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L’une des grandes responsabilités de CFC est de contribuer au renforcement des capacités en matière d’ACS+ et de mettre au point des outils favorisant la pleine intégration de cette méthode d’analyse dans l’administration fédérale. L’ACS+ tient compte du sexe et du genre, mais aussi d’autres facteurs identitaires (p. ex. l’âge, l’instruction, la langue, la situation géographique, la culture, le revenu), pour évaluer les répercussions éventuelles des initiatives sur diverses populations de femmes et d’hommes. Toute initiative (projet de loi, politique, programme, service, etc.) élaborée, mise en œuvre ou évaluée doit faire l’objet d’une ACS+ rigoureuse pour qu’on puisse évaluer son effet sur l’égalité des sexes. Avec le concours actif du Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT) et du Bureau du Conseil privé (BCP), CFC exerce une surveillance pour déterminer si le gouvernement honore son engagement d’intégrer pleinement l’ACS+ à ses processus décisionnels.
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