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Dans son rapport final de septembre 1990, le Comité d'examen public des systèmes de sécurité des navires-citernes a conclu que la capacité d'intervention du Canada en cas de déversement d'hydrocarbures en milieu marin n'était pas adéquate. En juin 1991, le gouvernement a réagi en adoptant une stratégie destinée à améliorer la capacité d'intervention du Canada grâce à un partenariat avec le secteur privé. Le Cabinet a ordonné la mise en oeuvre de la stratégie approuvée par l'entremise de changements législatifs à la Loi sur la marine marchande du Canada (LMMC); le principe central du projet de loi C-121 portait sur la mise en oeuvre d'une capacité d'intervention financée par le secteur privé.
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