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“I think there’s something about jazz music and [‘Rhapsody in Blue’] that’s doing what we do when we dream. We fixate on a thing and we talk, it’s like tumbling in the washing machines of our minds, we toss it and we toss it, and it gets wetter and wetter and wetter, and turns from a cat into a wet cat into a leopard into a sphinx that we’re riding through the sky. That’s a little bit like what I wanted the movie to do, to recycle the images.”
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«Je ne pense pas que ce soit deux choses différentes,» tente-t-elle. «Je pense qu’il y a quelque chose à propos de la musique jazz et [‘Rhapsody in Blue’] qui agit comme nous lorsqu’on rêve. On se concentre sur une chose et on parle, c’est comme culbuter dans les machines à laver de nos esprits, on remue et on remue encore, et cela devient de mieux en mieux, et ça se transforme d’un chat à un chat mouillé, à un léopard, puis un sphinx qu’on chevauche dans le ciel. C’est un peu ce que je souhaitais faire avec le film; recycler les images.»
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