacieuse résidence avec une superbe vue sur le détroit de Juan de Fuca, se proposant d’y passer le reste de ses jours. Malheureusement, ses moyens étaient loin d’être à la mesure de son ambition, et il dut vendre son château avant qu’il fût achevé.
  Biography – CARY, GEORG...  
By 1865 it was apparent to all that Cary was mentally unbalanced. Early in September his relative, Arthur Stanhope Farwell*, reported seeing him in his garden sowing “peas among potatoes at 12 at midnight with a candle.”
En 1865, le déséquilibre mental de Cary ne faisait de doute pour personne. Au début de septembre, un de ses parents, Arthur Stanhope Farwell*, rapporta l’avoir vu dans son jardin semant « à la chandelle, à minuit, des pois parmi les pommes de terre ». Une semaine plus tard, le docteur John Ash* reconnut officiellement la folie de Cary ; Farwell, le docteur John Sebastian Helmcken* et d’autres le persuadèrent de rentrer en Angleterre en inventant une histoire de télégramme annonçant sa nomination comme lord chancelier, au salaire annuel de £15 000. Accompagnés par Robert Burnaby*, Cary et sa femme quittèrent Victoria le lendemain, 16 septembre 1865. Il mourut à Londres en juillet 1866, chez une tante, assisté du plus jeune de ses frères.
  Biography – CARY, GEORG...  
When in 1861 the Colonial Office required British Columbia officials to reside on the mainland, Cary refused to move from Victoria and gave up his appointment as attorney general of British Columbia, whereupon Douglas appointed Henry Pering Pellew Crease* to the post while Cary remained attorney general for Vancouver Island.
de Douglas à la chambre d’Assemblée. En 1861, quand le ministère des Colonies exigea que les fonctionnaires de la Colombie-Britannique habitassent la colonie située sur le continent, Cary refusa de déménager de Victoria et abandonna ses fonctions de procureur général de la Colombie-Britannique – sur quoi Douglas nomma Henry Pering Pellew Crease* au poste vacant – Cary demeurant toutefois procureur général de l’Île-de-Vancouver. Au lieu de chercher à se faire réélire à l’Assemblée en 1863, Cary obtint d’être relevé, pour un congé de trois mois, de ses fonctions de procureur général et partit pour les champs aurifères de Cariboo, prétendument pour se remettre d’ « une faiblesse générale d’origine nerveuse », mais en fait, selon Edward Graham Alston*, « dans le dessein de revenir avec suffisamment de quoi vivre le reste de sa vie dans une tranquille oisiveté ».
  Biography – CARY, GEORG...  
Truculent, vain, and eccentric, Cary was nevertheless a person of some consequence in colonial Vancouver Island. Even his enemies respected his powers of articulation and considerable intellectual ability.
Brutal, vain et excentrique, Cary fut quand même de quelque importance dans l’Île-de-Vancouver à l’époque coloniale. Ses ennemis eux-mêmes reconnaissaient la puissance de son verbe et ses grandes ressources intellectuelles. La tragédie de sa carrière fut le dérangement graduel de son esprit. Il joua un rôle prépondérant en pilotant les projets de loi du gouvernement à la deuxième chambre d’Assemblée de l’île, un apport qui tranche fortement sur la complète paralysie de la troisième et dernière chambre, où ne se trouva aucun porte-parole qui puisse lui être comparé. Son legs le plus durable à l’île et à la colonie fut Cary Castle ; acquis par le gouvernement en 1865, il servit, jusqu’à l’incendie qui le détruisit en 1899, de résidence officielle au représentant de la reine.
  Biography – CARY, GEORG...  
Cary’s sojourn in the Cariboo goldfields in 1863 resulted in both financial and professional setbacks and markedly affected the state of his health. To a long-standing eye affliction and recurrent attacks of rheumatism were added new signs of increasing mental instability.
Le séjour de Cary dans les champs aurifères de Cariboo ne lui apporta que des revers, tant financiers que professionnels, et affecta notablement sa santé. À une maladie des yeux dont il souffrait de longue date et à de fréquentes attaques de rhumatisme vinrent s’ajouter des signes de déséquilibre mental. À l’été de 1864, le successeur de Douglas au poste de gouverneur de l’Île-de-Vancouver, Arthur Edward Kennedy*, accusa Cary d’irrégularités financières, et en particulier de tirer des honoraires excessifs du gouvernement pour des services juridiques sans rapport avec la cour. Plutôt que de se défendre de ces accusations, Cary démissionna.
  Biography – CARY, GEORG...  
When in 1861 the Colonial Office required British Columbia officials to reside on the mainland, Cary refused to move from Victoria and gave up his appointment as attorney general of British Columbia, whereupon Douglas appointed Henry Pering Pellew Crease* to the post while Cary remained attorney general for Vancouver Island.
de Douglas à la chambre d’Assemblée. En 1861, quand le ministère des Colonies exigea que les fonctionnaires de la Colombie-Britannique habitassent la colonie située sur le continent, Cary refusa de déménager de Victoria et abandonna ses fonctions de procureur général de la Colombie-Britannique – sur quoi Douglas nomma Henry Pering Pellew Crease* au poste vacant – Cary demeurant toutefois procureur général de l’Île-de-Vancouver. Au lieu de chercher à se faire réélire à l’Assemblée en 1863, Cary obtint d’être relevé, pour un congé de trois mois, de ses fonctions de procureur général et partit pour les champs aurifères de Cariboo, prétendument pour se remettre d’ « une faiblesse générale d’origine nerveuse », mais en fait, selon Edward Graham Alston*, « dans le dessein de revenir avec suffisamment de quoi vivre le reste de sa vie dans une tranquille oisiveté ».
  Biography – CARY, GEORG...  
By 1865 it was apparent to all that Cary was mentally unbalanced. Early in September his relative, Arthur Stanhope Farwell*, reported seeing him in his garden sowing “peas among potatoes at 12 at midnight with a candle.”
En 1865, le déséquilibre mental de Cary ne faisait de doute pour personne. Au début de septembre, un de ses parents, Arthur Stanhope Farwell*, rapporta l’avoir vu dans son jardin semant « à la chandelle, à minuit, des pois parmi les pommes de terre ». Une semaine plus tard, le docteur John Ash* reconnut officiellement la folie de Cary ; Farwell, le docteur John Sebastian Helmcken* et d’autres le persuadèrent de rentrer en Angleterre en inventant une histoire de télégramme annonçant sa nomination comme lord chancelier, au salaire annuel de £15 000. Accompagnés par Robert Burnaby*, Cary et sa femme quittèrent Victoria le lendemain, 16 septembre 1865. Il mourut à Londres en juillet 1866, chez une tante, assisté du plus jeune de ses frères.
  Biography – CARY, GEORG...  
When in 1861 the Colonial Office required British Columbia officials to reside on the mainland, Cary refused to move from Victoria and gave up his appointment as attorney general of British Columbia, whereupon Douglas appointed Henry Pering Pellew Crease* to the post while Cary remained attorney general for Vancouver Island.
de Douglas à la chambre d’Assemblée. En 1861, quand le ministère des Colonies exigea que les fonctionnaires de la Colombie-Britannique habitassent la colonie située sur le continent, Cary refusa de déménager de Victoria et abandonna ses fonctions de procureur général de la Colombie-Britannique – sur quoi Douglas nomma Henry Pering Pellew Crease* au poste vacant – Cary demeurant toutefois procureur général de l’Île-de-Vancouver. Au lieu de chercher à se faire réélire à l’Assemblée en 1863, Cary obtint d’être relevé, pour un congé de trois mois, de ses fonctions de procureur général et partit pour les champs aurifères de Cariboo, prétendument pour se remettre d’ « une faiblesse générale d’origine nerveuse », mais en fait, selon Edward Graham Alston*, « dans le dessein de revenir avec suffisamment de quoi vivre le reste de sa vie dans une tranquille oisiveté ».
  Biography – CARY, GEORG...  
The son of a surgeon, George Hunter Cary was educated at St Paul’s School and King’s College, London. Following in the footsteps of his uncle, Sir Richard Malins, a distinguished barrister, judge, and Conservative mp, Cary was called to the bar of the Inner Temple on 13 June 1854 and moved to Lincoln’s Inn where he “practised regularly & with some success in the Equity Courts.”
Fils d’un chirurgien, George Hunter Cary fit ses études à la St Paul’s School et au King’s College, à Londres. Marchant sur les traces de son oncle, sir Richard Malins, qui se distingua comme avocat, juge et député conservateur, Cary fut reçu au Barreau d’Inner Temple le 13 juin 1854 et déménagea à Lincoln’s Inn, où il « exerça régulièrement et avec quelque succès aux cours d’équité ». Au début de 1859, pour répondre à la demande du gouverneur James Douglas *, qui désirait « des gentlemen des plus instruits et des plus capables » pour le seconder dans le gouvernement de la nouvelle colonie aurifère située sur le continent, sir Edward Bulwer-Lytton, ministre des Colonies britanniques, était à la recherche d’un procureur général pour la Colombie-Britannique. Il s’adressa à un ancien maître de Cary, sir Hugh McCalmont Cairns, solliciteur général d’Angleterre, lui-même un ancien élève de Malins. Sir Hugh recommanda Cary, et Bulwer-Lytton accueillit favorablement son avis.
  Biography – CARY, GEORG...  
The son of a surgeon, George Hunter Cary was educated at St Paul’s School and King’s College, London. Following in the footsteps of his uncle, Sir Richard Malins, a distinguished barrister, judge, and Conservative mp, Cary was called to the bar of the Inner Temple on 13 June 1854 and moved to Lincoln’s Inn where he “practised regularly & with some success in the Equity Courts.”
Fils d’un chirurgien, George Hunter Cary fit ses études à la St Paul’s School et au King’s College, à Londres. Marchant sur les traces de son oncle, sir Richard Malins, qui se distingua comme avocat, juge et député conservateur, Cary fut reçu au Barreau d’Inner Temple le 13 juin 1854 et déménagea à Lincoln’s Inn, où il « exerça régulièrement et avec quelque succès aux cours d’équité ». Au début de 1859, pour répondre à la demande du gouverneur James Douglas *, qui désirait « des gentlemen des plus instruits et des plus capables » pour le seconder dans le gouvernement de la nouvelle colonie aurifère située sur le continent, sir Edward Bulwer-Lytton, ministre des Colonies britanniques, était à la recherche d’un procureur général pour la Colombie-Britannique. Il s’adressa à un ancien maître de Cary, sir Hugh McCalmont Cairns, solliciteur général d’Angleterre, lui-même un ancien élève de Malins. Sir Hugh recommanda Cary, et Bulwer-Lytton accueillit favorablement son avis.
  Biography – CARY, GEORG...  
Controversy had attended Cary wherever he went. He had not been in Victoria long before he was arrested for “riding furiously” across the James Bay bridge; six weeks later, when charged with disturbing the peace, he went to jail rather than post the required bond.
La controverse s’attachait à Cary où qu’il fût. Depuis peu de temps à Victoria, il fut arrêté pour « avoir chevauché à bride abattue » sur le pont de la baie de James ; six semaines plus tard, accusé d’avoir troublé la paix, il préféra être emprisonné plutôt que de verser la caution exigée. En 1861, il souleva l’indignation générale en tentant d’acheter en secret les sources principales d’approvisionnement en eau de la ville, lesquelles étaient considérées par beaucoup comme propriété publique. Le tapage qu’il faisait dans les rues et sa conduite excessive à la cour devinrent l’objet de commentaires parmi la population ; il lui arriva, cravache en main, de s’attaquer à un accusé dans la rue et de sortir de ce combat avec un visage « tout tuméfié ». En juin 1863, Douglas le décrivit comme un individu « émotif et arrogant » dont les gestes « provoquèrent l’hostilité et lui firent plusieurs ennemis personnels ; défauts qui diminuent son utilité générale comme membre du gouvernement ».
  Biography – CARY, GEORG...  
Truculent, vain, and eccentric, Cary was nevertheless a person of some consequence in colonial Vancouver Island. Even his enemies respected his powers of articulation and considerable intellectual ability.
Brutal, vain et excentrique, Cary fut quand même de quelque importance dans l’Île-de-Vancouver à l’époque coloniale. Ses ennemis eux-mêmes reconnaissaient la puissance de son verbe et ses grandes ressources intellectuelles. La tragédie de sa carrière fut le dérangement graduel de son esprit. Il joua un rôle prépondérant en pilotant les projets de loi du gouvernement à la deuxième chambre d’Assemblée de l’île, un apport qui tranche fortement sur la complète paralysie de la troisième et dernière chambre, où ne se trouva aucun porte-parole qui puisse lui être comparé. Son legs le plus durable à l’île et à la colonie fut Cary Castle ; acquis par le gouvernement en 1865, il servit, jusqu’à l’incendie qui le détruisit en 1899, de résidence officielle au représentant de la reine.
  Biography – CARY, GEORG...  
The son of a surgeon, George Hunter Cary was educated at St Paul’s School and King’s College, London. Following in the footsteps of his uncle, Sir Richard Malins, a distinguished barrister, judge, and Conservative mp, Cary was called to the bar of the Inner Temple on 13 June 1854 and moved to Lincoln’s Inn where he “practised regularly & with some success in the Equity Courts.”
Fils d’un chirurgien, George Hunter Cary fit ses études à la St Paul’s School et au King’s College, à Londres. Marchant sur les traces de son oncle, sir Richard Malins, qui se distingua comme avocat, juge et député conservateur, Cary fut reçu au Barreau d’Inner Temple le 13 juin 1854 et déménagea à Lincoln’s Inn, où il « exerça régulièrement et avec quelque succès aux cours d’équité ». Au début de 1859, pour répondre à la demande du gouverneur James Douglas *, qui désirait « des gentlemen des plus instruits et des plus capables » pour le seconder dans le gouvernement de la nouvelle colonie aurifère située sur le continent, sir Edward Bulwer-Lytton, ministre des Colonies britanniques, était à la recherche d’un procureur général pour la Colombie-Britannique. Il s’adressa à un ancien maître de Cary, sir Hugh McCalmont Cairns, solliciteur général d’Angleterre, lui-même un ancien élève de Malins. Sir Hugh recommanda Cary, et Bulwer-Lytton accueillit favorablement son avis.
  Biography – CARY, GEORG...  
On Vancouver Island Cary had aspired to the life of a country gentleman. By 1861, in addition to one or two houses in England, he owned about 400 acres of land in and around Victoria and over 1,400 acres on Sallas (Sidney) Island.
Dans l’Île-de-Vancouver, Cary rêvait de mener la vie d’un gentilhomme campagnard. En 1861, outre une ou deux maisons en Angleterre, il possédait quelque 400 acres de terre dans la ville et les environs de Victoria et plus de 1 400 sur l’île Sanas (Sidney). Deux ans plus tard, il commença à construire « Cary Castle », une spacieuse résidence avec une superbe vue sur le détroit de Juan de Fuca, se proposant d’y passer le reste de ses jours. Malheureusement, ses moyens étaient loin d’être à la mesure de son ambition, et il dut vendre son château avant qu’il fût achevé.
  Biography – ALMON, MATH...  
Charles Buller* thought this group to be “not only of striking ability, but of a degree of general information and polish of manners which are even less commonly met with in colonial society.” Almon became the centre of a political controversy in Nova Scotia in 1843 when Lieutenant Governor Falkland [Lucius Bentinck Cary*] named him to the Legislative and Executive Councils.
Comme homme politique Almon prit part, dans les années 30, à l’administration de Halifax mais se retira des affaires municipales après la constitution juridique de la ville en 1841. En octobre 1838, à titre de représentant des hommes d’affaires, Almon fit partie, avec James B. Uniacke, James W. Johnston et George Renny Young*, de la délégation de la Nouvelle-Écosse qui alla rencontrer lord Durham [Lambton*] à Québec. Selon Charles Buller* les hommes qui composaient cette délégation « en plus d’une habileté remarquable, possédaient une culture générale et un raffinement de manières tels qu’il ne s’en rencontre que rarement dans les colonies ». Almon devint l’objet d’une controverse politique en Nouvelle-Écosse, en 1843, quand le lieutenant-gouverneur Falkland [Lucius Bentinck Cary*] le nomma au Conseil législatif et au Conseil exécutif. Almon présenta le mandement qui le faisait membre du Conseil législatif le 19 février 1844. Lord Falkland informa le ministre des Colonies : « J’ai admis M. Mather B. Almon au Conseil [exécutif] où il occupera le siège laissé vacant par M. [Thomas Andrew Strange] DeWolf qui a pris sa retraite en février dernier [1843] » ; donc Almon était vraisemblablement membre par intérim du Conseil exécutif en 1843 mais il n’entra officiellement en fonction qu’après les élections de 1843. En décembre 1843, trois membres du Conseil exécutif, Joseph Howe et deux de ses partisans, remirent leur démission en accusant le gouverneur et le procureur général, J. W. Johnston, membre du parti tory et beaufrère d’Almon, de donner trop d’importance au parti tory au sein du conseil.
  Biography – YOUNG, Sir ...  
As acting colonial secretary he was the ranking member of both the Executive and the Legislative councils of Vancouver Island but instead of taking his seat in the latter, he sought, possibly at Douglas’ urging, election to the assembly for the four-member riding of Victoria. If successful, he would be able to act as a spokesman for the government in the assembly, a role previously undertaken by Attorney General George Hunter Cary*.
Au début de 1863, le duc de Newcastle décida de séparer complètement les deux colonies en remplaçant Douglas par un gouverneur dans chaque colonie et en donnant à chacune d’entre elles ses propres conseils exécutif et législatif. Young fut contraint de choisir. Il décida de demeurer à Victoria et démissionna le 20 août 1863 de son poste de secrétaire colonial de la colonie continentale, renonçant à un salaire de £800. Dans sa lettre de démission, il demanda que l’on reconnaisse son statut de secrétaire colonial de l’Île-de-Vancouver, mais cette requête ne fut jamais exaucée, et ses fonctions demeurèrent provisoires. À titre de secrétaire colonial intérimaire, il était le fonctionnaire le plus haut placé du Conseil exécutif et du Conseil législatif de l’Île-de-Vancouver ; mais, au lieu de siéger à ce dernier, il essaya (peut-être à la demande de Douglas) de se faire élire dans la circonscription de Victoria où quatre sièges étaient à pourvoir. S’il remportait la victoire, il pourrait jouer le rôle de porte-parole du gouvernement à l’Assemblée, rôle tenu antérieurement par le procureur général George Hunter Cary*. Pendant la campagne électorale, Young s’opposa à l’idée d’un gouvernement responsable, proposa d’apporter des améliorations au port intérieur de Victoria et défendit le maintien de celui-ci comme port libre (toutes des opinions que Douglas soutenait). Amor De Cosmos, qui était candidat dans la même circonscription, attaqua Young dans les journaux, déclarant qu’on « avait eu recours à ses services » pour défendre un gouvernement « irresponsable » et « obstructionniste ». Malgré cela, Young, appuyé par des membres influents de l’
  Biography – CARY, GEORG...  
Gregory Thomas, “CARY, GEORGE MARCUS,” in
ROSS, ALEXANDER (Vol. 8)
  Biography – BINNEY, STE...  
BOTSFORD, AMOS EDWIN (Vol. 12)BOTSFORD, BLISS (Vol. 11)CARY, LUCIUS BENTINCK, 10th Viscount FALKLAND (Vol. 11)CHANDLER, EDWARD BARRON (Vol. 10)HILL, PHILIP CARTERET (Vol. 12)
BOTSFORD, AMOS EDWIN (Vol. 12)BOTSFORD, BLISS (Vol. 11)CARY, LUCIUS BENTINCK, vicomte FALKLAND (Vol. 11)CHANDLER, EDWARD BARRON (Vol. 10)HILL, PHILIP CARTERET (Vol. 12)
  Biography – CARY, GEORG...  
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  Biography – KING, EDWAR...  
Because Langford refused to answer questions in cross-examination a non-suit was entered. Langford, who had been ordered to pay the costs of the action, later charged King’s counsel, George Hunter Cary, with fabricating the bill.
En 1860, King se trouva impliqué dans un procès en diffamation à Victoria. Edward Edwards Langford*, un des chefs de la faction radicale dans la colonie et candidat à l’Assemblée, publia un discours électoral dans lequel il attaquait le gouverneur James Douglas* et son gouvernement. Une parodie, publiée anonymement, circula dans toute la ville. Discrédité, Langford se retira de la course électorale le 5 janvier 1860. Convaincu que King était l’imprimeur du pamphlet, il lui intenta un procès en diffamation. La cause fut entendue par le juge en chef, David Cameron*, en avril. L’affaire se termina par un non-lieu à cause du refus de Langford de répondre aux questions devant le tribunal. Langford, qui avait été condamné à payer les frais du procès, accusa par la suite George Hunter Cary, l’avocat de King, d’avoir contrefait les chefs d’accusation. L’accusation fut rejetée faute de preuves. Au moment de quitter la cour, King, qui avait été un témoin important, rencontra Edward Graham Alston*, un avocat que le déroulement du procès avait beaucoup amusé. Une violente querelle éclata alors entre les deux hommes et King se livra à des voies de fait sur Alston. Mis immédiatement en état d’arrestation, King fut condamné le 6 novembre à un mois de prison pour outrage au tribunal. Le 17 novembre, à la suite d’une pétition signée par des citoyens éminents de Victoria, le gouverneur Douglas lui accorda le pardon.
  Biography – DOWNS, ANDR...  
CARY, LUCIUS BENTINCK, 10th Viscount FALKLAND (Vol. 11)CORNWALLIS, EDWARD (Vol. 4)McCULLOCH, THOMAS (Vol. 7)
Amérique du Nord – Canada – Nouvelle-Écosse – Partie continentale
  Biography – NELSON, HUG...  
The men at Cary Castle
A. S. Deaville,
  Biography – ASH, JOHN –...  
BEAVEN, ROBERT (Vol. 14)DE COSMOS, AMOR (Vol. 12)HELMCKEN, JOHN SEBASTIAN (Vol. 14)ROBSON, JOHN (Vol. 12)WALKEM, GEORGE ANTHONY (Vol. 13)CARY, GEORGE HUNTER (Vol. 9)DUNSMUIR, ROBERT (Vol. 11)McKENZIE, KENNETH (Vol. 10)ROSS, FLORA AMELIA (Vol. 12)
BEAVEN, ROBERT (Vol. 14)DE COSMOS, AMOR (Vol. 12)DOUGLAS, sir JAMES (Vol. 10)HELMCKEN, JOHN SEBASTIAN (Vol. 14)ROBSON, JOHN (Vol. 12)WALKEM, GEORGE ANTHONY (Vol. 13)CARY, GEORGE HUNTER (Vol. 9)DUNSMUIR, ROBERT (Vol. 11)McKENZIE, KENNETH (Vol. 10)ROSS, FLORA AMELIA (Vol. 12)
  Biography – LANGFORD, E...  
CAMERON, DAVID (Vol. 10)KING, EDWARD HAMMOND (Vol. 9)McKENZIE, KENNETH (Vol. 10)CARY, GEORGE HUNTER (Vol. 9)DE COSMOS, AMOR (Vol. 12)STAINES, ROBERT JOHN (Vol. 8)COOPER, JAMES (Vol. 10)McKAY, JOSEPH WILLIAM (Vol. 12)PEMBERTON, JOSEPH DESPARD (Vol. 12)
BLANSHARD, RICHARD (Vol. 12)CAMERON, DAVID (Vol. 10)KING, EDWARD HAMMOND (Vol. 9)McKAY, JOSEPH WILLIAM (Vol. 12)McKENZIE, KENNETH (Vol. 10)BEGBIE, sir MATTHEW BAILLIE (Vol. 12)CARY, GEORGE HUNTER (Vol. 9)DE COSMOS, AMOR (Vol. 12)Voir la suite
  Biography – PUTNAM, WIL...  
In late June he was back in the province. The details of what ensued are uncertain, but, clearly, he shot and killed a Captain William Kerry (Cary), who was apparently trying to arrest him, in Dawn Township, close to the St Clair frontier.
Putnam apprit, semble-t-il par Mahlon Burwell, un ami personnel, qu’on l’arrêterait de nouveau. Il s’enfuit alors à Detroit rejoindre les réfugiés patriotes du Haut-Canada et leurs alliés américains, résolus à « révolutionner » le Canada. À la fin de juin, il était de retour dans la province. On ne connaît pas en détail les événements qui s’ensuivirent ; on sait cependant qu’un jour où il se trouvait dans le canton de Dawn, près de la frontière (formée par la rivière Saint-Clair), il abattit d’un coup de fusil un certain capitaine William Kerry (Cary) qui cherchait, semble-t-il, à l’arrêter. Il se réfugia de nouveau à Detroit, où sa famille le rejoignit en exil.
  Biography – KEMBLE, WIL...  
On 6 Aug. 1829 he did an about-face and, according to the notarized deed, as a “good brother” lent the necessary money to William’s wife Rebecca; she, along with Cary Jr and Josette Voyer, the widow of Desbarats, then became owners of the New Printing Office.
C’est ainsi que Kemble devint, le 5 décembre 1826, l’associé de Pierre-Édouard Desbarats* et de Thomas Cary fils à la direction de la Nouvelle Imprimerie. Peu de temps auparavant, le 2 novembre, on l’avait nommé de nouveau imprimeur du roi, cette fois pour le Bas-Canada, conjointement avec John Charlton Fisher. En 1826, Kemble reçut aussi une commission de juge de paix pour le district de Québec, commission qu’on renouvela deux ans plus tard.
  Biography – CARY, GEORG...  
HBC governor George Simpson had high hopes for Cary, describing him as “a Gentleman who understands both the theory and practise of those branches of agriculture” to be implemented at the farm. Red River resident and historian Alexander Ross saw Cary as “a person of active business habits, sober, intelligent, and prepossessing in his manners” and “in all respects a gentleman of amiable qualities,” but he felt that his “agricultural knowledge consisted in theory alone.”
On connaît peu de chose de la famille et des premières années de George Marcus Cary. Il s’enrôla apparemment comme volontaire dans l’armée britannique et il participa en Espagne à la bataille de Salamanque le 12 juillet 1812. En octobre, il reçut une commission de lieutenant dans le 95e d’infanterie. Il combattit alors à Vittoria (Italie), dans les Pyrénées, ainsi qu’à Nice, Orthez et Toulouse, en France. Décoré pour ses états de service, il fut mis à la demi-solde avec le grade de capitaine le 25 décembre 1818.
  Biography – CARY, GEORG...  
HBC governor George Simpson had high hopes for Cary, describing him as “a Gentleman who understands both the theory and practise of those branches of agriculture” to be implemented at the farm. Red River resident and historian Alexander Ross saw Cary as “a person of active business habits, sober, intelligent, and prepossessing in his manners” and “in all respects a gentleman of amiable qualities,” but he felt that his “agricultural knowledge consisted in theory alone.”
On connaît peu de chose de la famille et des premières années de George Marcus Cary. Il s’enrôla apparemment comme volontaire dans l’armée britannique et il participa en Espagne à la bataille de Salamanque le 12 juillet 1812. En octobre, il reçut une commission de lieutenant dans le 95e d’infanterie. Il combattit alors à Vittoria (Italie), dans les Pyrénées, ainsi qu’à Nice, Orthez et Toulouse, en France. Décoré pour ses états de service, il fut mis à la demi-solde avec le grade de capitaine le 25 décembre 1818.
  Biography – CARY, GEORG...  
HBC governor George Simpson had high hopes for Cary, describing him as “a Gentleman who understands both the theory and practise of those branches of agriculture” to be implemented at the farm. Red River resident and historian Alexander Ross saw Cary as “a person of active business habits, sober, intelligent, and prepossessing in his manners” and “in all respects a gentleman of amiable qualities,” but he felt that his “agricultural knowledge consisted in theory alone.”
On connaît peu de chose de la famille et des premières années de George Marcus Cary. Il s’enrôla apparemment comme volontaire dans l’armée britannique et il participa en Espagne à la bataille de Salamanque le 12 juillet 1812. En octobre, il reçut une commission de lieutenant dans le 95e d’infanterie. Il combattit alors à Vittoria (Italie), dans les Pyrénées, ainsi qu’à Nice, Orthez et Toulouse, en France. Décoré pour ses états de service, il fut mis à la demi-solde avec le grade de capitaine le 25 décembre 1818.
  Biography – CARY, GEORG...  
In 1841 the experimental farm was abandoned and Cary was allowed to take over part of it as a private concern. He continued to cultivate this property, adjacent to Upper Fort Garry (Winnipeg) on the Assiniboine River, on a modest scale.
George Simpson, gouverneur de la Hudson’s Bay Company, comptait beaucoup sur Cary, le décrivant comme « un gentleman qui compr[enait] aussi bien la théorie que la pratique des secteurs de l’agriculture » qui devaient être exploités à la ferme. Bien qu’un résident de la colonie de la Rivière-Rouge, l’historien Alexander Ross, voyait en Cary « un homme actif en affaires, sobre, intelligent et prévenant [...] en tous points un gentleman d’une grande amabilité », il avait le sentiment que ses « connaissances en agriculture étaient uniquement théoriques ». Selon une réflexion perspicace de Ross, Cary était « plus un horticulteur qu’un agriculteur ».
  Biography – ROSS, ALEXA...  
In 1843 he was appointed governor of the new jail with an annual allowance of £30 and two years later he added to his charge that of collector of customs duty following Bird’s resignation from that office. He was appointed by council to the committee of finance, with Bunn, Thom, and George Marcus Cary, in 1847.
de la rivière Rouge à la baie d’Hudson. Qualifié de « petit trafiquant » par les fonctionnaires de la Hudson’s Bay Company, il expédiait des biens de la compagnie à l’extérieur de la colonie et y amenait, tant pour son propre compte que pour celui de la Hudson’s Bay Company, des marchandises d’échange et des biens de toutes sortes. Ses convois attirèrent les hommes influents de la colonie : ainsi, Louis Guiboche, Cuthbert Grant de même que les fils des agents principaux à la retraite William Hemmings Cook* et James Bird furent de ceux qui se joignirent à lui. Apparemment, Ross ne. poursuivit pas ses activités de traite après la fin des années 1820 ; peut-être y renonça-t-il à cause de la concurrence croissante des autres trafiquants indépendants ou à cause des pressions que faisait Simpson pour décourager les échanges avec les Américains à Pembina.
  Biography – DESBARATS, ...  
CARY, THOMAS (1787-1869) (Vol. 9)DESJARDINS, FRANÇOIS-XAVIER (Vol. 9)FISHER, JOHN CHARLTON (Vol. 7)JULIEN, HENRI (Vol. 13)LEGGO, WILLIAM AUGUSTUS (Vol. 14)ODET D’ORSONNENS, LOUIS-GUSTAVE D’ (Vol. 13)
DESBARATS, GEORGE-ÉDOUARD (Vol. 12)DESBARATS, PIERRE-ÉDOUARD (Vol. 6)DESJARDINS, FRANÇOIS-XAVIER (Vol. 9)DIONNE, AMABLE (Vol. 8)POTHIER, TOUSSAINT (Vol. 7)WILKIE, DANIEL (Vol. 8)CHAMPLAIN, SAMUEL DE (Vol. 1)LAVERDIÈRE, CHARLES-HONORÉ (Vol. 10)Voir la suite
  Biography – BINNEY, STE...  
When the first civic elections were held on 15 May 1841, Binney was elected a councillor; the councillors subsequently chose him as the city’s mayor. Offended by the minor role assigned to him at a reception in September 1841 for a French prince, Binney clashed with the lieutenant governor, Lord Falkland [Lucius Bentinck Cary*].
Le père de Stephen Binney était percepteur des impôts et des accises à Halifax et, très tôt, Stephen devint un visage familier dans le monde des affaires de la ville. Il fut élu conseiller aux premières élections municipales du 15 mai 1841 et les conseillers le choisirent comme maire de Halifax. Froissé de se voir assigner un rôle de second plan à l’occasion d’une réception donnée en l’honneur d’un prince français en septembre 1841, Binney entra en conflit avec le lieutenant-gouverneur, lord Falkland [Cary*]. L’écho de la dispute. se faisait encore entendre quand surgit un nouvel incident. Les habitants de Halifax apprirent que la reine Victoria avait donné naissance à un fils au début de décembre 1841. Étant donné qu’il projetait un voyage en Angleterre pour ses propres affaires, Binney proposa tout de suite d’aller présenter à la reine, en sa qualité de maire, une adresse de félicitations au nom du conseil et de tous les citoyens de Halifax. Une telle initiative revenait au lieutenant-gouverneur mais, après avoir consulté Falkland, le conseil accéda à la demande de Binney qui s’embarqua pour l’Angleterre le 3 janvier 1842. À la fin de son congé, au mois de mars, le conseil nomma un autre conseiller, Edward Kenny*, pour terminer son mandat.
  Biography – DEWDNEY, ED...  
The men at Cary Castle; a series of portrait sketches of the lieutenant
The men at Cary Castle ; a series of portrait sketches of the lieutenant-governors of British Columbia from 1871 to 1971
  Biography – ANTHONY, GA...  
The appeal yielded 43 blankets for the Indians of the western counties. In May, Anthony tried again, with a petition directed to Lieutenant Governor Lord Falkland [Cary*] asking for £15 for 50 blankets; half of that sum was granted.
En janvier 1846, Anthony soumit à la chambre d’Assemblée une requête en vue d’obtenir du secours pour son peuple. Appelé à témoigner devant la chambre, il prononça dignement un bref discours en anglais, soulignant ses mots avec soin en frappant la paume de sa main gauche de l’index de sa main droite. « Monsieur, dit-il, je ne comprends pas l’anglais – [je] ne le parle pas très bien. Si je pouvais vous parler ma langue, je pourrais vous dire en un mot, en deux mots, en trois mots ; et vous comprendriez ce que j’ai à vous dire. » II expliqua qu’en tant que chef, il voyageait constamment d’un village indien à l’autre. Un doigt pointé vers le ciel, il déclara : « Je leur dis de penser seulement au Suprême. Vous me comprenez. » Le président répondit : « Oui, nous vous comprenons. » Ces tournées, poursuivait le chef, ne lui laissaient pas le temps de veiller à ses propres affaires, et il était sans ressources. À la demande de plusieurs députés, Anthony s’adressa ensuite à la chambre en micmac ; son éloquence était telle que les députés en furent impressionnés, même s’ils ne comprenaient rien à ce qu’il disait. Joseph Howe*, ancien commissaire provincial aux Affaires indiennes, traduisit l’essentiel du message : chez les Indiens, comme chez les Blancs, ceux qui avaient les fonctions les plus ingrates étaient souvent les plus mal payés. L’appel permit de recueillir 43 couvertures pour les Indiens des comtés de l’Ouest. En mai, Anthony fit une nouvelle tentative et demanda, dans une requête adressée au lieutenant-gouverneur lord Falkland [Cary*], £15 pour acheter 50 couvertures ; on ne lui accorda que la moitié de cette somme.
  Biography – HENRY, WILL...  
Henry was active in politics and in the 1840 election successfully opposed McDougall to gain election as the representative of Sydney (Antigonish) County in the assembly, thus entering the house at a time when the council of Lieutenant Governor Lord Falkland [Cary], led by James William Johnston* and Joseph Howe*, was making a strained attempt at coalition government.
en 1841. Il s’occupa activement de politique et, aux élections de 1840, il se présenta contre McDougall, remportant la victoire comme député du comté de Sydney (Antigonish) à l’Assemblée. Il entrait ainsi à la chambre au moment où le conseil du lieutenant-gouverneur Falkland [Cary], dirigé par James William Johnston* et Joseph Howe*, essayait à &rand-peine de former un gouvernement de coalition. À l’Assemblée, on considérait Henry comme un opportuniste, un orateur ennuyeux et verbeux qui prononçait un discours tel « un garçon fatigué qui fait tourner une meule ». Il était cependant populaire, « très liant avec tout le monde », sportif admiré, et avait la réputation de s’occuper des intérêts de ses électeurs.
  Biography – SOUTHAM, WI...  
While in command of the Canadian Field Artillery's 40th Battery (called the Sportsmen's Battery after Gordon, who was a gifted athlete, and one of his lieutenants, Constantine Falkland Cary Smythe* of Toronto) he was killed by a direct hit.
Il importe de noter que, dans toutes ses entreprises, Southam prêchait par l'exemple. Sa réaction à la mort du dernier de ses fils, Gordon Hamilton, le démontre mieux que toute autre circonstance. En octobre 1916, Gordon Hamilton fut atteint par un tir direct pendant qu'il commandait la 40th Battery de la Canadian Field Artillery (surnommée la Sportsmen's Battery en référence à lui-même, qui était un athlète doué, et à l'un de ses lieutenants, Constantine Falkland Cary Smythe*, de Toronto). Il s'était avancé pour superviser la retraite de ses hommes au cours d'un violent tir de barrage ennemi. Dévasté par le chagrin, Southam continua pourtant de soutenir résolument l'effort de guerre du Canada.
  Biography – DE COSMOS, ...  
Although he would play important roles in the era after confederation, including a tenure of slightly more than a year as the second premier of the province (1872–74), De Cosmos made his largest contribution during the colonial period. He ran the first time in the general election of 1860 for the second Vancouver Island assembly but was defeated by George Hunter Cary*.
le soulignerait dans sa notice nécrologique, dès le début de sa carrière de journaliste, et tout au long de sa carrière politique, il prit fait et cause pour Victoria, sa « ville d’adoption », et en défendit les intérêts « contre vents et marées dans ses journaux aussi bien qu’au Parlement provincial et à la chambre des Communes ». Ainsi, pendant les débats sur la Confédération, il réclama pour Victoria un traitement de faveur – par exemple un tarif protecteur – afin qu’elle reste la « principale ville commerciale de la Colombie-Britannique, toutes les autres parties de la colonie en étant tributaires ». « Voilà, concluait-il, ce que la Confédération, à des conditions justes, fera pour nous. » Nationalisme et régionalisme n’étaient pas incompatibles parce qu’il entrevoyait la création d’un pays très décentralisé où, notait-il dans son discours sur le « colon britannique à l’état larvaire », « chaque province sera[it] un État indépendant », comme « le [voulait] la règle en terre d’Amérique ».
  Biography – KING, EDWAR...  
Because Langford refused to answer questions in cross-examination a non-suit was entered. Langford, who had been ordered to pay the costs of the action, later charged King’s counsel, George Hunter Cary, with fabricating the bill.
En 1860, King se trouva impliqué dans un procès en diffamation à Victoria. Edward Edwards Langford*, un des chefs de la faction radicale dans la colonie et candidat à l’Assemblée, publia un discours électoral dans lequel il attaquait le gouverneur James Douglas* et son gouvernement. Une parodie, publiée anonymement, circula dans toute la ville. Discrédité, Langford se retira de la course électorale le 5 janvier 1860. Convaincu que King était l’imprimeur du pamphlet, il lui intenta un procès en diffamation. La cause fut entendue par le juge en chef, David Cameron*, en avril. L’affaire se termina par un non-lieu à cause du refus de Langford de répondre aux questions devant le tribunal. Langford, qui avait été condamné à payer les frais du procès, accusa par la suite George Hunter Cary, l’avocat de King, d’avoir contrefait les chefs d’accusation. L’accusation fut rejetée faute de preuves. Au moment de quitter la cour, King, qui avait été un témoin important, rencontra Edward Graham Alston*, un avocat que le déroulement du procès avait beaucoup amusé. Une violente querelle éclata alors entre les deux hommes et King se livra à des voies de fait sur Alston. Mis immédiatement en état d’arrestation, King fut condamné le 6 novembre à un mois de prison pour outrage au tribunal. Le 17 novembre, à la suite d’une pétition signée par des citoyens éminents de Victoria, le gouverneur Douglas lui accorda le pardon.
  Biography – FORRESTER, ...  
Howe had entered the coalition set up in 1840 under Lieutenant Governor Lord Falkland [Cary*] on the initiative of Governor Charles Edward Poulett Thomson but Forrester withheld his support, arguing that the new administration involved too many compromises.
Cependant, la réussite matérielle ne satisfaisait pas Forrester qui, dans les années d’après-guerre, se fit aussi connaître comme un homme irascible, un fauteur de troubles. Les lettres qu’il fit publier dans les journaux pour dénoncer la prétendue fraude d’assurances de certains gros marchands locaux lui valurent en 1825 une condamnation pour diffamation et une amende de £100. Cinq ans plus tard, après plusieurs autres démêlés avec les gens en place de Halifax, il consolida sa mauvaise réputation en se plaignant de ce que les avocats, juges et fonctionnaires de la ville s’étaient ligués pour lui faire perdre un procès pour dettes qu’il avait intenté contre un officier de l’armée britannique. Convaincu qu’on l’avait traité injustement, il demanda réparation au lieutenant-gouverneur sir Peregrine Maitland* puis, après avoir essuyé une rebuffade, exposa directement son cas au ministère des Colonies dans une lettre où il réclamait vengeance. Selon un contemporain, c’étaient là les agissements d’un homme « obstiné et intraitable ». Furieux, Maitland observa que Forrester était « l’un de ces malheureux qui frôlent l’aliénation mentale sans être assez dérangés pour bénéficier de la protection accordée à ceux qui sont déclarés fous ». La méfiance des capitalistes de Halifax envers lui devint évidente quand, en 1832, ils rejetèrent en bloc sa candidature au conseil d’administration de la Banque de la Nouvelle-Écosse. Ses problèmes illustrent combien il était difficile, pour qui n’était pas né dans l’oligarchie haligonienne et n’en respectait pas les règles, de pénétrer dans ce milieu. Trop irrévérencieux, Forrester ne pouvait obtenir ni charge publique ni faveurs officielles, ce qui ne pouvait qu’aviver son antagonisme envers les autorités.
  Biography – DESBARATS, ...  
Continuing earlier procedures, from 1841 to 1859 the Legislative Assembly and the Legislative Council each had its own printer as well; from 1860 to 1866 one printer served both houses. Desbarats and Cary were printers to the assembly in 1841; Desbarats and Derbishire were printers to the council in 1843.
Ayant fréquenté, à Québec, l’école secondaire du révérend Daniel Wilkie*, George-Paschal Desbarats fut mis en apprentissage chez un commerçant, James George, et ensuite chez un marchand de bois de la basse ville. En 1826, la maladie de son père le força à s’occuper des intérêts des siens dans l’imprimerie familiale, dont Thomas Cary avait acheté une partie. Après la mort de son père, en 1828, il prit graduellement ces intérêts en main, du consentement des autres héritiers. Il fut associé à Cary pendant plusieurs années ; on n’a pas le détail des ententes qui les liaient l’un à l’autre, mais il y a quelques indications que ce fut une association tendue. Leurs noms apparaissaient côte à côte sur de nombreux documents gouvernementaux, de 1831 à 1842, et en particulier sur les
  Biography – CARY, GEORG...  
No one single factor led to its demise. Although Cary had the necessary ability and knowledge, the 10 to 20 English servants sent out by the HBC to assist him proved to be “unmanageable” and “comparatively useless.”
Cary séjourna probablement en France au début des années 1830, et c’est peut-être à cette époque qu’il épousa Anne Eliza et commença à élever une famille. En 1836, il s’engagea par contrat à servir pendant cinq ans en tant que directeur d’une ferme expérimentale que la Hudson’s Bay Company allait établir dans la colonie de la Rivière-Rouge (Manitoba). Cette ferme expérimentale, la troisième et la plus ambitieuse de celles que la compagnie avait établies, devait servir de modèle aux colons et les aider à adapter les méthodes modernes d’agriculture. On prévoyait aussi s’adonner à des cultures propres au commerce d’exportation.
  Biography – CARY, GEORG...  
No one single factor led to its demise. Although Cary had the necessary ability and knowledge, the 10 to 20 English servants sent out by the HBC to assist him proved to be “unmanageable” and “comparatively useless.”
Cary séjourna probablement en France au début des années 1830, et c’est peut-être à cette époque qu’il épousa Anne Eliza et commença à élever une famille. En 1836, il s’engagea par contrat à servir pendant cinq ans en tant que directeur d’une ferme expérimentale que la Hudson’s Bay Company allait établir dans la colonie de la Rivière-Rouge (Manitoba). Cette ferme expérimentale, la troisième et la plus ambitieuse de celles que la compagnie avait établies, devait servir de modèle aux colons et les aider à adapter les méthodes modernes d’agriculture. On prévoyait aussi s’adonner à des cultures propres au commerce d’exportation.
  Biography – STEWART, AL...  
Surprisingly, in the face of the scorn of the Tories and the criticism of Reformers like Huntington, Howe joined Stewart in the coalition government arranged by Lord Sydenham [Thomson*] and formed in October 1840 by the new governor, Lord Falkland [Cary*].
Aux élections de 1836, Stewart eut comme adversaires Gaius Lewis et Andrew McKim, qui prônaient des réformes sacrilèges aux yeux de Stewart, telle l’électivité du conseil. Il remporta le deuxième siège dans Cumberland, mais sa majorité était si faible qu’il eut à faire face à une contestation en justice sur laquelle le jugement ne fut pas rendu au cours de la session de 1837 et, en définitive, McKim l’emporta en février 1838. Dans l’intervalle, Stewart ressentit tout l’inconfort de sa position dans une Assemblée où il y avait Howe et une majorité de députés désireux d’apporter des réformes qu’il considérait indésirables. Le libéralisme à tendance whig qui en avait naguère fait un des leaders de l’Assemblée constituait maintenant un anachronisme. Lorsqu’on passa au vote sur les 12 résolutions de Howe, en 1837, il se tint généralement du côté de l’opposition, particulièrement sur la question de l’électivité du conseil, et il exprima son horreur pour toutes les innovations qui avaient un relent de républicanisme à l’américaine, réaffirmant sa fidélité au modèle britannique. Stewart décida de quitter une chambre où il avait perdu de la considération et où son siège n’était pas assuré, en dépit du souhait exprimé par Howe que l’Assemblée puisse continuer à bénéficier de sa vigoureuse intelligence, « qu’il soit à mes côtés, disait-il, ou qu’il lutte dans les rangs de l’opposition ». C’est vraisemblablement avec soulagement que Stewart accueillit sa nomination au tout nouveau Conseil législatif, le 16 janvier 1838.
  Biography – CARY, GEORG...  
No one single factor led to its demise. Although Cary had the necessary ability and knowledge, the 10 to 20 English servants sent out by the HBC to assist him proved to be “unmanageable” and “comparatively useless.”
Cary séjourna probablement en France au début des années 1830, et c’est peut-être à cette époque qu’il épousa Anne Eliza et commença à élever une famille. En 1836, il s’engagea par contrat à servir pendant cinq ans en tant que directeur d’une ferme expérimentale que la Hudson’s Bay Company allait établir dans la colonie de la Rivière-Rouge (Manitoba). Cette ferme expérimentale, la troisième et la plus ambitieuse de celles que la compagnie avait établies, devait servir de modèle aux colons et les aider à adapter les méthodes modernes d’agriculture. On prévoyait aussi s’adonner à des cultures propres au commerce d’exportation.
  Biography – CARY, GEORG...  
In 1841 the experimental farm was abandoned and Cary was allowed to take over part of it as a private concern. He continued to cultivate this property, adjacent to Upper Fort Garry (Winnipeg) on the Assiniboine River, on a modest scale.
George Simpson, gouverneur de la Hudson’s Bay Company, comptait beaucoup sur Cary, le décrivant comme « un gentleman qui compr[enait] aussi bien la théorie que la pratique des secteurs de l’agriculture » qui devaient être exploités à la ferme. Bien qu’un résident de la colonie de la Rivière-Rouge, l’historien Alexander Ross, voyait en Cary « un homme actif en affaires, sobre, intelligent et prévenant [...] en tous points un gentleman d’une grande amabilité », il avait le sentiment que ses « connaissances en agriculture étaient uniquement théoriques ». Selon une réflexion perspicace de Ross, Cary était « plus un horticulteur qu’un agriculteur ».
  Biography – COGSWELL, H...  
Incorporation of Halifax as a city in 1841 deprived him of his municipal offices. The process climaxed in 1843 when Lieutenant Governor Lord Falkland [Cary*] dismissed him from the Revenue Commission after he had attempted to prevent Howe from being appointed collector of excise.
Cogswell continua néanmoins de s’intéresser à ces questions et, en 1825, après plusieurs vaines tentatives visant à obtenir de l’Assemblée une charte pour une banque publique qui aurait été constituée en banque par actions, il se joignit à Enos Collins, Samuel Cunard, William Pryor et à quatre autres grands marchands de Halifax pour former la Halifax Banking Company, association non enregistrée et pourvue d’un capital de £50 000. Première véritable banque de la province, cet établissement recevait les dépôts, émettait des billets de banque et accordait un crédit à court terme aux hommes d’affaires de la région. Sans charte, les associés demeuraient entièrement responsables des dettes de la banque et n’avaient pas la sécurité que leur aurait garantie un monopole légal dans la province. Pourtant, grâce à la croissance à long terme du commerce néo-écossais, la banque prospéra. Moins d’une décennie après sa fondation, les associés touchaient un rendement de 20 p. cent sur leurs investissements. Cogswell, qui avait versé le cinquième du capital original, fut le premier président de la banque et conserva ce poste jusqu’à sa mort. Présidant les réunions hebdomadaires du conseil d’administration, il fut bientôt surnommé « lord Hezekiah » et, selon Joseph Howe*, il régentait la communauté avec une « férule de papier », exploitant le « travail et [la] sœur du peuple ».
  Biography – CARY, GEORG...  
In 1841 the experimental farm was abandoned and Cary was allowed to take over part of it as a private concern. He continued to cultivate this property, adjacent to Upper Fort Garry (Winnipeg) on the Assiniboine River, on a modest scale.
George Simpson, gouverneur de la Hudson’s Bay Company, comptait beaucoup sur Cary, le décrivant comme « un gentleman qui compr[enait] aussi bien la théorie que la pratique des secteurs de l’agriculture » qui devaient être exploités à la ferme. Bien qu’un résident de la colonie de la Rivière-Rouge, l’historien Alexander Ross, voyait en Cary « un homme actif en affaires, sobre, intelligent et prévenant [...] en tous points un gentleman d’une grande amabilité », il avait le sentiment que ses « connaissances en agriculture étaient uniquement théoriques ». Selon une réflexion perspicace de Ross, Cary était « plus un horticulteur qu’un agriculteur ».
  Biography – BELL, HUGH ...  
In the mean time Bell’s prominence as a spokesman for the burgeoning middle class of Halifax had brought him to the attention of the new lieutenant governor, Lord Falkland [Cary*], who appointed him to the Legislative Council in 1841.
une lettre accusant de corruption les juges de paix de la ville [V. Richard Tremain]. La même année, Howe proposa la candidature de Bell à l’élection partielle tenue dans le canton de Halifax pour choisir un député à la chambre d’Assemblée. Bell fut élu sans opposition et réélu aux élections générales de 1836. À cette époque, le scrutin pouvait durer jusqu’à deux semaines ; le bureau de scrutin se transportait d’un endroit à un autre, accompagné de jeux d’argent, de danses et de beuveries. À la fin du scrutin, au bureau de la circonscription de Halifax qui se tenait dans la région de la baie St Margaret, les gens juchèrent les « candidats populaires sur des chaises et les portèrent sur une distance de près d’un mille, parcourant la baie parmi les acclamations ». Howe, candidat réformiste élu dans la circonscription de Halifax, se plaisait dans cette atmosphère de carnaval, mais Bell jugeait ces manifestations « extrêmement déplaisantes ». En cela, comme dans ses affaires et dans ses activités concernant son Église, Bell se conduisait conformément à l’image que Howe avait tracée de lui et qui le dépeignait comme un « digne représentant » des vertus de la « classe moyenne ». Bien que Bell ait déclaré dans un discours électoral qu’il n’était « le champion d’aucun parti » et qu’il n’ait pas toujours appuyé la cause de la réforme aussi énergiquement que Howe l’aurait souhaité, il se considérait comme un défenseur de la classe moyenne. Aussi, en tant que tel, il se montra un soutien constant et parfois « zélé » du parti de la réforme dans sa lutte contre la suprématie exercée par l’oligarchie des marchands, surtout dans les affaires municipales. C’est ainsi qu’il participa au mouvement qui préconisait l’érection de Halifax en cité et l’élection des fonctionnaires municipaux [V. Thomas Forrester*] ; toutefois, il favorisait une application restreinte de ce principe en exigeant un cens d’éligibilité élevé.
  General Bibliography – ...  
3: Cary, George Marcus
65 : Sherwood, Adiel.
  General Bibliography – ...  
3: George Marcus Cary, 1836–60
et au Québec (xviie–xixe siècles)
  Biography – JOHNSTON, J...  
Seeing his executive advisers out stumping in opposition to one another, a dismayed Governor Falkland [Lucius Bentinck Cary*] ordered dissolution of the assembly on 26 Oct. 1843 in the hope that an election might clear the air.
En 1824, l’église St Paul, la cathédrale anglicane de Halifax, connut une crise sérieuse : l’évêque, le révérend John Inglis*, intervint contre la nomination de John Thomas Twining*, qui était de tendance évangélique, au poste, vacant depuis peu, d’administrateur ecclésiastique de la cathédrale. Johnston fut entraîné dans la controverse par les paroissiens de St Paul, qui le pressèrent de plaider leur cause contre l’évêque à la Cour de la chancellerie. Le tribunal soutint l’évêque mais ne put empêcher de nombreux membres de la congrégation d’abandonner St Paul. La majorité des rebelles adopta l’église anglicane St George, mais quelques-uns, dont Johnston, cherchèrent à s’attacher à une autre église. Ils tentèrent d’en fonder une, qui ne serait pas sous la juridiction de l’évêque et dont Twining serait le pasteur. Mais ce dernier, refusant de participer à une telle rébellion, abandonna ses anciens disciples et les laissa errer avec inquiétude d’une dénomination à l’autre sans pouvoir se fixer. L’isolement des rebelles prit fin en 1827, quand revint du Massachusetts Edmund Albern Crawley*, qui avait fait son droit sous la direction de Johnston. Il était accompagné de deux ministres baptistes renommés, de Newton Theological Seminary. Ces derniers firent une impression si favorable sur Johnston et ses amis qu’on s’entendit pour fonder une église baptiste rue Granville. Alexis Caswell, l’un des deux Bostonnais, en fut le premier pasteur.
  Biography – PRESCOTT, R...  
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CARY, THOMAS (1751-1823) (Vol. 6)CHAUSSEGROS DE LÉRY, LOUIS-RENÉ (Vol. 6)COFFIN, NATHANIEL (Vol. 7)COFFIN, THOMAS (1762-1841) (Vol. 7)DENISON, AVERY (Vol. 6)DOUGLAS, sir HOWARD (Vol. 9)DÉNÉCHAU, CLAUDE (Vol. 7)GALE, SAMUEL (1747-1826) (Vol. 6)GALE, SAMUEL (1783-1865) (Vol. 9)HOLLAND, SAMUEL JOHANNES (Vol. 5)HYATT, GILBERT (Vol. 6)JESSUP, EDWARD (Vol. 5)KIMBER, RENÉ (Vol. 7)McGILL, JOHN (Vol. 6)McKEE, THOMAS (Vol. 5)MILNES, sir ROBERT SHORE (Vol. 7)MOUNTAIN, JACOB (Vol. 6)NEILSON, JOHN (Vol. 7)NOOTH, JOHN MERVIN (Vol. 6)PANET, JEAN-ANTOINE (Vol. 5)PENNOYER, JESSE (Vol. 6)PUISAYE, JOSEPH-GENEVIÈVE DE, comte de PUISAYE (Vol. 6)RAMAGE, JOHN (Vol. 5)RICHARDSON, JOHN (mort en 1831) (Vol. 6)RYLAND, HERMAN WITSIUS (Vol. 7)SAVAGE, JOHN (Vol. 6)VINCENT, NICOLAS (Vol. 7)WILLARD, SAMUEL (Vol. 6)
  Biography – HUNTINGTON,...  
In October 1840, some months after the arrival in Halifax of Durham’s successor, Lord Sydenham [Thomson*], Joseph Howe and two other reformers, James Boyle Uniacke and James McNab, succumbed to the governor’s blandishments and entered the Executive Council, in coalition with James William Johnston*. But Huntington, undazzled by the “king’s wine,” spurned the “inglorious” coalition in spite of repeated invitations to join from Howe and Lieutenant Governor Lord Falkland [Cary*].
Fils d’un loyaliste du Connecticut, Herbert Huntington grandit à Yarmouth, ville portuaire dotée d’un chantier naval. Situé à l’extrémité ouest de la péninsule néo-écossaise, assez près de la Nouvelle-Angleterre, Yarmouth devint, tôt dans son histoire, une citadelle de démocrates, d’individualistes et de non-conformistes. On ne sait à peu près rien des études de Huntington, mais il reçut peut-être quelque formation de son père qui, comme arpenteur et protonotaire, devait être assez instruit. Pendant le guerre de 1812, raconta plus tard Joseph Howe*, le jeune Huntington se joignit à la milice de Yarmouth pour empêcher un navire américain d’accoster. Par la suite, il enseigna quelque temps à Yarmouth, fut capitaine dans la milice et devint en 1822 le premier bibliothécaire de la nouvelle Yarmouth Book Society. De plus, il fut fermier et, chose peu surprenante dans sa ville, il détenait des actions dans un ou plusieurs navires et possédait au moins un bateau, un brick naufragé, qu’il acheta en 1833. En outre, il fut commissaire des égouts du canton de Yarmouth et l’un des fondateurs de la Yarmouth County Agricultural Society, dont il devint secrétaire. En 1839, il succéda à son père comme arpenteur et protonotaire.
  Biography – ARCHIBALD, ...  
When a new lieutenant governor, Lord Falkland [Cary*], reconstituted the Executive Council in October 1840, Archibald headed the list of new councillors, but following the election of the same year he could not resume the office of speaker because of a decision taken in Britain to bring Nova Scotian parliamentary practice into accord with the British.
Quand, en octobre 1840, le nouveau lieutenant-gouverneur, lord Falkland [Cary*], reconstitua le Conseil exécutif, Archibald se trouva en tête de la liste des nouveaux conseillers mais, après les élections tenues cette année-là, il ne put reprendre le fauteuil de président de la chambre, parce que Londres avait décidé de modifier la coutume néo-écossaise pour la rendre conforme à la règle britannique. Forcé de choisir entre le poste de président et celui de procureur général, Archibald résolut de conserver le second. Il ne resta pas très longtemps à l’Assemblée : le 29 avril 1841, après la mort de Charles Rufus Fairbanks, il fut assermenté comme maître des rôles, fonction qu’il exerça jusqu’à ce que, cinq ans plus tard, une violente attaque d’apoplexie le tue instantanément. Ceux qui craignaient que son manque de connaissances juridiques et son peu de goût pour le travail ne fassent de lui un médiocre maître des rôles furent surpris de son application. Sans être un grand juge, il était, de l’avis général, très bon ; son rendement n’était certainement pas inférieur à celui des autres maîtres, Robie, Fairbanks et Alexander Stewart*.
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