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Keybot 528 Résultats  www.biographi.ca
  Biography – GRENFELL, S...  
. Once it had been refitted for ice conditions, he got under way on 15 June.
Celui-ci fut remis en état en prévision des glaces et se mit en route le 15 juin.
  Biography – POWLIS, GEO...  
At one a ring was found. Sleigh tracks led to these locations. Witnesses established that Doxater, an old woman who “occasionally got drunk,” had been sober and one witness thought she had been “ravished.”
En 1817, un jury d’accusation du district de Gore condamna l’établissement des Six-Nations de la rivière Grand, le qualifiant de « scène d’émeutes et de troubles fréquents [...] qui échapp[aient] à la loi ». Le jury s’inquiétait vivement de l’effet d’une telle situation sur le peuplement et l’essor de la colonie. Un an plus tard, Peter Lossing* et d’autres adressèrent une pétition au Conseil législatif au sujet des « fréquentes déprédations » des Indiens des Six-Nations contre leurs congénères et leurs voisins blancs, et des « exemples répétés de meurtres affreux [... commis] entre eux ». Les pétitionnaires demandèrent « bruyamment » une « certaine forme d’intervention législative supplémentaire [...] afin d’établir l’autorité civile », blâmant le « laxisme des anciennes méthodes [des Indiens] visant à réglementer et à punir les coupables », « les effets pernicieux de l’ivresse » et les relations de longue date avec « les Blancs ». En 1822, le juge William Campbell* mit en doute l’immunité juridique des Indiens dans la cause de Shawanakiskie* qui avait tué une Indienne à Amherstburg. Trois ans plus tard, il fut finalement établi que le code pénal pouvait s’appliquer aux Indiens dans toute sa rigueur.
  Biography – POPE, JOHN ...  
In addition, the investigator named by the province was Richard William Heneken, a fellow director of Pope’s in several Eastern Townships businesses. That Pope knew he had done well is probable. He always was to wear a massive gold chain and used to say, “I worked a good many years to get this chain – and got it at wholesale figures, too.”
À la fin des années 1850, Pope avait commencé à s’intéresser à l’exploitation des mines de cuivre dans le canton d’Ascot, comté de Compton ; au cours des années 1860, il acquit, dans le canton de Ditton, situé dans le même comté, des terres dont on tira de l’or jusqu’à leur épuisement presque complet au début des années 1890. Au cours des années 1870, on accusa Pope d’avoir obtenu 4 200 acres, dans le canton de Ditton, sous de fausses représentations, sinon d’une manière frauduleuse. Toutefois, une enquête menée par le gouvernement provincial, en 1877, blanchit Pope en concluant qu’il avait acheté ces terres d’un homme qui les avait lui-même acquises sans payer les droits habituels d’établissement et sans que fussent réservés les droits coutumiers de la couronne sur les mines d’or. Il existe des indices qui permettent de croire que la forme des lettres patentes fut modifiée pour la circonstance et que Pope avait probablement acquis ces terres légalement, bien qu’à la limite de la légalité, sans compter que l’enquêteur nommé par la province fut Richard William Heneken, un collègue de Pope au sein de plusieurs conseils d’administration de compagnies des Cantons de l’Est. On peut présumer que Pope était conscient de s’en être tiré à bon compte. Il allait constamment porter une grosse chaîne en or, et aurait l’habitude de dire : « J’ai travaillé bien des années pour acquérir cette chaîne – et encore l’ai-je obtenue au prix de gros. »
  Biography – McBRIDE, Si...  
McBride’s approach to Indian peoples, whom he had known from his boyhood and legal practice and with whom he could converse in Chinook Jargon, was paternalistic. As a young lawyer he got a charge of murder reduced to manslaughter because his drunken client “was an Indian.”
Les différends sur les terres autochtones et sur l’immigration asiatique alimentaient les campagnes contre Ottawa et, comme les revendications en faveur de meilleures conditions, ils transcendaient les rivalités entre les habitants de la Colombie-Britannique. Ces différends révèlent d’ailleurs que McBride partageait les conceptions raciales des électeurs de sa province. Il se montra paternaliste à l’égard des Amérindiens, qu’il connaissait depuis son enfance et les débuts de sa carrière d’avocat et avec qui il pouvait converser en jargon chinook. Jeune avocat, il avait obtenu qu’une accusation de meurtre soit réduite à une accusation d’homicide involontaire parce que son client, ivre, était « un Indien ». Selon lui, les autochtones avaient « été traités équitablement » et devaient « apporter une contribution très importante au progrès et au bien-être matériels de la collectivité ».
  Biography – WILSON, MAR...  
A son told a neighbour, “Old John had a second marriage to a woman, the Rattler we called her, but it didn’t last long.” A great-grandson said, “We know Johnny Beare had got tangled up with some woman in Prince Albert who took him for all he had.”
Toutefois, le dossier contient un autre élément : le transfert des hypothèques détenues par John Beare sur les propriétés qu’il avait vendues à ses cinq fils. Des membres de la belle-famille des fils ou d’autres de leurs proches reprirent ces hypothèques, et Beare fut remboursé en totalité. Il se trouva ainsi avec 10 505 $ comptant, plus tout ce qu’il avait pu mettre de côté pour sa retraite. La question suivante se pose donc : ses fils exigèrent-ils le transfert des hypothèques pour protester contre son remariage, ou est-ce que ce fut lui qui, sous la pression de sa nouvelle femme, voulut se faire rembourser ? Quoi qu’il en soit, tout son argent disparut dans les quatre années où il vécut avec Mary Ann. Il finit ses jours sans le sou, quémandant un porc ou un poulet à l’un ou l’autre de ses fils, dont aucun n’avait de l’affection pour lui.
  Biography – KELLY, WILL...  
It was alleged that Brown gave Kelly $13,000 and relinquished certain claims against Kelloung, and the Chatham Branch Railway in return for promises that he would receive the construction contract for the Kent Northern line and that he would be paid a balance owing him of more than $16,000. Brown, who got the contract but not the $16,000, revealed the details of the deal.
, critiqua publiquement ce dernier pour avoir fait circuler une pétition engageant les signataires à soutenir la levée d’impôts directs pour le maintien des écoles publiques. Quelques semaines plus tard, la presse de Chatham blâma Kelly qui avait appuyé des demandes de subventions pour la construction de lignes de chemin de fer dans les comtés de l’ouest plutôt que des demandes semblables pour des lignes de chemin de fer dans sa propre région de Miramichi. Afin de se soustraire aux critiques, Kelly omit à plusieurs reprises de se présenter à des assemblées publiques convoquées dans les mois qui suivirent pour discuter des travaux publics et d’autres entreprises gouvernementales.
  Biography – BENNETT, RI...  
Bennett took office with action on his mind. Action he had promised and action Canada got. A special session of parliament was called for 8 September. He believed that tariffs were necessary not only to keep Canada independent of the United States but to create markets for Canadian producers, so tariff revision, steeply upward on a range of manufactured goods, was instituted.
Bennett retrouva une situation économique qui était de loin plus insoluble qu'il ne l'avait cru. Le prix du blé n'avait cessé de chuter et les Prairies connaissaient leur troisième année de sécheresse. Une nouvelle série d'augmentations des tarifs fut imposée en 1931 et la Loi remédiant au chômage et aidant à l'agriculture fut adoptée pour financer davantage de travaux publics et pour fournir des secours directs (plus de 28 millions de dollars seraient dépensés et des lois semblables seraient adoptées en 1932, 1933, 1934 et 1935). Bennett commença également à chercher des façons d'aider la vente des récoltes de blé, efforts qui culmineraient par la création de la Commission canadienne du blé en 1935.
  Biography – PIPES, WILL...  
Although Pipes had got through the session of 1884 comfortably, his financial, family, and personal problems remained. Lieutenant Governor Matthew Henry Richey found him highly reticent, even with his own ministers with portfolio.
La session de 1884 avait beau s’être bien passée pour Pipes, ses difficultés financières, familiales et personnelles persistaient. Le lieutenant-gouverneur Matthew Henry Richey le trouvait bien réservé, même avec ses ministres à portefeuille. Ceux-ci avaient soulevé des objections quand il avait nommé Fielding au Conseil exécutif sans les consulter, et ils avaient résisté aux tentatives visant à doter Fielding ou lui-même d’un poste ministériel rémunéré. En mai 1884, Pipes soumit, à titre hypothétique, plusieurs questions à Richey. Sa démission entraînerait-elle la dissolution du ministère ? Le lieutenant-gouverneur répondit par l’affirmative. S’il recommandait un successeur, Richey l’accepterait-il ? Oui, si le ministère paraissait agir de concert et avait la majorité à l’Assemblée.
  Biography – SHAUGHNESSY...  
That situation got progressively worse as construction costs mounted and fund-raising efforts by syndicate members, among them George Stephen, James Jerome Hill*, and Donald Alexander Smith*, faltered.
Van Horne quitta le Milwaukee Road pour prendre, le 2 janvier 1882, la direction générale d’une entreprise encore jeune, la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique (CP). Il offrit le poste d’agent principal des achats à Shaughnessy, qui commença par le refuser puis l’accepta –devant un verre de bière brassée à Milwaukee, dit-on – lorsque Van Horne retourna le voir à l’automne de 1882. Dès le mois de novembre, Shaughnessy entra en fonction à Montréal. Le CP connaissait alors de sérieuses difficultés financières. Elles allaient s’aggraver en raison de la hausse des coûts de construction et de l’échec des efforts de financement déployés par les membres du consortium composé entre autres de George Stephen, James Jerome Hill* et Donald Alexander Smith*.
  Biography – SPROAT, GIL...  
The province was slow to approve the selection of the joint commissioner and took the position that, because Indian affairs were exclusively within federal jurisdiction, British Columbia should not have to contribute to the commission’s costs. It eventually relented, but negotiations over just how much Victoria should pay took so long that the commissioners’ work got off to a late and inauspicious start in the fall of 1876.
Après une courte visite en Colombie-Britannique au moment de l’entrée de cette colonie dans la Confédération en 1871, Sproat devint de son propre chef le premier agent général de la province à Londres. Il se dépensa sans compter comme conseiller et publiciste en émigration, et produisit entre autres un guide pour les émigrants en 1873. Toutefois, il allait jouer un rôle important seulement après son retour en Colombie-Britannique, probablement en 1876. La province et Ottawa, dans l’espoir de résoudre leurs différends sur les titres fonciers et les réserves autochtones, avaient convenu de mettre sur pied une commission des réserves indiennes qui allouerait des terres aux diverses nations autochtones. Au début de 1876, chacun des deux gouvernements nomma un représentant. Alexander Caulfield Anderson* fut mandaté par le gouvernement fédéral et Archibald McKinlay, par la province. Sproat serait le commissaire nommé par les deux gouvernements.
  Biography – CURRAN, WIL...  
According to a local historian who got her information from a descendant, “Schooling was intermittent for the young Currans.” “In their home they had but a few books and these were read over and over again.”
Selon une historienne locale, qui a obtenu l’information de l’un des descendants de Curran, « les jeunes Curran fréquentaient l’école de façon sporadique ». « La maison renfermait quelques livres seulement, ajoutait-elle, mais ceux-ci étaient sans cesse relus. » Les enfants allèrent à la première école ouverte dans l’île Lasqueti en 1913, mais cette dernière ferma en 1917 après l’ouverture d’une deuxième école située trop loin pour que les Curran puissent la fréquenter. C’est en partie pour cette raison que les membres de la deuxième famille de Curran, à l’instar de leurs prédécesseurs, menèrent pour la plupart une existence modeste.
  Biography – CAIRNS, HUG...  
The brothers had been inseparable, and one of Hugh’s comrades recalled that “Hughie said he’d get fifty Germans for that” and added, “I don’t think he ever planned to come back after Abbie got killed.”
La mort d’Albert, survenue le 10 septembre 1918 des suites de blessures subies pendant la prise de la ligne Drocourt-Quéant, affecta profondément Hugh. Les deux frères avaient été inséparables. Un des camarades de Hugh rappela que « Hughie disait qu’il aurait cinquante Allemands pour ça » et ajoutait : « Je ne pense pas qu’il ait jamais eu l’intention de revenir [de la guerre] après qu’Abbie se fut fait tuer. » Seul un désir presque fanatique de vengeance peut expliquer ce que Cairns fit huit semaines plus tard.
  Biography – GENDRON, PH...  
Although the bishop resigned himself to having the building go up at the spot chosen by the superior, he got his way on other issues: postponement of the installation of running water, no more than 11 beds in the hospital area, and stairways without turns.
Une telle situation de gêne ne peut durer et la construction d'un immeuble plus approprié devient prioritaire. Il faut cependant l'approbation de l'évêque, Mgr James Rogers*, qui doit aussi décider du lieu et du plan du bâtiment. Or, ses vues ne concordent pas toujours avec celles de sœur Gendron. Si l'évêque se résigne à ce que la construction s'élève là où la supérieure le désire, il obtient qu'on remette à plus tard l'installation de l'eau courante, qu'il n'y ait pas plus de 11 lits dans la partie de l'hôpital, et que les escaliers soient tout d'un trait. Les travaux de construction se poursuivent de juillet à décembre 1890. Grâce à cet édifice de trois étages, qui mesure 140 pieds sur 200, les religieuses peuvent accueillir 11 malades, 90 élèves (dont des pensionnaires), ainsi que des postulantes.
  Biography – GOWAN, Sir ...  
(1893), a book on the deficiencies of the grand jury. The lawyer got the credit and Gowan had his ideas put before the public in a way that allowed him to promote them with apparently disinterested zeal.
Thomas, Ontario, 1893) de John Alexander Kains. Les avocats récoltaient le mérite et Gowan diffusait ses idées de telle façon qu’il pouvait les promouvoir ensuite avec un zèle apparemment désintéressé. Du même coup, ces jeunes gens en pleine ascension contractaient envers lui une dette dont il pourrait réclamer le paiement au moment opportun.
  Biography – PERREY, SYL...  
In 1818 Abbé Joseph-Étienne Cécile, the parish priest of Rustico, recognized his talents and recommended him to Joseph-Octave Plessis*, the bishop of Quebec. Plessis got him accepted as a student at the Séminaire de Nicolet, and during the next eight years Perrey prepared for the priesthood.
PERREY, SYLVAIN-ÉPHREM (souvent écrit Perry ou Poirier, mais il signait toujours S. E. Perrey), prêtre catholique, né le 15 juillet 1800 ou 1802 à Tignish, Île-du-Prince-Édouard, septième des neuf enfants de Pierre Poirier et de Marie Chiasson, décédé le 3 août 1887 à Egmont Bay, Île-du-Prince-Édouard.
  Biography – DAVIDSON, A...  
He complained to Hillier in July 1828 that, “unless some proper elementary books be got into general circulation, common school education will continue to be little better than a mere farce, and an useless expenditure of public money.”
et ce fut le premier livre protégé par des droits d’auteur qui parut dans le Haut-Canada. Le syllabaire comportait des exemples tirés de la réalité canadienne et respectait l’indispensable lien qui unissait la religion et l’éducation, car chaque leçon était de nature à « favoriser les intérêts de la religion et de la morale ». Il était d’usage à cette époque, en effet, que les syllabaires fournissent un enseignement moral. Lorsqu’en 1844 Egerton Ryerson* fut nommé surintendant des écoles du Haut-Canada, Davidson chercha à le convaincre d’adopter
  Biography – LIVINGSTON,...  
The management of the hospital recognized Livingston’s competence. In 1903 she even got them to agree that only its own graduates could work in its private wards, unless there were exceptional circumstances.
La direction de l’hôpital reconnaît la compétence de Mlle Livingston. En 1903, la surintendante obtient même que, à moins de circonstances exceptionnelles, seules les diplômées du Montreal General Hospital puissent travailler dans les dortoirs privés de l’établissement. Les règlements des employés de l'hôpital datés de 1910, qui donnent tout le pouvoir à la surintendante, en témoignent également.
  Biography – BROKE, Sir ...  
apparently ready for sea. He sent a written challenge to Captain James Lawrence, but before it could be delivered the American ship got under way and came up on the
, qui avait l’air prête à prendre la mer. Il lança un défi au capitaine James Lawrence, mais avant que le message ne parvienne à son destinataire le navire américain appareilla et se présenta à la hanche tribord du
  Biography – SHAUGHNESSY...  
Whereas Van Horne ordered mountains moved if they got in the way of his construction program, Shaughnessy was more likely to berate employees about a speck on the dining car cutlery, imperfectly washed passenger cars, a spelling error on a CPR hotel menu, and, of course, even minute irregularities in any invoice.
Shaughnessy était un perfectionniste. Obsédé par la propreté, il se lavait les mains à de multiples reprises dans une journée. Alors que Van Horne exigeait que l’on déplace des montagnes pour réaliser son programme de construction, Shaughnessy était plutôt du genre à réprimander les employés pour une tache sur un ustensile du wagon-restaurant, pour des wagons de passagers qui ne brillaient pas comme un sou neuf, pour une faute d’orthographe sur le menu d’un hôtel du CP et, bien sûr, pour une minuscule irrégularité sur une facture. Au cours de la phase la plus difficile des travaux de construction, soit de 1882 à 1885, sa détermination à retarder les paiements était telle que ses assistants et lui-même révisaient les factures avec une méticulosité qui, de l’avis de certains, confinait à la paranoïa. Ils scrutaient le prix, la quantité et la qualité des matériaux livrés ou des travaux accomplis, à l’affût du moindre écart susceptible de justifier un report ou une bonne réduction des paiements. Shaughnessy recourait (souvent en les perfectionnant) aux tactiques utilisées par les entreprises menacées de faillite, ne payant que le minimum requis pour éviter de coûteuses batailles judiciaires. Par la suite, il aimerait à se vanter d’avoir retardé le versement de millions de dollars et d’en avoir biffé autant sur des factures que lui-même et ses assistants ne trouvaient pas justes.
  Biography – BENNETT, RI...  
Bennett, tall, lean, and 26 years old, got off the train at Calgary in late January 1897. It was not an inviting place, -40 F with a hard wind, a skiff of snow holding down the dust of unpaved streets.
Bennett, grand, maigre et âgé de 26 ans, descendit du train à Calgary à la fin du mois de janvier 1897. Ce n'était pas un endroit invitant : il faisait -40 º F avec un fort vent, une couche de neige retenait au sol la poussière des rues non pavées. Il n'y avait pas de fiacre à la gare. Bennett traîna ses bagages jusqu'à l'Alberta Hotel situé un ou deux pâtés de maisons plus loin. Il fut un peu comme un étranger dès le début. Il n'avait jamais été de ceux qui suivent la majorité ; il ne fumait ni ne buvait et il ne se vêtait jamais de manière décontractée. Il pouvait travailler comme un forcené, de longues heures sans se distraire. Lorsque, quelques années plus tard, un ami lui souhaita, en plus des vœux de bonne année, d'avoir « l'esprit en paix », Bennett lui répondit : « Je ne peux comprendre la raison pour laquelle vous envisageriez un tel désastre. » Bennett n'avait pas l'esprit en paix : s'il avait une mémoire incroyable, son esprit était également extrêmement agité ; sa pensée se transformait en action mue par une énergie formidable grâce à sa rapidité de décision.
  Biography – LUXTON, WIL...  
Luxton’s opponents got their revenge. In a deal arranged in September 1888 by the president of the CPR, William Cornelius Van Horne*, after Winnipeg’s boom had collapsed, Luxton had accepted a loan, perhaps unwisely, from financier Donald Alexander Smith*.
Les adversaires de Luxton eurent leur revanche. Dans le cadre d’une entente arrangée par le président de la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique, William Cornelius Van Horne*, en septembre 1888, après la fin brusque du boom de Winnipeg, Luxton avait accepté – ce qui n’était peut-être pas judicieux – un prêt du financier Donald Alexander Smith*. Il devait absolument rembourser le prêt en septembre 1893, mais il n’y parvint pas. Alors, Smith et ses associés de la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique mirent la main sur ce trouble-fête qu’était le
  Biography – MARTIN, JOS...  
Within days of arriving in Britain, Martin had secured the Liberal nomination for a by-election in Warwickshire, Stratford-on-Avon Division, where he called for abolition of the House of Lords, votes for women, a land tax, and free trade. He did not win but made such an impression that he got the Liberal nomination in St Pancras, East Division, for the general election of 1910.
Quelques jours après son arrivée en Grande-Bretagne, Martin obtint l'investiture libérale pour une élection partielle dans le Warwickshire, circonscription de Stratford-on-Avon. Il prôna l'abolition de la Chambre des lords, le suffrage féminin, une taxe foncière et le libre-échange. Il ne fut pas élu, mais il fit si grande impression qu'il fut choisi comme candidat libéral dans St Pancras, division de l'Est, pour les élections générales de 1910. Cette fois, il remporta la victoire. Aux Communes britanniques, il montra, semble-t-il, bon nombre des mêmes traits caractéristiques qu'au Canada. Il resterait tout de même député jusqu'en 1918, c'est-à-dire jusqu'à la dissolution du Parlement, qui fut retardée à cause de la guerre.
  Biography – McBRIDE, Si...  
Soon after returning to Victoria, McBride got a reluctant Lieutenant Governor Dunsmuir to give him a dissolution but he did not announce it until Christmas Eve, the day after his close personal friend Robert Francis Green left the cabinet under a lingering shadow.
En outre, à l’instar de ses devanciers, le gouvernement provincial demanda au gouvernement fédéral d’augmenter son aide financière. En octobre 1906, quand McBride se rendit à la conférence interprovinciale d’Ottawa, il savait que l’obtention de meilleures conditions était une cause populaire en Colombie-Britannique. Le chef libéral James Alexander Macdonald* avait même appuyé une résolution disant que la province avait droit à une « aide distincte et particulière ». Cependant, les autres provinces refusèrent l’étude indépendante réclamée par McBride et proposèrent une subvention spéciale de 100 000 $ par an durant dix ans. McBride quitta la conférence. Les libéraux l’accusèrent de susciter l’animosité contre Ottawa et de chercher un prétexte pour déclencher des élections ; les conservateurs l’accueillirent en héros.
  Biography – YOUNG, Sir ...  
He got along splendidly with Governor James Douglas and by the summer of 1858 was informally assisting Douglas, whose niece he had just married, with the mushrooming clerical duties brought on by the influx of people in the Fraser River gold-rush.
Dès 1863, Young s’était construit une grande maison non loin de celle de Douglas, dans la baie James, près des nouveaux édifices du Conseil législatif à Victoria. En 1861, le ministère des Colonies, faisant suite aux plaintes formulées par les citoyens de la colonie continentale, avait ordonné aux fonctionnaires de la Colombie-Britannique d’avoir leur résidence dans cette colonie, et seuls Young et Douglas avaient obtenu la permission de demeurer à Victoria. Young comptait au nombre de ses propriétés 25 lots dans la ville de Victoria, un à Nanaimo et 247 acres de terrain à Esquimalt. En conséquence, il investit énormément dans les entreprises de l’île. Young, comme Douglas, fut de plus en plus identifié aux intérêts de Victoria et devint également un membre éminent de ce qu’Amor De Cosmos* appela le «
  Biography – McGEE, FRAN...  
reported: “It was McGee’s first appearance as a senior hockeyist and he showed that he was qualified to stay with the finest in the land and finish strong. Frank was at centre and he invariably got the better of the face off. He followed up fast and was always in the vicinity of the puck.”
: « C’était la première fois que McGee jouait dans une équipe professionnelle de hockey ; il a montré qu’il était qualifié pour rester avec les meilleurs du pays et obtenir de très bons résultats. Frank était au centre et a tiré parti de chaque mise au jeu. Il se déplaçait vite et était toujours près de la rondelle. »
  Biography – TRAVIS, JER...  
“wondered what that man got out of life” since he was “busy from morning till night raising his rents and engaging in altercations with the assessor. The paralytic seizure which carried him off occurred in a real estate office where he was fixing up a deal.”
passait ses hivers en Suisse et ses étés à Calgary. Son activité dans la ville culmina par la mise en chantier du Travis Block au 138 de la 7e avenue Est ; c’était le plus gros édifice à bureaux de Calgary, et il était en construction au moment de son décès. Selon le
  Biography – BEEMER, SAR...  
The two sides met on 6 Jan. 1909. In the end Calder got what she wanted on the understanding that the men’s monument would be erected first and that the women would assist them in raising $1,500 towards its cost.
Cette nouvelle ayant ravivé l’antagonisme entre les sociétés historiques masculine et féminine, Borden décida de ne pas libérer les crédits tant que les deux parties ne seraient pas parvenues à s’entendre. Les hommes, qui projetaient toujours de construire un monument sur la butte Smith, étaient prêts à collaborer, mais Mme Calder leur opposa une fin de non-recevoir jusqu’à ce que le sous-ministre Eugène Fiset* l’oblige à s’asseoir à la table de négociation. Les deux parties se rencontrèrent le 6 janvier 1909. En définitive, Mme Calder obtint ce qu’elle voulait. Cependant, il fut convenu que le monument des hommes serait construit en premier et que les femmes les aideraient à le financer en recueillant 1 500 $.
  Biography – GIBSONE, SI...  
He came to England in 1688 with the invasion forces of William of Orange and obtained an English commission as lieutenant-colonel in February 1689. He got his first regimental command in 1694 and was lieutenant-governor of Portsmouth from May 1689 until his death.
En 1697, Gibsone fut nommé commandant d’une armée de 2 000 hommes, dirigée sur Terre-Neuve et escortée de forces navales sous les ordres de Sir John Norris*. Cette expédition de forces mixtes avait pour objet de reprendre les établissements anglais capturés pour le compte des Français, en 1696, par Pierre Le Moyne d’Iberville et Monbeton de Brouillan, de déloger les Français de Plaisance (Placentia) et d’assurer une garnison permanente à Saint-Jean. Au début de 1697, les colons et les pêcheurs de Saint-Jean avaient mis le
  Biography – PORLIER, PI...  
Abbé Porlier had to cope with many other difficulties in his 29 years as parish priest of Sainte-Anne-de-la-Pocatière. On 13 Oct. 1766 a careless workman set some wood chips alight, and the resulting fire got out of control, destroying the parish church.
Outre ces événements douloureux, le curé Porlier eut à faire face à de nombreuses difficultés au cours de ses 29 années de cure à Sainte-Anne-de-la-Pocatière. Ainsi, le 13 octobre 1766, un ouvrier négligent mit le feu à des copeaux de bois ; il en résulta un incendie désastreux qui ravagea l’église paroissiale. Toutefois, les murs restèrent intacts et, grâce à une quête dans les paroisses environnantes et au travail bénévole d’une dizaine de menuisiers, l’église fut reconstruite avant les grands froids de l’hiver. Abattu par le désastre, l’abbé Porlier aurait demandé une nouvelle cure dès cette époque.
  Biography – BRESSANI, F...  
The captive could not be the slightest use to the old woman, who got rid of him by turning him over to the Dutch for a trifling ransom. The religious was well treated, and was able to return to France: he reached the port of La Rochelle 15 Nov. 1644.
Le captif ne pouvait être utile en aucune façon à la vieille femme, qui s’en débarrassa en le cédant aux Hollandais contre une rançon minime. Bien traité le religieux put retourner en France ; il toucha le port de La Rochelle le 15 novembre 1644. Il demanda de retourner en Nouvelle-France. En juillet 1645, on le retrouve à Trois-Rivières où il participe aux palabres de paix d’une délégation iroquoise. Il fraternise avec ses anciens bourreaux. À l’automne de la même année, il remonte vers le pays des Hurons.
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