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Keybot 50 Ergebnisse  www.journal.forces.gc.ca
  International Cooperation  
gp-report-final,templateId=raw,property=publicationFile.pdf/gp-report-final>, accessed 25 June 2009.
, Northern Dimension Environmental Project, , consulté le 25 juin 2009.
  International Cooperation  
gp-report-final,templateId=raw,property=publicationFile.pdf/gp-report-final>, accessed 25 June 2009.
, Northern Dimension Environmental Project, , consulté le 25 juin 2009.
  International Cooperation  
A February 2006 SGP Issue Brief states that “…erratic funding from the United States, bureaucratic delays in processing government-to-government agreements, conflicts over sub-contracting and over [Russian] visas for foreigners working onsite” have delayed the actual commencement of the destruction program by three to four years.30
) qui soutient des projets environnementaux en matière de sécurité nucléaire et de gestion des déchets nucléaires dans le nord-ouest de la Russie et la mer de Barents, actuellement le plus grand dépotoir de déchets nucléaires au monde.34 Ce partenariat travaille en ce moment à l'élaboration d'un plan directeur stratégique qui établira un programme complet et harmonisé d'intervention visant l'ensemble des opérations de déclassement des sous-marins nucléaires, et qui comprendra un volet de sensibilisation aux conséquences environnementales de sa mise en ouvre.35
  The Sea Has No End: The...  
Corporal Tommy Mailloux from A Company, 3rd Battalion Royal 22e Régiment Battalion Group (3 R22eR Bn Gp), lets a young boy listen to his Personal Radio Receiver (PRR), while on a small break from a patrol in the city of Kabul, Afghanistan.
Avant de reprendre sa patrouille à Kaboul, le caporal Tommy Mailloux, de la Compagnie A du 3 e groupe-bataillon du Royal 22e Régiment, laisse un jeune garçon nommé Farhad écouter son récepteur radio.
  International Cooperation  
Additionally, as is the case with chemical weapons, Russia’s decommissioned nuclear submarines pose significant proliferation, terroristic, and environmental risks. In 2002, the GP pledged $1.3 billion of priority assistance to Russia in the transport, defuelling, dismantlement, safe management, and storage of nearly 200 nuclear vessels.32
indiquent qu'en 2004, la nécessité d'une coordination plus détaillée de haut niveau et de niveau inférieur était devenue évidente afin de prévenir les lacunes, le chevauchement des tâches et les accidents comme le naufrage d'un sous-marin nucléaire K-159 en août 2003, provoqué par un manque de supervision des groupes de travail.36 Malheureusement, en 2007, il restait encore bien des questions à clarifier et des problèmes à résoudre en ce qui a trait à l'établissement des priorités, à l'évaluation des risques et aux méthodes de planification, de même qu'au partage de l'information, qui aiderait les pays donateurs à fixer leurs propres priorités, et à la coordination.37 À titre d'exemple, le
  International Cooperation  
The ISTC funds basic and applied research and technology development, and has integrated approximately 25,000 former Soviet weapons scientists from Russia into the international science community, to address such problems as environmental restoration and arms control verification. Canada’s GP contributions have successfully redirected 2000 scientists into technology development for civilian purposes within the ISTC.54
Quoi qu'il en soit, les initiatives de coopération visant à empêcher les terroristes de se procurer des armes biologiques requièrent davantage d'aide que le partenariat mondial n'en a reçu jusqu'ici de la part de la Russie. À ce jour, celle-ci refuse toujours de discuter des enjeux de biosécurité dans le contexte du partenariat, un sujet de litige avec les pays donateurs qui, comme le Canada, s'affairent à améliorer la sécurité physique des lieux d'entreposage de matériel biologique dangereux. Pour réaliser l'objectif du partenariat mondial, qui est de mettre en sûreté les armes biologiques, les pays donateurs ont besoin de renseignements sur les laboratoires et dépôts biologiques du ministère de la Défense russe, notamment leurs emplacements, des inventaires précis de ce qui s'y trouve et leurs conditions de sécurité actuelles.61
  International Cooperation  
The ISTC funds basic and applied research and technology development, and has integrated approximately 25,000 former Soviet weapons scientists from Russia into the international science community, to address such problems as environmental restoration and arms control verification. Canada’s GP contributions have successfully redirected 2000 scientists into technology development for civilian purposes within the ISTC.54
Quoi qu'il en soit, les initiatives de coopération visant à empêcher les terroristes de se procurer des armes biologiques requièrent davantage d'aide que le partenariat mondial n'en a reçu jusqu'ici de la part de la Russie. À ce jour, celle-ci refuse toujours de discuter des enjeux de biosécurité dans le contexte du partenariat, un sujet de litige avec les pays donateurs qui, comme le Canada, s'affairent à améliorer la sécurité physique des lieux d'entreposage de matériel biologique dangereux. Pour réaliser l'objectif du partenariat mondial, qui est de mettre en sûreté les armes biologiques, les pays donateurs ont besoin de renseignements sur les laboratoires et dépôts biologiques du ministère de la Défense russe, notamment leurs emplacements, des inventaires précis de ce qui s'y trouve et leurs conditions de sécurité actuelles.61
  International Cooperation  
The tasks that Canada has undertaken within the GP project in Russia include providing assistance in maintaining and upgrading Russian nuclear and radiological security, cooperating in the dismantlement of Russia’s decommissioned nuclear submarines, destroying chemical weapons, ensuring the non-proliferation of biological weapons, and supporting redirection of thousands of former Soviet weapons scientists.25
Un autre problème vient du fait que la Russie s'est occupée davantage de la destruction des réserves chimiques de Kambarka et Maradykovsky afin de remplir ses obligations dans le cadre de la Convention sur les armes chimiques entrée en vigueur en 1997 et échue en avril 2007, ce qui a relégué au second plan le projet de Shchuch'ye et diminué son financement de la part des Russes. Ce virage stratégique des Russes, les obstacles bureaucratiques, le manque de constance dans le financement des États-Unis et l'incapacité de fournir des « renseignements complets et détaillés » sur les lieux visés par le projet ont donc créé une « impasse procédurale », selon les mots de l'ancien ambassadeur canadien Christopher Westdal.31 Cette situation a eu pour effet de contrecarrer tout progrès significatif pouvant découler des efforts et des dépenses du Canada dans ce projet, et elle risque même de faire échouer la réalisation des objectifs du partenariat mondial si les États membres deviennent plus méfiants envers la poursuite de leurs investissements dans un programme sans aboutissement prévisible et qui a peu de chances de réussir.
  International Cooperation  
However, the sustainability of the GP project of redirecting scientists into these organizations is a grave concern. Funding for these centres by GP donor states has been reduced by 40 percent, or $39 million since 2002, a contraction that means current financial support cannot meet new research proposal demands, and that new grants can only redirect scientists for short-term, or two-to-three-year periods.
Le silence des Russes à ce chapitre peut s'expliquer de diverses façons. Étant donné que l'Union soviétique a violé les conditions de la Convention sur les armes biologiques (BWC) de 1972 en poursuivant illégalement ses programmes militaires d'armes biologiques offensives, il se peut que la Russie ait encore des projets en cours dans ce domaine, ou bien qu'elle n'ait pas détruit les laboratoires et les installations d'essais à grande échelle tel que promis quand Boris Eltsine a officiellement mis fin au programme en 1992. Cependant, compte tenu du chaos qui régnait dans les processus de prise de décisions en Russie durant les années 1990 et du manque de coordination interinstitutions à cette époque, ainsi que des priorités politiques russes aussi multiples que divergentes depuis l'an 2000, il se peut également que Moscou ne soit pas en mesure de fournir des données exactes ou que le gouvernement ne soit pas prêt à faire face à l'éventuelles tempête politique que déclencherait la découverte de réalités dérangeantes par des étrangers à qui il aurait permis d'inspecter ses installations biologiques.62 D'autres motifs possibles de ce manque de transparence de la part des Russes pourraient être de nature économique, comme la volonté de préserver des emplois dans l'industrie de la défense, les profits et la balance des paiements entre l'État et l'industrie, et le désir d'économiser les coûts de destruction de ces armes.63 On pourrait aussi invoquer des raisons psychologiques comme le désir d'exercer une certaine pression ou d'acquérir de l'influence sur une région ou un pays en particulier, et la nécessité de conserver de puissants moyens de défense dans certains domaines alors que les autres sont démantelés.64 Il paraît évident que seules des solutions politiques à ces incertitudes pourraient permettre aux membres du partenariat mondial d'obtenir l'accès et les renseignements dont ils ont besoin pour remplir leur mission de mettre en sûreté les armes biologiques, un effort qui n'a fait qu'« à peine effleurer le problème jusqu'ici».65
  International Cooperation  
The tasks that Canada has undertaken within the GP project in Russia include providing assistance in maintaining and upgrading Russian nuclear and radiological security, cooperating in the dismantlement of Russia’s decommissioned nuclear submarines, destroying chemical weapons, ensuring the non-proliferation of biological weapons, and supporting redirection of thousands of former Soviet weapons scientists.25
Un autre problème vient du fait que la Russie s'est occupée davantage de la destruction des réserves chimiques de Kambarka et Maradykovsky afin de remplir ses obligations dans le cadre de la Convention sur les armes chimiques entrée en vigueur en 1997 et échue en avril 2007, ce qui a relégué au second plan le projet de Shchuch'ye et diminué son financement de la part des Russes. Ce virage stratégique des Russes, les obstacles bureaucratiques, le manque de constance dans le financement des États-Unis et l'incapacité de fournir des « renseignements complets et détaillés » sur les lieux visés par le projet ont donc créé une « impasse procédurale », selon les mots de l'ancien ambassadeur canadien Christopher Westdal.31 Cette situation a eu pour effet de contrecarrer tout progrès significatif pouvant découler des efforts et des dépenses du Canada dans ce projet, et elle risque même de faire échouer la réalisation des objectifs du partenariat mondial si les États membres deviennent plus méfiants envers la poursuite de leurs investissements dans un programme sans aboutissement prévisible et qui a peu de chances de réussir.
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The tasks that Canada has undertaken within the GP project in Russia include providing assistance in maintaining and upgrading Russian nuclear and radiological security, cooperating in the dismantlement of Russia’s decommissioned nuclear submarines, destroying chemical weapons, ensuring the non-proliferation of biological weapons, and supporting redirection of thousands of former Soviet weapons scientists.25
Un autre problème vient du fait que la Russie s'est occupée davantage de la destruction des réserves chimiques de Kambarka et Maradykovsky afin de remplir ses obligations dans le cadre de la Convention sur les armes chimiques entrée en vigueur en 1997 et échue en avril 2007, ce qui a relégué au second plan le projet de Shchuch'ye et diminué son financement de la part des Russes. Ce virage stratégique des Russes, les obstacles bureaucratiques, le manque de constance dans le financement des États-Unis et l'incapacité de fournir des « renseignements complets et détaillés » sur les lieux visés par le projet ont donc créé une « impasse procédurale », selon les mots de l'ancien ambassadeur canadien Christopher Westdal.31 Cette situation a eu pour effet de contrecarrer tout progrès significatif pouvant découler des efforts et des dépenses du Canada dans ce projet, et elle risque même de faire échouer la réalisation des objectifs du partenariat mondial si les États membres deviennent plus méfiants envers la poursuite de leurs investissements dans un programme sans aboutissement prévisible et qui a peu de chances de réussir.
  International Cooperation  
This project, called the G8 Global Partnership against the Spread of Weapons and Materials of Mass Destruction (GP), launched “…specific cooperation projects, initially in Russia, to address non-proliferation, disarmament, counter-terrorism, and nuclear safety issues.”
Le 4 février 2008, le ministre canadien des Affaires étrangères du moment, Maxime Bernier, soumettait au Parlement canadien le Rapport annuel 2006-2007 du Programme de partenariat mondial pour illustrer les progrès accomplis par le Canada depuis 2002 dans la réduction des menaces associées aux armes de destruction massive russes et justifier le financement soutenu des projets du partenariat mondial par le gouvernement fédéral. Dans un premier temps, en raison de la menace à l'environnement et à la sécurité que posaient les deux millions et quelques pièces de munition chimique portatives entreposées aux installations de Shchuch'ye, dans le district de Kourgan, le partenariat désirait éliminer 5 457 tonnes d'agent neurotoxique, soit 20 p. cent du quota de destruction d'armes chimiques de la Russie.28 Dans le cadre de ce projet particulier, le Canada a fourni 33 millions de dollars pour construire une voie ferrée de 18 kilomètres reliant les installations d'entreposage à l'usine de destruction. Dix millions de dollars supplémentaires ont été engagés dans certains autres projets à Shchuch'ye, dont la mise en place d'un système local d'alerte en cas d'accident et l'établissement d'un réseau de communications à haute vitesse sur fibre optique entre les diverses installations. Le Canada a en outre versé 55 millions de dollars pour doubler la capacité de destruction des installations qui devaient être parachevées au démarrage de l'usine prévu pour le début de 2008.29
  International Cooperation  
However, the sustainability of the GP project of redirecting scientists into these organizations is a grave concern. Funding for these centres by GP donor states has been reduced by 40 percent, or $39 million since 2002, a contraction that means current financial support cannot meet new research proposal demands, and that new grants can only redirect scientists for short-term, or two-to-three-year periods.
Le silence des Russes à ce chapitre peut s'expliquer de diverses façons. Étant donné que l'Union soviétique a violé les conditions de la Convention sur les armes biologiques (BWC) de 1972 en poursuivant illégalement ses programmes militaires d'armes biologiques offensives, il se peut que la Russie ait encore des projets en cours dans ce domaine, ou bien qu'elle n'ait pas détruit les laboratoires et les installations d'essais à grande échelle tel que promis quand Boris Eltsine a officiellement mis fin au programme en 1992. Cependant, compte tenu du chaos qui régnait dans les processus de prise de décisions en Russie durant les années 1990 et du manque de coordination interinstitutions à cette époque, ainsi que des priorités politiques russes aussi multiples que divergentes depuis l'an 2000, il se peut également que Moscou ne soit pas en mesure de fournir des données exactes ou que le gouvernement ne soit pas prêt à faire face à l'éventuelles tempête politique que déclencherait la découverte de réalités dérangeantes par des étrangers à qui il aurait permis d'inspecter ses installations biologiques.62 D'autres motifs possibles de ce manque de transparence de la part des Russes pourraient être de nature économique, comme la volonté de préserver des emplois dans l'industrie de la défense, les profits et la balance des paiements entre l'État et l'industrie, et le désir d'économiser les coûts de destruction de ces armes.63 On pourrait aussi invoquer des raisons psychologiques comme le désir d'exercer une certaine pression ou d'acquérir de l'influence sur une région ou un pays en particulier, et la nécessité de conserver de puissants moyens de défense dans certains domaines alors que les autres sont démantelés.64 Il paraît évident que seules des solutions politiques à ces incertitudes pourraient permettre aux membres du partenariat mondial d'obtenir l'accès et les renseignements dont ils ont besoin pour remplir leur mission de mettre en sûreté les armes biologiques, un effort qui n'a fait qu'« à peine effleurer le problème jusqu'ici».65