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de Navarro, la présence humaine y est implicite. L’installation invite non seulement le spectateur à naviguer physiquement dans son espace réel et tout en même temps à se voir projeter dans celui-ci à une échelle imaginaire, mais selon l’artiste, « la ville est [en elle-même] comme un corps avec ses artères — l’élément horizontal — où coule le sang. L’élément vertical, ce sont les murs, les immeubles [...] Le corps humain est formé d’artères, de veines, de fluides, du cœur, du noyau et de l’écorce. Quand on définit une ville, on définit un corps »[1].
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