in burkina – French Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 24 Results  www.worldbank.org
  Burkina Faso - Reproduc...  
Reproductive Health Project in Burkina Faso
Reproductive Health Project in Burkina Faso (a)
  Burkina Faso – Second G...  
Website: The World Bank in Burkina Faso
Site web : La Banque mondiale au Burkina Faso
  World Bank provides US$...  
World Bank provides US$90 million grant to increase cotton exports, mining revenues and food reserves in Burkina Faso
La Banque mondiale fournit une subvention de 90 millions de dollars pour accroître les exportations de coton, les revenus miniers et les réserves alimentaires du Burkina Faso
  The World Bank Approves...  
The World Bank Approves a US$70 Million Grant to Promote Growth and Competitiveness in Burkina Faso
Pour la croissance et la compétitivité, la Banque mondiale accorde une subvention de 70 millions de dollars US au Burkina Faso
  The World Bank Approves...  
World Bank in Burkina Faso
La Banque mondiale au Burkina Faso
  Senegal Research  
The political economy of decentralization in sub-Saharan Africa : a new implementation model in Burkina Faso, Ghana, Kenya, and Senegal
This study deals with the development of the tools of state institutions for a more efficient public expenditure in Senegal. Senegal recorded during the 2000-2010 period a rapid growth of public spending, mainly ...
  Gender Equality: The Ri...  
Improving women's access to agricultural inputs in Burkina Faso would increase total household agricultural production by about 6 percent, with no additional resources—simply by reallocating resources such as fertilizer and labor from men to women.
Renforcer l’accès des femmes aux facteurs de production agricoles au Burkina Faso aurait pour effet d’accroître la production agricole totale des ménages d’environ 6 %, sans aucun apport de ressources supplémentaires — uniquement en réaffectant des ressources (engrais et main-d’œuvre) de la population masculine à la population féminine.
  African Migration Gener...  
Two companion volumes—Remittance Markets in Africa, and Diaspora for Development in Africa—have also been published. Also newly published are primary databases from six household surveys on migrants conducted in Burkina Faso, Kenya, Nigeria, Senegal, South Africa, and Uganda.
Deux autres volumes accompagnent ce rapport, intitulés respectivement Remittance Markets in Africa (Marchés des envois de fonds en Afrique) et Diaspora for Development in Africa (Diaspora pour le développement en Afrique). Par ailleurs, la Banque publie simultanément les données principales tirées d’une série d’enquêtes auprès des ménages qui ont été menées sur le thème des migrants dans six pays — Afrique du Sud, Burkina Faso, Kenya, Nigéria, Ouganda et Sénégal.
  All News  
The World Bank Approves a US$70 Million Grant to Promote Growth and Competitiveness in Burkina Faso
Les technologies de l'information et des communications sont en train de révolutionner le développement en Afrique
  All News  
World Bank provides US$90 million grant to increase cotton exports, mining revenues and food reserves in Burkina Faso
Sierra Leone : Distribution de masse de moustiquaires imprégnées d’insecticide pour combattre le paludisme
  Quarterly Food Prices D...  
Wheat prices were up 88 percent in Belarus and 23 percent in Ethiopia; rice prices increased 81 percent in Uganda and 56 percent in Malawi; maize was up 117 percent in Kenya and 106 percent in Mexico; and sorghum increased 57 percent in Burkina Faso and 28 percent in Ethiopia.
Les prix intérieurs ont eux aussi considérablement augmenté dans de nombreux pays entre décembre 2010 et décembre 2011. Au Bélarus et en Éthiopie, le prix du blé a progressé de respectivement 88 et 23 %. En Ouganda et au Malawi, le riz s’est renchéri de 91 et 56 %. Au Kenya et au Mexique, les cours du maïs ont flambé, de 117 et 106 %. Enfin, au Burkina Faso et en Éthiopie, le prix du sorgho a gagné 57 et 28 %.
  In Ouagadougou, Film Co...  
Professor Dramane Konaté, Honorary Secretary General of Francophony in Burkina Faso and Chairman of the prix de l’espoir committee, is happy to see the World Bank’s participation for the second time in the biggest film festival in Africa.
Le professeur Dramane Konaté, secrétaire général honoraire de la francophonie au Burkina et président du jury pour le prix de l’espoir, se réjouit de cette seconde participation de la Banque mondiale au plus grand festival du cinéma africain : « En notre qualité de président du jury, nous estimons que la Banque mondiale fait œuvre utile en instituant ce prix, non seulement pour booster le secteur du cinéma en tant qu'industrie créative, mais également pour valoriser la thématique de l'espérance à travers l'engagement de la femme matérialisé par " Le bois de la survie " du jeune réalisateur burkino-guinéen," déclare-t-il.
  World Bank provides US$...  
WASHINGTON, June 26, 2012 — The World Bank today approved an International Development Association (IDA*) US$90 million grant which aims to increase cotton exports to more than 400,000 tons, mining revenues from 1.8 percent of GDP in 2011 to 3 percent of Gross Domestic Product (GDP); and food reserves to 70,000 tons in Burkina Faso, the multilateral institution announced today.
WASHINGTON, le 26 juin 2012 — La Banque mondiale a annoncé aujourd’hui que l’Association internationale de développement (IDA*) a approuvé une subvention de 90 millions de dollars. Cette subvention vise à accroître les exportations de coton du Burkina Faso à plus de 400 000 tonnes, ses revenus miniers de 1,8 % de son PIB en 2011 à 3 % et ses réserves alimentaires à 70 000 tonnes, a annoncé l’institution multilatérale aujourd’hui.
  African Migration Gener...  
Recent surveys show that investments such as land purchases, building a home, and starting a business were the highest uses of remittances sent home by African diaspora. As a share of total investment, these represented 36 percent in Burkina Faso, 55 percent in Kenya, 57 percent in Nigeria, 15 percent in Senegal, and 20 percent in Uganda.
Le niveau des envois de fonds déclarés vers les pays d’Afrique a quadruplé entre 1990 et 2010 pour s’établir, cette année-là, à près de 40 milliards de dollars, ce qui en fait la principale source de capitaux extérieurs après les apports d’investissement direct étranger. Selon les récentes enquêtes, les principaux emplois des envois de fonds de la diaspora africaine ont pris sur place la forme d’investissements pour des achats de terrains, des constructions de logements et des créations d’entreprises. Relativement parlant, ces investissements ont représenté 36 % du niveau d’investissement global au Burkina Faso, 55 % au Kenya, 57 % au Nigéria, 15 % au Sénégal et 20 % en Ouganda. Au plan sectoriel, l’éducation venait en deuxième position de l’utilisation faite de ces envois au Nigéria et en Ouganda, en troisième position dans le cas du Burkina Faso et en quatrième pour ce qui est du Kenya.
  The World Bank Approves...  
There is a renewed sense of optimism in the medium term with an economic growth rate of 7.5 percent in 2013 owing to the strong recovery of cotton and gold exports currently benefiting from favorable prices. Despite the Government’s efforts to support the social sectors, however, human development in Burkina Faso faces a number of challenges.
Le Burkina Faso a enregistré un taux de croissance économique réel de plus de 5 % en moyenne par année entre 1995 et 2012 et le RNB par habitant a augmenté de 360 dollars en 2005 à 447 dollars en 2012. La stabilité macro-économique et fiscale du pays a contribué à des améliorations continues de nombreux indicateurs économiques et sociaux. L’année 2012 a été caractérisée par une reprise de la croissance économique après un ralentissement constaté en 2011 ou la croissance a été de 4,2 % sous l’effet de la mauvaise pluviométrie et de la crise financière internationale. Un regain d’optimisme sur le moyen terme existe avec un taux de croissance économique de 7,5% en 2013 grâce à la bonne reprise des exportations du coton et de l’or qui bénéficient actuellement de cours favorables. En dépit des efforts faits par le Gouvernement en soutien aux secteurs sociaux, des défis existent sur le plan du développement humain au Burkina.
  All News  
WASHINGTON, June 26, 2012 — The World Bank today approved an International Development Association (IDA*) US$90 million grant which aims to increase cotton exports to more than 400,000 tons, mining revenues... Show More + from 1.8 percent of GDP in 2011 to 3 percent of Gross Domestic Product (GDP); and food reserves to 70,000 tons in Burkina Faso, the multilateral institution announced today.
FREETOWN, 25 avril 2012 – Ces dix dernières années, de gros progrès ont été enregistrés au niveau mondial dans la lutte contre le paludisme, une maladie très ancienne transmise par la piqûre d'un mous... Show More + tique anophèle infecté. En Afrique, grâce aux efforts accrus déployés pour prévenir et traiter le paludisme, le nombre de décès imputables à la maladie, qui tue chaque année des milliers de jeunes enfants, a diminué d'un tiers au cours des dix dernières années.Dans nombre de pays africains où le paludisme est endémique, les pouvoirs publics et les partenaires au développement ont intensifié les efforts visant à élargir l'accès des populations aux moustiquaires imprégnées d'insecticide, entre autres mesures de prévention. Ainsi, selon les estimations de l'OMS, la part des ménages possédant au moins une moustiquaire imprégnée en Afrique sub-saharienne est passée de 3 % en 2000 à 50 % en 2011.« Cette année, la Journée mondiale de lutte contre le paludisme, organisée dans le cadre de du Parten Show Less -
  All What’s New  
The bronze statue in our atrium, the child leading a man who has lost his sight from river blindness, is a daily reminder of our mission, and for me it's the second organization that I've worked for that has that very statue in the middle of its consciousness. Five other statues exist including in Burkina Faso's capital and of course the World Health Organization capital in Geneva.
La divulgation d’informations financières est un moyen très efficace de lutter contre la corruptionWASHINGTON, 8 novembre 2012 – Les législations exigeant des représentants de l’État qu’ils déclarent ... Afficher plus + leurs actifs, leurs passifs et leurs intérêts peuvent faciliter le dépistage de la corruption. Toutefois, s’il est vrai que 78 % des pays inclus dans une nouvelle base de données de la Banque mondiale consacrée à cette question disposent de mécanismes de divulgation financière, seulement 36 % d’entre eux vérifient systématiquement les déclarations de leurs fonctionnaires pour déceler d’éventuelles irrégularités ou anomalies.La Banque mondiale met en ligne une nouvelle bibliothèque consacrée aux législations régissant la divulgation financière dans le monde (Financial Disclosure Law Library) afin de soutenir les efforts déployés par les pays pour lutter contre la corruption et aider les professionnels et les responsables de l’action publique à mettre en place de solides mécanismes de divulgation financière. La bibliothèque rassemble un millier de lois et de réglementations, provenant de 176 pays, sur la question de la divulgation de renseignements financiers et les restrictions appliquées aux activités des agents de la fonction publique.La divulgation d’informations financières par des représentants de l’État permet de communiquer aux autorités de police les informations et les preuves nécessaires pour prendre des mesures de prévention, mener des enquêtes et lancer des poursuites dans le domaine de la corruption, de l’enrichissement illicite et de la criminalité fiscale. Cette démarche permet aussi de communiquer aux citoyens les informations dont ils ont besoin pour demander des comptes aux agents de l’État.La bibliothèque montre que les agents de la fonction publique ne sont pas toujours tenus de déclarer leurs actifs et leurs intérêts. Certes, les hauts responsables de l’État sont généralement soumis à cette obligation : 93 % des pays inclus dans la base de données l’imposent aux membres de leur gouvernement, 91 % à leurs parlementaires et 62 % aux procureurs de haut rang. Toutefois, seulement 43 % des pays permettent au public de consulter librement les déclarations financières des agents de l’État.« Les mécanismes de divulgation financière limitent la capacité des fonctionnaires corrompus à dissimuler leurs activités criminelles ou les gains mal acquis », déclare Jean Pesme, responsable de l’unité Intégrité des marchés financiers à la