ctl – Traduction – Dictionnaire Keybot

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  Effect of supplementing...  
The impact of supplementing the diet of lactating sows with NuPro® (a source of yeast-derived proteins) on their performance and that of their piglets was studied. Treatments were: control (CTL, n=22), 30 g of NuPro per day (NuPro30, n=22), and 60 g of NuPro per day (NuPro60, n=21).
L’impact d’un ajout de NuPro® (protéine dérivée de levures) dans la ration de truies en lactation, sur leurs performances et celles de leurs porcelets a é té étudié. Les traitements étaient: témoins (CTL, n=22), 30 g de NuPro par jour (NuPro30, n=22), et 60 g de NuPro par jour (NuPro60, n=21). Le NuPro é tait mélangé à chaque jour avec 500 g de moulée et donné pendant les 21 jours de lactation. Des échantillons sanguins ont été obtenus de la veine jugulaire des truies aux jours 2, 7 et 20 de lactation pour mesurer les concentrations d’urée. Des échantillons de lait ont été obtenus aux jours 7 et 20 de lactation pour analyses de composition et quantification des nucléotides 5‘ monophosphate. Les portées ont été uniformisées à 10±1 à 48h postpartum. Le poids et le gras dorsal des truies ont été noté s pendant la lactation ainsi que le poids des porcelets jusqu’au jour 56. La prise alimentaire des truies pendant la lactation et celle des porcelets dans les 5 semaines post-sevrage ont é té noté es. Les analyses statistiques ont é té faites avec PROC MIXED et une analyse de variance univariée (trois niveaux) selon un dispositif expérimental complètement aléatoire. Aucune des variables zootechniques mesurées n’a é té affectée par les traitements (P>0.1). De plus, la composition standard du lait est restée inchangée (P>0.1). Les concentrations de nucléotides dans le lait des truies étaient plus élevées au jour 7 qu’au jour 20 de lactation (P<0.001) mais n’étaient pas affectées par les traitements (P>0.1). En conclusion, supplémenter la ration de truies lactantes avec du NuPro n’augmente pas les concentrations de nucléotides dans le lait de truies et n’a pas d’effet bénéfique sur leur performance ou celle de leurs porcelets.
  Impact of diet deprivat...  
The impact of diet deprivation and subsequent over-allowance on the metabolite status, mammary development, and mammary gene expression in prepubertal gilts was determined. Forty-seven gilts were reared under a conventional (control, CTL; n = 23) or an experimental (treatment, TRT; n = 24) dietary regimen.
Dans le cadre de la présente étude, nous avons étudié l’effet d’une restriction alimentaire suivie d’une suralimentation sur les métabolites, le développement mammaire et l’expression génétique mammaire chez des cochettes prépubères. Nous avons élevé 47 cochettes en les soumettant à un régime alimentaire classique (groupe témoin, TE; n = 23) ou expérimental (groupe traité, TR; n = 24). Le régime expérimental (consistant en une restriction alimentaire suivie d’une suralimentation), était constitué d’une ration restrictive (R) et d’une ration de suralimentation (S) fournissant respectivement 70 % et 115 % des protéines et de l’énergie digestible de la ration TE. Les rations expérimentales, accessibles à volonté, ont été données aux cochettes à partir du moment où leur poids a atteint 27,7 ± 3,4 kg, selon le calendrier suivant : 3 semaines de ration R, 3 semaines de ration S, puis 4 semaines de ration R et 4 semaines de ration S. À chaque changement de ration, nous avons pesé les cochettes, mesuré leur consommation alimentaire (C) individuelle et prélevé des échantillons de sang pour le dosage des métabolites et de l’IGF‑1. Une partie des cochettes (11 du groupe TE et 12 du groupe TR) ont été abattues au jour 235 (après avoir atteint la puberté), et du tissu mammaire a été prélevé pour des analyses de composition et la mesure de l’expression génétique. Nous avons observé une diminution du gain pondéral (G) (P < 0,01) et du rapport G/C (P < 0,05) des cochettes au cours de chacune des périodes durant lesquelles elles recevaient la ration R. Nous n’avons toutefois observé aucune croissance compensatoire durant les périodes de ration S. La ration R, lorsqu’elle a été donnée aux cochettes du groupe TR, a fait diminuer la teneur en urée et en IGF‑1 (P < 0,01) par rapport aux cochettes du groupe TE, alors que la ration S a fait augmenter la teneur en AGL (P < 0,01) et en glucose (P < 0,10). Nous avons constaté que, par rapport aux cochettes du groupe TE, les cochettes du groupe TR avaient moins de tissu parenchymateux (P < 0,05) et que ce dernier avait tendance à renfermer moins de lipides et de protéines (P < 0,1). L’abondance relative de l’ARNm du signal transducteur et activateur de la transcription 5B dans le tissu mammaire était inférieure chez les cochettes du groupe TR que chez celles du groupe TE (P < 0,05). En conclusion, l’utilisation d’une restriction alimentaire suivie d’une suralimentation chez les cochettes en croissance‑finition n’a pas d’effets favo
  Impact of diet deprivat...  
The impact of diet deprivation and subsequent over-allowance on the metabolite status, mammary development, and mammary gene expression in prepubertal gilts was determined. Forty-seven gilts were reared under a conventional (control, CTL; n = 23) or an experimental (treatment, TRT; n = 24) dietary regimen.
Dans le cadre de la présente étude, nous avons étudié l’effet d’une restriction alimentaire suivie d’une suralimentation sur les métabolites, le développement mammaire et l’expression génétique mammaire chez des cochettes prépubères. Nous avons élevé 47 cochettes en les soumettant à un régime alimentaire classique (groupe témoin, TE; n = 23) ou expérimental (groupe traité, TR; n = 24). Le régime expérimental (consistant en une restriction alimentaire suivie d’une suralimentation), était constitué d’une ration restrictive (R) et d’une ration de suralimentation (S) fournissant respectivement 70 % et 115 % des protéines et de l’énergie digestible de la ration TE. Les rations expérimentales, accessibles à volonté, ont été données aux cochettes à partir du moment où leur poids a atteint 27,7 ± 3,4 kg, selon le calendrier suivant : 3 semaines de ration R, 3 semaines de ration S, puis 4 semaines de ration R et 4 semaines de ration S. À chaque changement de ration, nous avons pesé les cochettes, mesuré leur consommation alimentaire (C) individuelle et prélevé des échantillons de sang pour le dosage des métabolites et de l’IGF‑1. Une partie des cochettes (11 du groupe TE et 12 du groupe TR) ont été abattues au jour 235 (après avoir atteint la puberté), et du tissu mammaire a été prélevé pour des analyses de composition et la mesure de l’expression génétique. Nous avons observé une diminution du gain pondéral (G) (P < 0,01) et du rapport G/C (P < 0,05) des cochettes au cours de chacune des périodes durant lesquelles elles recevaient la ration R. Nous n’avons toutefois observé aucune croissance compensatoire durant les périodes de ration S. La ration R, lorsqu’elle a été donnée aux cochettes du groupe TR, a fait diminuer la teneur en urée et en IGF‑1 (P < 0,01) par rapport aux cochettes du groupe TE, alors que la ration S a fait augmenter la teneur en AGL (P < 0,01) et en glucose (P < 0,10). Nous avons constaté que, par rapport aux cochettes du groupe TE, les cochettes du groupe TR avaient moins de tissu parenchymateux (P < 0,05) et que ce dernier avait tendance à renfermer moins de lipides et de protéines (P < 0,1). L’abondance relative de l’ARNm du signal transducteur et activateur de la transcription 5B dans le tissu mammaire était inférieure chez les cochettes du groupe TR que chez celles du groupe TE (P < 0,05). En conclusion, l’utilisation d’une restriction alimentaire suivie d’une suralimentation chez les cochettes en croissance‑finition n’a pas d’effets favo
  Impact of diet deprivat...  
The impact of diet deprivation and subsequent over-allowance on the metabolite status, mammary development, and mammary gene expression in prepubertal gilts was determined. Forty-seven gilts were reared under a conventional (control, CTL; n = 23) or an experimental (treatment, TRT; n = 24) dietary regimen.
Dans le cadre de la présente étude, nous avons étudié l’effet d’une restriction alimentaire suivie d’une suralimentation sur les métabolites, le développement mammaire et l’expression génétique mammaire chez des cochettes prépubères. Nous avons élevé 47 cochettes en les soumettant à un régime alimentaire classique (groupe témoin, TE; n = 23) ou expérimental (groupe traité, TR; n = 24). Le régime expérimental (consistant en une restriction alimentaire suivie d’une suralimentation), était constitué d’une ration restrictive (R) et d’une ration de suralimentation (S) fournissant respectivement 70 % et 115 % des protéines et de l’énergie digestible de la ration TE. Les rations expérimentales, accessibles à volonté, ont été données aux cochettes à partir du moment où leur poids a atteint 27,7 ± 3,4 kg, selon le calendrier suivant : 3 semaines de ration R, 3 semaines de ration S, puis 4 semaines de ration R et 4 semaines de ration S. À chaque changement de ration, nous avons pesé les cochettes, mesuré leur consommation alimentaire (C) individuelle et prélevé des échantillons de sang pour le dosage des métabolites et de l’IGF‑1. Une partie des cochettes (11 du groupe TE et 12 du groupe TR) ont été abattues au jour 235 (après avoir atteint la puberté), et du tissu mammaire a été prélevé pour des analyses de composition et la mesure de l’expression génétique. Nous avons observé une diminution du gain pondéral (G) (P < 0,01) et du rapport G/C (P < 0,05) des cochettes au cours de chacune des périodes durant lesquelles elles recevaient la ration R. Nous n’avons toutefois observé aucune croissance compensatoire durant les périodes de ration S. La ration R, lorsqu’elle a été donnée aux cochettes du groupe TR, a fait diminuer la teneur en urée et en IGF‑1 (P < 0,01) par rapport aux cochettes du groupe TE, alors que la ration S a fait augmenter la teneur en AGL (P < 0,01) et en glucose (P < 0,10). Nous avons constaté que, par rapport aux cochettes du groupe TE, les cochettes du groupe TR avaient moins de tissu parenchymateux (P < 0,05) et que ce dernier avait tendance à renfermer moins de lipides et de protéines (P < 0,1). L’abondance relative de l’ARNm du signal transducteur et activateur de la transcription 5B dans le tissu mammaire était inférieure chez les cochettes du groupe TR que chez celles du groupe TE (P < 0,05). En conclusion, l’utilisation d’une restriction alimentaire suivie d’une suralimentation chez les cochettes en croissance‑finition n’a pas d’effets favo
  Impact of diet deprivat...  
The impact of diet deprivation and subsequent over-allowance on the metabolite status, mammary development, and mammary gene expression in prepubertal gilts was determined. Forty-seven gilts were reared under a conventional (control, CTL; n = 23) or an experimental (treatment, TRT; n = 24) dietary regimen.
Dans le cadre de la présente étude, nous avons étudié l’effet d’une restriction alimentaire suivie d’une suralimentation sur les métabolites, le développement mammaire et l’expression génétique mammaire chez des cochettes prépubères. Nous avons élevé 47 cochettes en les soumettant à un régime alimentaire classique (groupe témoin, TE; n = 23) ou expérimental (groupe traité, TR; n = 24). Le régime expérimental (consistant en une restriction alimentaire suivie d’une suralimentation), était constitué d’une ration restrictive (R) et d’une ration de suralimentation (S) fournissant respectivement 70 % et 115 % des protéines et de l’énergie digestible de la ration TE. Les rations expérimentales, accessibles à volonté, ont été données aux cochettes à partir du moment où leur poids a atteint 27,7 ± 3,4 kg, selon le calendrier suivant : 3 semaines de ration R, 3 semaines de ration S, puis 4 semaines de ration R et 4 semaines de ration S. À chaque changement de ration, nous avons pesé les cochettes, mesuré leur consommation alimentaire (C) individuelle et prélevé des échantillons de sang pour le dosage des métabolites et de l’IGF‑1. Une partie des cochettes (11 du groupe TE et 12 du groupe TR) ont été abattues au jour 235 (après avoir atteint la puberté), et du tissu mammaire a été prélevé pour des analyses de composition et la mesure de l’expression génétique. Nous avons observé une diminution du gain pondéral (G) (P < 0,01) et du rapport G/C (P < 0,05) des cochettes au cours de chacune des périodes durant lesquelles elles recevaient la ration R. Nous n’avons toutefois observé aucune croissance compensatoire durant les périodes de ration S. La ration R, lorsqu’elle a été donnée aux cochettes du groupe TR, a fait diminuer la teneur en urée et en IGF‑1 (P < 0,01) par rapport aux cochettes du groupe TE, alors que la ration S a fait augmenter la teneur en AGL (P < 0,01) et en glucose (P < 0,10). Nous avons constaté que, par rapport aux cochettes du groupe TE, les cochettes du groupe TR avaient moins de tissu parenchymateux (P < 0,05) et que ce dernier avait tendance à renfermer moins de lipides et de protéines (P < 0,1). L’abondance relative de l’ARNm du signal transducteur et activateur de la transcription 5B dans le tissu mammaire était inférieure chez les cochettes du groupe TR que chez celles du groupe TE (P < 0,05). En conclusion, l’utilisation d’une restriction alimentaire suivie d’une suralimentation chez les cochettes en croissance‑finition n’a pas d’effets favo
  Impact of diet deprivat...  
The impact of diet deprivation and subsequent over-allowance on the metabolite status, mammary development, and mammary gene expression in prepubertal gilts was determined. Forty-seven gilts were reared under a conventional (control, CTL; n = 23) or an experimental (treatment, TRT; n = 24) dietary regimen.
Dans le cadre de la présente étude, nous avons étudié l’effet d’une restriction alimentaire suivie d’une suralimentation sur les métabolites, le développement mammaire et l’expression génétique mammaire chez des cochettes prépubères. Nous avons élevé 47 cochettes en les soumettant à un régime alimentaire classique (groupe témoin, TE; n = 23) ou expérimental (groupe traité, TR; n = 24). Le régime expérimental (consistant en une restriction alimentaire suivie d’une suralimentation), était constitué d’une ration restrictive (R) et d’une ration de suralimentation (S) fournissant respectivement 70 % et 115 % des protéines et de l’énergie digestible de la ration TE. Les rations expérimentales, accessibles à volonté, ont été données aux cochettes à partir du moment où leur poids a atteint 27,7 ± 3,4 kg, selon le calendrier suivant : 3 semaines de ration R, 3 semaines de ration S, puis 4 semaines de ration R et 4 semaines de ration S. À chaque changement de ration, nous avons pesé les cochettes, mesuré leur consommation alimentaire (C) individuelle et prélevé des échantillons de sang pour le dosage des métabolites et de l’IGF‑1. Une partie des cochettes (11 du groupe TE et 12 du groupe TR) ont été abattues au jour 235 (après avoir atteint la puberté), et du tissu mammaire a été prélevé pour des analyses de composition et la mesure de l’expression génétique. Nous avons observé une diminution du gain pondéral (G) (P < 0,01) et du rapport G/C (P < 0,05) des cochettes au cours de chacune des périodes durant lesquelles elles recevaient la ration R. Nous n’avons toutefois observé aucune croissance compensatoire durant les périodes de ration S. La ration R, lorsqu’elle a été donnée aux cochettes du groupe TR, a fait diminuer la teneur en urée et en IGF‑1 (P < 0,01) par rapport aux cochettes du groupe TE, alors que la ration S a fait augmenter la teneur en AGL (P < 0,01) et en glucose (P < 0,10). Nous avons constaté que, par rapport aux cochettes du groupe TE, les cochettes du groupe TR avaient moins de tissu parenchymateux (P < 0,05) et que ce dernier avait tendance à renfermer moins de lipides et de protéines (P < 0,1). L’abondance relative de l’ARNm du signal transducteur et activateur de la transcription 5B dans le tissu mammaire était inférieure chez les cochettes du groupe TR que chez celles du groupe TE (P < 0,05). En conclusion, l’utilisation d’une restriction alimentaire suivie d’une suralimentation chez les cochettes en croissance‑finition n’a pas d’effets favo
  Deletion of arginine fr...  
The diet was formulated to supply 100% of the National Research Council net energy requirement and 72% of the metabolizable protein requirement. The treatments were randomly distributed as abomasal infusions of (1) water (CTL), (2) a mixture of essential AA (EAA) excluding Arg (ARG-), or (3) a mixture of EAA including Arg (ARG+).
Dans les travaux présentés ici, nous avons déterminé si un apport limité d’Arg peut influer sur le rendement en lait et en protéines laitières ainsi que sur l’absorption mammaire d’acides aminés (AA) et de substrats énergétiques. Pour notre expérience, nous avons utilisé 6 vaches Holstein en lactation (199 ± 5 jours en lactation) suivant un plan en carré latin répété 3 × 3 équilibré en fonction des effets résiduels, avec des périodes de 14 jours. La ration a été formulée de façon à ce qu’elle comble 100 % des besoins en énergie nette déterminés par le Conseil national de recherches et 72 % des besoins en protéines métabolisables. Les traitements ont été attribués de façon aléatoire; il s’agissait des perfusions abomasales suivantes : 1) eau (témoin), 2) mélange d’AA essentiels (AAE), à l’exclusion de l’Arg (ARG-), 3) mélange d’AAE avec de l’Arg (ARG+). Le profil des AAE des solutions de perfusion était le même que celui de la caséine, sauf que la teneur en méthionine a été augmentée de façon à ce que le rapport lysine/méthionine digestibles soit maintenu à 3/1 (apport total : ration + perfusion). Le rendement en protéines laitières a augmenté avec le traitement ARG+ par comparaison au traitement témoin, et l’élimination de l’Arg dans la solution de perfusion (traitement ARG-) n’a pas eu d’effet défavorable sur cette réponse. L’élimination de l’Arg du mélange d’AAE a entraîné la baisse de l’absorption mammaire d’Arg par comparaison au traitement témoin, et, même si le rapport absorption/sécrétion a baissé, passant de 2,52 (ARG+) à 2,12 (ARG-), l’absorption a continué de dépasser de beaucoup la sécrétion dans les protéines laitières. Par ailleurs, l’élimination de l’Arg n’a changé aucun des paramètres mesurés (aucune différence significative n’a été observée entre les traitements ARG- et ARG+), sauf les concentrations artérielles d’Arg et d’urée. Pour soutenir les rendements accrus en protéines laitières et en lactose, l’absorption mammaire des AA du groupe 2 (Ile, Leu, Lys et Val) a augmenté, et le rapport absorption/sécrétion a eu tendance à s’élever, passant de 1,04 à 1,23. Pour les AA du groupe 1 (His, Met, Phe + Tyr, Trp), le rapport absorption mammaire/sécrétion de protéines laitières n’a pas différé de 1 et n’était pas différent d’un traitement à l’autre. L’absorption mammaire de substrats énergétiques n’a pas varié d’un traitement à l’autre, quoique le rendement en lactose du lait ait augmenté avec le traitement ARG+ par comparaison au traitement té
  Deletion of arginine fr...  
The diet was formulated to supply 100% of the National Research Council net energy requirement and 72% of the metabolizable protein requirement. The treatments were randomly distributed as abomasal infusions of (1) water (CTL), (2) a mixture of essential AA (EAA) excluding Arg (ARG-), or (3) a mixture of EAA including Arg (ARG+).
Dans les travaux présentés ici, nous avons déterminé si un apport limité d’Arg peut influer sur le rendement en lait et en protéines laitières ainsi que sur l’absorption mammaire d’acides aminés (AA) et de substrats énergétiques. Pour notre expérience, nous avons utilisé 6 vaches Holstein en lactation (199 ± 5 jours en lactation) suivant un plan en carré latin répété 3 × 3 équilibré en fonction des effets résiduels, avec des périodes de 14 jours. La ration a été formulée de façon à ce qu’elle comble 100 % des besoins en énergie nette déterminés par le Conseil national de recherches et 72 % des besoins en protéines métabolisables. Les traitements ont été attribués de façon aléatoire; il s’agissait des perfusions abomasales suivantes : 1) eau (témoin), 2) mélange d’AA essentiels (AAE), à l’exclusion de l’Arg (ARG-), 3) mélange d’AAE avec de l’Arg (ARG+). Le profil des AAE des solutions de perfusion était le même que celui de la caséine, sauf que la teneur en méthionine a été augmentée de façon à ce que le rapport lysine/méthionine digestibles soit maintenu à 3/1 (apport total : ration + perfusion). Le rendement en protéines laitières a augmenté avec le traitement ARG+ par comparaison au traitement témoin, et l’élimination de l’Arg dans la solution de perfusion (traitement ARG-) n’a pas eu d’effet défavorable sur cette réponse. L’élimination de l’Arg du mélange d’AAE a entraîné la baisse de l’absorption mammaire d’Arg par comparaison au traitement témoin, et, même si le rapport absorption/sécrétion a baissé, passant de 2,52 (ARG+) à 2,12 (ARG-), l’absorption a continué de dépasser de beaucoup la sécrétion dans les protéines laitières. Par ailleurs, l’élimination de l’Arg n’a changé aucun des paramètres mesurés (aucune différence significative n’a été observée entre les traitements ARG- et ARG+), sauf les concentrations artérielles d’Arg et d’urée. Pour soutenir les rendements accrus en protéines laitières et en lactose, l’absorption mammaire des AA du groupe 2 (Ile, Leu, Lys et Val) a augmenté, et le rapport absorption/sécrétion a eu tendance à s’élever, passant de 1,04 à 1,23. Pour les AA du groupe 1 (His, Met, Phe + Tyr, Trp), le rapport absorption mammaire/sécrétion de protéines laitières n’a pas différé de 1 et n’était pas différent d’un traitement à l’autre. L’absorption mammaire de substrats énergétiques n’a pas varié d’un traitement à l’autre, quoique le rendement en lactose du lait ait augmenté avec le traitement ARG+ par comparaison au traitement té
  Improved milk productio...  
In part 3, 60 early-lactation Holstein dairy cows were fed 1 of 3 diets for a 10-wk period: (1) control (CTL; no enzyme), (2) low enzyme (CTL treated with 0.5 mL of enzyme/kg of diet DM), and (3) high enzyme (CTL treated with 1.0 mL of enzyme/kg of diet DM).
Nous avons réalisé une étude en 3 parties pour évaluer l’effet d’un additif enzymatique fibrolytique en développement sur la digestibilité de certains fourrages et sur la performance de production de vaches laitières en début de lactation. La première partie était une expérience in vitro qui a consisté à incuber pendant 24 heures 4 cultures identiques dans lesquelles du foin de luzerne, de l’ensilage de luzerne et de l’ensilage d’orge ont été utilisés comme substrats, le ferment étant du liquide ruminal. Nous avons ajouté un additif enzymatique fibrolytique en développement (AB Vista, Marlborough, R.-U.) en 5 doses : 0, 0,5, 1,0, 1,5 et 2,0 μL/g de matière sèche du fourrage. Après une incubation de 24 h, nous avons mesuré la disparition de la matière sèche, des fibres au détergent neutre et des fibres au détergent acide. Dans le cas du foin de luzerne, la disparition de ces 3 éléments a été plus importante avec la dose d’additif la plus élevée par comparaison aux valeurs obtenues sans ajout d’enzyme. De même, par comparaison aux résultats obtenus sans ajout d’enzyme, la disparition des fibres au détergent neutre et des fibres au détergent acide de l’ensilage d’orge a généralement été plus importante avec la dose d’enzyme la plus élevée; il en a été de même des fibres au détergent neutre de l’ensilage de luzerne. Dans la deuxième partie de l’étude, nous avons utilisé 6 vaches laitières Holstein en lactation munies d’une canule ruminale pour déterminer la dégradation in situ de l’ensilage de luzerne et de l’ensilage d’orge avec (1,0 mL/kg de matière sèche de l’ensilage) et sans enzyme. Nous avons donné à 3 des vaches la ration témoin (sans enzyme) et aux 3 autres une ration à laquelle nous avons ajouté l’enzyme (1,0 mL/kg de matière sèche). L’ajout de l’enzyme après l’incubation de 24 h in situ n’a pas influé sur la disparition de l’ensilage d’orge, ni sur celle de l’ensilage de luzerne. Dans la troisième partie de l’étude, 60 vaches laitières Holstein en début de lactation on reçu pendant 10 semaines l’une des 3 rations suivantes : 1) témoin (TÉ, sans enzyme), 2) faible teneur en enzyme (ration TÉ avec 0,5 mL d’enzyme/kg de matière sèche), et 3) forte teneur en enzyme (ration TÉ avec 1,0 mL d’enzyme/kg de matière sèche). L’enzyme ajoutée aux rations n’a pas eu d’effet sur le rendement en lait, mais, par comparaison au groupe ayant reçu la ration TÉ, la consommation de matière sèche a été moindre avec la ration à forte teneur en enzyme et a eu tendance à êt
  Deletion of arginine fr...  
The diet was formulated to supply 100% of the National Research Council net energy requirement and 72% of the metabolizable protein requirement. The treatments were randomly distributed as abomasal infusions of (1) water (CTL), (2) a mixture of essential AA (EAA) excluding Arg (ARG-), or (3) a mixture of EAA including Arg (ARG+).
Dans les travaux présentés ici, nous avons déterminé si un apport limité d’Arg peut influer sur le rendement en lait et en protéines laitières ainsi que sur l’absorption mammaire d’acides aminés (AA) et de substrats énergétiques. Pour notre expérience, nous avons utilisé 6 vaches Holstein en lactation (199 ± 5 jours en lactation) suivant un plan en carré latin répété 3 × 3 équilibré en fonction des effets résiduels, avec des périodes de 14 jours. La ration a été formulée de façon à ce qu’elle comble 100 % des besoins en énergie nette déterminés par le Conseil national de recherches et 72 % des besoins en protéines métabolisables. Les traitements ont été attribués de façon aléatoire; il s’agissait des perfusions abomasales suivantes : 1) eau (témoin), 2) mélange d’AA essentiels (AAE), à l’exclusion de l’Arg (ARG-), 3) mélange d’AAE avec de l’Arg (ARG+). Le profil des AAE des solutions de perfusion était le même que celui de la caséine, sauf que la teneur en méthionine a été augmentée de façon à ce que le rapport lysine/méthionine digestibles soit maintenu à 3/1 (apport total : ration + perfusion). Le rendement en protéines laitières a augmenté avec le traitement ARG+ par comparaison au traitement témoin, et l’élimination de l’Arg dans la solution de perfusion (traitement ARG-) n’a pas eu d’effet défavorable sur cette réponse. L’élimination de l’Arg du mélange d’AAE a entraîné la baisse de l’absorption mammaire d’Arg par comparaison au traitement témoin, et, même si le rapport absorption/sécrétion a baissé, passant de 2,52 (ARG+) à 2,12 (ARG-), l’absorption a continué de dépasser de beaucoup la sécrétion dans les protéines laitières. Par ailleurs, l’élimination de l’Arg n’a changé aucun des paramètres mesurés (aucune différence significative n’a été observée entre les traitements ARG- et ARG+), sauf les concentrations artérielles d’Arg et d’urée. Pour soutenir les rendements accrus en protéines laitières et en lactose, l’absorption mammaire des AA du groupe 2 (Ile, Leu, Lys et Val) a augmenté, et le rapport absorption/sécrétion a eu tendance à s’élever, passant de 1,04 à 1,23. Pour les AA du groupe 1 (His, Met, Phe + Tyr, Trp), le rapport absorption mammaire/sécrétion de protéines laitières n’a pas différé de 1 et n’était pas différent d’un traitement à l’autre. L’absorption mammaire de substrats énergétiques n’a pas varié d’un traitement à l’autre, quoique le rendement en lactose du lait ait augmenté avec le traitement ARG+ par comparaison au traitement té