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Monsieur Bennett, vous avez indiqué que le modèle était assez innovateur du fait qu'il s'inspirait des normes de l'ACNOR et qu'on misait sur le fait que les industries se conformeraient à cette norme et iraient de l'avant. Croyez-vous que, pour ce modèle qui constitue, selon vous, la solution à adopter, la faiblesse de la loi réside peut-être précisément dans le fait que le commissaire est en fait un protecteur du citoyen, et de nombreuses entreprises ne sont pas au courant de cette mesure législative? Comment peuvent-elles alors s'y conformer? Bien des Canadiens n'en étaient pas au courant non plus. Par conséquent, comment peuvent-ils veiller à ce que leurs droits soient respectés?
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