gsl – Übersetzung – Keybot-Wörterbuch

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Keybot 64 Ergebnisse  www.qc.dfo-mpo.gc.ca
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2) gives an overview of the interannual variability of the macrozooplankton species composition, abundance, and biomass in the Lower St. Lawrence Estuary and the northwest Gulf of St. Lawrence (GSL) as measured in September in each year between 1994 and 2001.
L'information présentée dans ce rapport décrit l’état du zooplancton dans le Saint-Laurent en 2001. Ces résultats proviennent de l'analyse des données de deux stations fixes situées dans la Gyre d'Anticosti et le courant de Gaspé et de six transects répartis dans l'ensemble de l’estuaire maritime et du golfe du Saint-Laurent. Des informations additionnelles provenant d’une grille de 48 stations échantillonnées depuis 1994 dans l’estuaire maritime et le golfe du Saint-Laurent sont aussi présentées. Nous mettons l'accent sur les conditions en 2001, que nous comparons ensuite aux observations recueillies en 1999 et 2000 dans le cadre du programme de la zone Atlantique (PMZA) et aux observations sur le macrozooplancton recueillies de 1994 à 2001.
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in the southern GSL, and pteropods and
dans le sud du golfe, et ptéropodes et
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The Gulf of St. Lawrence (GSL) is a semi-enclosed sea with an estuarine circulation forced by runoff from the St. Lawrence and Great Lakes drainage systems and balanced by a deep inflow of oceanic waters through the Laurentian Channel.
Le golfe du Saint-Laurent (GSL) est une mer semi-fermée avec une circulation estuarienne forcée par l'écoulement issu des systèmes de drainage des grands lacs et du Saint-Laurent, et balancée par une entrée profonde d'eau océanique via le chenal Laurentien. À partir des échantillons récoltés entre juillet 1992 et juin 1994, pendant la Phase I du programme CJGOFS effectué dans le golfe Saint-Laurent, nous présentons de nouvelles données sur la chimie du carbone et des sels nutritifs ainsi que sur l'activité respiratoire dans les eaux profondes. Nous avons pu démontrer que les flux de carbone organique évalués à partir des données de pièges à sédiment, des mesures de l'activité respiratoire dans les eaux profondes et de la respiration benthique sont compatibles avec ceux obtenus à partir des changements dans la concentration en oxygène dissous des eaux profondes le long du chenal laurentien. Ces estimations suggèrent qu'environ 10 % de la production primaire locale atteint les eaux profondes (> 200 m) et les sédiments du GSL. Le bilan vertical de carbone est presque équilibré dans la partie est du golfe, mais approximativement la moitié du carbone produit dans la couche de surface du nord-ouest du golfe n'est pas prise en compte par notre modèle. Des différences entre les conditions hydrodynamiques et biologiques qui caractérisent les deux régions pourraient expliquer nos observations.
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The Gulf of St. Lawrence (GSL) is a semi-enclosed sea with an estuarine circulation forced by runoff from the St. Lawrence and Great Lakes drainage systems and balanced by a deep inflow of oceanic waters through the Laurentian Channel.
Le golfe du Saint-Laurent (GSL) est une mer semi-fermée avec une circulation estuarienne forcée par l'écoulement issu des systèmes de drainage des grands lacs et du Saint-Laurent, et balancée par une entrée profonde d'eau océanique via le chenal Laurentien. À partir des échantillons récoltés entre juillet 1992 et juin 1994, pendant la Phase I du programme CJGOFS effectué dans le golfe Saint-Laurent, nous présentons de nouvelles données sur la chimie du carbone et des sels nutritifs ainsi que sur l'activité respiratoire dans les eaux profondes. Nous avons pu démontrer que les flux de carbone organique évalués à partir des données de pièges à sédiment, des mesures de l'activité respiratoire dans les eaux profondes et de la respiration benthique sont compatibles avec ceux obtenus à partir des changements dans la concentration en oxygène dissous des eaux profondes le long du chenal laurentien. Ces estimations suggèrent qu'environ 10 % de la production primaire locale atteint les eaux profondes (> 200 m) et les sédiments du GSL. Le bilan vertical de carbone est presque équilibré dans la partie est du golfe, mais approximativement la moitié du carbone produit dans la couche de surface du nord-ouest du golfe n'est pas prise en compte par notre modèle. Des différences entre les conditions hydrodynamiques et biologiques qui caractérisent les deux régions pourraient expliquer nos observations.
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This report describes : 1) an overview of the spatial variability of the mesozooplankton and krill biomass in the lower St. Lawrence Estuary and the northwest Gulf of St. Lawrence (GSL) measured in September in each year between 1994-1999 and
Le présent rapport inclut les éléments suivants : 1) un survol de la variabilité spatiale de la biomasse de mésozooplancton et de krill dans le bas de l’estuaire du fleuve Saint-Laurent et le nord-ouest du golfe du Saint-Laurent (GSL) mesurée en septembre de chaque année de 1994 à 1999 et 2) les résultats de l’étude de la variabilité temporelle de la biomasse, de l’abondance et de la composition taxinomique du zooplancton à deux stations fixes du Programme de monitorage de la zone atlantique (PMZA : gyre d'Anticosti et courant de Gaspé) en 1999. Dans le bas de l’estuaire du Saint-Laurent et le nord-ouest du GSL, la biomasse de mésozooplancton et de krill n’était pas uniformément distribuée, montrant une très forte variabilité d’une année à l’autre. La biomasse humide moyenne estimative de mésozooplancton variait de 106,5 à 209,2 t km (-2) de 1994 à 1999, la valeur la plus élevée et la plus faible ayant été observée en 1994 et 1996, respectivement. De 1994 à 1999, la biomasse moyenne totale estimative globale de mésozooplancton dans l’ensemble du bas de l’estuaire du Saint-Laurent et du nord-ouest du GSL se chiffrait à 1,6 10 (6) ± 0,3 10 (6) t. De même, la biomasse moyenne estimative de krill variait de 7,2 à 38,1 t km (-2) de 1994 à 1999, la valeur la plus élevée et la plus faible ayant été observée en 1994 et 1996, respectivement. La biomasse moyenne totale estimative de krill dans l’ensemble du bas de l’estuaire du Saint-Laurent et du nord-ouest du GSL se chiffrait à 1,7 10 (5) ± 0,9 10(5) t. La variabilité temporelle de la biomasse, de l’abondance et de la composition taxinomique du zooplancton aux deux stations fixes PMZA (gyre d'Anticosti et courant de Gaspé) a révélé que les copépodes prédominaient clairement à toutes les dates d’échantillonnage en 1999, constituant plus de 80 % de la communauté zooplanctonique aux deux stations. Les petits copépodes (
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Blue whale sightings have been monitored in the Gulf of St. Lawrence (GSL) by the Mingan Island Cetacean Study (MICS) since 1979. More than 400 individuals with a heterogeneous GSL distribution have been identified to date.
La Station de Recherche des Îles Mingan (ou MICS) effectue le monitorage des rorquals bleus fréquentant le golfe du Saint-Laurent (GSL) depuis 1979. Jusqu’à présent, plus de 400 individus ont pu être photo-identifiés dans diverses régions du Golfe. Ce rapport vise à décrire qualitativement la distribution, l’abondance et le comportement des rorquals bleus à une échelle tant spatiale que temporelle. Les informations collectées sur les rorquals à bosse sont également décrites. Les résultats obtenus confirment le caractère généralement nomade du rorqual bleu et laissent présager que le GSL ne constitue qu’un fragment de l’aire d’alimentation estival de l’espèce. Les résultats révèlent également l’existence de divers comportements individuels par rapport à la fidélité au site : visiteurs occasionnels vs. réguliers et individus cosmopolites vs. exclusifs. Aussi, nous avons été capables d’effectuer une distinction entre les diverses zones de concentration des observations en se basant sur les tendances temporelles dans la fréquentation des sites. Alors que l’estuaire maritime semble être la région où les rorquals bleus sont le plus souvent observés, le nombre d’individus fréquentant la Minganie a décliné au cours du temps, au point où les observations sont maintenant un phénomène rare. Parallèlement, un nombre toujours croissant de rorquals à bosse a été observé chaque année dans cette même région. Comme plusieurs questions sur leur écologie générale restent sans réponse, le but de cette étude était d’augmenter l’état des connaissances sur le comportement et l’utilisation de l’habitat par ces rorquals. Les mammifères marins pourraient exercer le rôle de « sentinelle écosystémique ». Dans ce contexte, le monitorage à long terme permettrait de détecter toute tendance spatiale ou temporelle susceptible de refléter un changement dans l’environnement
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Blue whale sightings have been monitored in the Gulf of St. Lawrence (GSL) by the Mingan Island Cetacean Study (MICS) since 1979. More than 400 individuals with a heterogeneous GSL distribution have been identified to date.
La Station de Recherche des Îles Mingan (ou MICS) effectue le monitorage des rorquals bleus fréquentant le golfe du Saint-Laurent (GSL) depuis 1979. Jusqu’à présent, plus de 400 individus ont pu être photo-identifiés dans diverses régions du Golfe. Ce rapport vise à décrire qualitativement la distribution, l’abondance et le comportement des rorquals bleus à une échelle tant spatiale que temporelle. Les informations collectées sur les rorquals à bosse sont également décrites. Les résultats obtenus confirment le caractère généralement nomade du rorqual bleu et laissent présager que le GSL ne constitue qu’un fragment de l’aire d’alimentation estival de l’espèce. Les résultats révèlent également l’existence de divers comportements individuels par rapport à la fidélité au site : visiteurs occasionnels vs. réguliers et individus cosmopolites vs. exclusifs. Aussi, nous avons été capables d’effectuer une distinction entre les diverses zones de concentration des observations en se basant sur les tendances temporelles dans la fréquentation des sites. Alors que l’estuaire maritime semble être la région où les rorquals bleus sont le plus souvent observés, le nombre d’individus fréquentant la Minganie a décliné au cours du temps, au point où les observations sont maintenant un phénomène rare. Parallèlement, un nombre toujours croissant de rorquals à bosse a été observé chaque année dans cette même région. Comme plusieurs questions sur leur écologie générale restent sans réponse, le but de cette étude était d’augmenter l’état des connaissances sur le comportement et l’utilisation de l’habitat par ces rorquals. Les mammifères marins pourraient exercer le rôle de « sentinelle écosystémique ». Dans ce contexte, le monitorage à long terme permettrait de détecter toute tendance spatiale ou temporelle susceptible de refléter un changement dans l’environnement
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This report describes : 1) an overview of the spatial variability of the mesozooplankton and krill biomass in the lower St. Lawrence Estuary and the northwest Gulf of St. Lawrence (GSL) measured in September in each year between 1994-1999 and
Le présent rapport inclut les éléments suivants : 1) un survol de la variabilité spatiale de la biomasse de mésozooplancton et de krill dans le bas de l’estuaire du fleuve Saint-Laurent et le nord-ouest du golfe du Saint-Laurent (GSL) mesurée en septembre de chaque année de 1994 à 1999 et 2) les résultats de l’étude de la variabilité temporelle de la biomasse, de l’abondance et de la composition taxinomique du zooplancton à deux stations fixes du Programme de monitorage de la zone atlantique (PMZA : gyre d'Anticosti et courant de Gaspé) en 1999. Dans le bas de l’estuaire du Saint-Laurent et le nord-ouest du GSL, la biomasse de mésozooplancton et de krill n’était pas uniformément distribuée, montrant une très forte variabilité d’une année à l’autre. La biomasse humide moyenne estimative de mésozooplancton variait de 106,5 à 209,2 t km (-2) de 1994 à 1999, la valeur la plus élevée et la plus faible ayant été observée en 1994 et 1996, respectivement. De 1994 à 1999, la biomasse moyenne totale estimative globale de mésozooplancton dans l’ensemble du bas de l’estuaire du Saint-Laurent et du nord-ouest du GSL se chiffrait à 1,6 10 (6) ± 0,3 10 (6) t. De même, la biomasse moyenne estimative de krill variait de 7,2 à 38,1 t km (-2) de 1994 à 1999, la valeur la plus élevée et la plus faible ayant été observée en 1994 et 1996, respectivement. La biomasse moyenne totale estimative de krill dans l’ensemble du bas de l’estuaire du Saint-Laurent et du nord-ouest du GSL se chiffrait à 1,7 10 (5) ± 0,9 10(5) t. La variabilité temporelle de la biomasse, de l’abondance et de la composition taxinomique du zooplancton aux deux stations fixes PMZA (gyre d'Anticosti et courant de Gaspé) a révélé que les copépodes prédominaient clairement à toutes les dates d’échantillonnage en 1999, constituant plus de 80 % de la communauté zooplanctonique aux deux stations. Les petits copépodes (
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This report describes : 1) an overview of the spatial variability of the mesozooplankton and krill biomass in the lower St. Lawrence Estuary and the northwest Gulf of St. Lawrence (GSL) measured in September in each year between 1994-1999 and
Le présent rapport inclut les éléments suivants : 1) un survol de la variabilité spatiale de la biomasse de mésozooplancton et de krill dans le bas de l’estuaire du fleuve Saint-Laurent et le nord-ouest du golfe du Saint-Laurent (GSL) mesurée en septembre de chaque année de 1994 à 1999 et 2) les résultats de l’étude de la variabilité temporelle de la biomasse, de l’abondance et de la composition taxinomique du zooplancton à deux stations fixes du Programme de monitorage de la zone atlantique (PMZA : gyre d'Anticosti et courant de Gaspé) en 1999. Dans le bas de l’estuaire du Saint-Laurent et le nord-ouest du GSL, la biomasse de mésozooplancton et de krill n’était pas uniformément distribuée, montrant une très forte variabilité d’une année à l’autre. La biomasse humide moyenne estimative de mésozooplancton variait de 106,5 à 209,2 t km (-2) de 1994 à 1999, la valeur la plus élevée et la plus faible ayant été observée en 1994 et 1996, respectivement. De 1994 à 1999, la biomasse moyenne totale estimative globale de mésozooplancton dans l’ensemble du bas de l’estuaire du Saint-Laurent et du nord-ouest du GSL se chiffrait à 1,6 10 (6) ± 0,3 10 (6) t. De même, la biomasse moyenne estimative de krill variait de 7,2 à 38,1 t km (-2) de 1994 à 1999, la valeur la plus élevée et la plus faible ayant été observée en 1994 et 1996, respectivement. La biomasse moyenne totale estimative de krill dans l’ensemble du bas de l’estuaire du Saint-Laurent et du nord-ouest du GSL se chiffrait à 1,7 10 (5) ± 0,9 10(5) t. La variabilité temporelle de la biomasse, de l’abondance et de la composition taxinomique du zooplancton aux deux stations fixes PMZA (gyre d'Anticosti et courant de Gaspé) a révélé que les copépodes prédominaient clairement à toutes les dates d’échantillonnage en 1999, constituant plus de 80 % de la communauté zooplanctonique aux deux stations. Les petits copépodes (
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This report describes : 1) an overview of the spatial variability of the mesozooplankton and krill biomass in the lower St. Lawrence Estuary and the northwest Gulf of St. Lawrence (GSL) measured in September in each year between 1994-1999 and
Le présent rapport inclut les éléments suivants : 1) un survol de la variabilité spatiale de la biomasse de mésozooplancton et de krill dans le bas de l’estuaire du fleuve Saint-Laurent et le nord-ouest du golfe du Saint-Laurent (GSL) mesurée en septembre de chaque année de 1994 à 1999 et 2) les résultats de l’étude de la variabilité temporelle de la biomasse, de l’abondance et de la composition taxinomique du zooplancton à deux stations fixes du Programme de monitorage de la zone atlantique (PMZA : gyre d'Anticosti et courant de Gaspé) en 1999. Dans le bas de l’estuaire du Saint-Laurent et le nord-ouest du GSL, la biomasse de mésozooplancton et de krill n’était pas uniformément distribuée, montrant une très forte variabilité d’une année à l’autre. La biomasse humide moyenne estimative de mésozooplancton variait de 106,5 à 209,2 t km (-2) de 1994 à 1999, la valeur la plus élevée et la plus faible ayant été observée en 1994 et 1996, respectivement. De 1994 à 1999, la biomasse moyenne totale estimative globale de mésozooplancton dans l’ensemble du bas de l’estuaire du Saint-Laurent et du nord-ouest du GSL se chiffrait à 1,6 10 (6) ± 0,3 10 (6) t. De même, la biomasse moyenne estimative de krill variait de 7,2 à 38,1 t km (-2) de 1994 à 1999, la valeur la plus élevée et la plus faible ayant été observée en 1994 et 1996, respectivement. La biomasse moyenne totale estimative de krill dans l’ensemble du bas de l’estuaire du Saint-Laurent et du nord-ouest du GSL se chiffrait à 1,7 10 (5) ± 0,9 10(5) t. La variabilité temporelle de la biomasse, de l’abondance et de la composition taxinomique du zooplancton aux deux stations fixes PMZA (gyre d'Anticosti et courant de Gaspé) a révélé que les copépodes prédominaient clairement à toutes les dates d’échantillonnage en 1999, constituant plus de 80 % de la communauté zooplanctonique aux deux stations. Les petits copépodes (
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Blue whale sightings have been monitored in the Gulf of St. Lawrence (GSL) by the Mingan Island Cetacean Study (MICS) since 1979. More than 400 individuals with a heterogeneous GSL distribution have been identified to date.
La Station de Recherche des Îles Mingan (ou MICS) effectue le monitorage des rorquals bleus fréquentant le golfe du Saint-Laurent (GSL) depuis 1979. Jusqu’à présent, plus de 400 individus ont pu être photo-identifiés dans diverses régions du Golfe. Ce rapport vise à décrire qualitativement la distribution, l’abondance et le comportement des rorquals bleus à une échelle tant spatiale que temporelle. Les informations collectées sur les rorquals à bosse sont également décrites. Les résultats obtenus confirment le caractère généralement nomade du rorqual bleu et laissent présager que le GSL ne constitue qu’un fragment de l’aire d’alimentation estival de l’espèce. Les résultats révèlent également l’existence de divers comportements individuels par rapport à la fidélité au site : visiteurs occasionnels vs. réguliers et individus cosmopolites vs. exclusifs. Aussi, nous avons été capables d’effectuer une distinction entre les diverses zones de concentration des observations en se basant sur les tendances temporelles dans la fréquentation des sites. Alors que l’estuaire maritime semble être la région où les rorquals bleus sont le plus souvent observés, le nombre d’individus fréquentant la Minganie a décliné au cours du temps, au point où les observations sont maintenant un phénomène rare. Parallèlement, un nombre toujours croissant de rorquals à bosse a été observé chaque année dans cette même région. Comme plusieurs questions sur leur écologie générale restent sans réponse, le but de cette étude était d’augmenter l’état des connaissances sur le comportement et l’utilisation de l’habitat par ces rorquals. Les mammifères marins pourraient exercer le rôle de « sentinelle écosystémique ». Dans ce contexte, le monitorage à long terme permettrait de détecter toute tendance spatiale ou temporelle susceptible de refléter un changement dans l’environnement
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2) the biodiversity and species richness of organisms found in ballast water and sediments of incoming foreign vessels; 3) environmental conditions of the Gulf of St. Lawrence (GSL); and 4) the dispersion patterns of organisms inoculated in this area with ballast water discharges.
Le présent rapport a pour but d'évaluer les risques que représente l'utilisation du chenal Laurentien comme zone auxiliaire d’échange des eaux de lest (ZAEEL) pour les ressources halieutiques et les écosystèmes marins du Saint-Laurent et de l'Atlantique. L'évaluation de ces risques est fondée sur : 1) l'importance du trafic maritime en provenance de l'étranger qui a utilisé ou aurait pu utiliser le chenal Laurentien comme zone d'échange; 2) la diversité et la richesse spécifique des eaux de lest et des sédiments des navires en provenance de l'étranger; 3) les conditions environnementales du golfe du Saint-Laurent (GSL); 4) les schémas de dispersion des organismes introduits dans cette zone par le déversement des eaux de lest. Bien que l'industrie maritime ne semble pas faire une utilisation intensive du chenal Laurentien comme ZAEEL, les données analysées indiquent qu'un grand nombre de navires (1948), transportant un volume total de 12,2 t d'eaux de lest, ont transité dans cette zone en 2000 et auraient pu y effectuer des échanges. La plus grande partie des eaux de lest de ces navires provenait de la Région B de l'Organisation des Nations Unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO), où les conditions environnementales peuvent ressembler à celles du GSL, surtout l'été dans la mer du Nord et la mer Baltique. Toutefois, les navires qui ont déclaré avoir utilisé le chenal Laurentien comme ZAEEL arrivaient principalement de la Région A de la FAO, à partir de laquelle les voyages vers le Saint-Laurent sont généralement plus courts qu'à partir des autres régions de la FAO. Plusieurs études ont montré que les ballasts des navires en provenance de l'étranger qui entrent dans le Saint-Laurent contiennent divers assemblages d'organismes vivants (y compris des taxons non indigènes, des taxons toxiques et/ou nuisibles et des taxons qui représentent un risque potentiel) provenant de diverses régions du monde. Des simulations de déversement d'organismes dans le chenal Laurentien ont montré que le plancton introduit est retenu dans le golfe (la rétention de phytoplancton est plus élevée au printemps et à la fin de l'été) et est transporté vers les côtes. Le modèle a mis en évidence quelques régions qui sont particulièrement exposées à ces déversements selon les saisons : les îles de la Madeleine, le sud-ouest de Terre-Neuve, le nord de l'île du Cap-Breton et le sud de l'île d'Anticosti. La présente évaluation a permis de déterminer que l’utilisation de la ZAEEL sit
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2) the biodiversity and species richness of organisms found in ballast water and sediments of incoming foreign vessels; 3) environmental conditions of the Gulf of St. Lawrence (GSL); and 4) the dispersion patterns of organisms inoculated in this area with ballast water discharges.
Le présent rapport a pour but d'évaluer les risques que représente l'utilisation du chenal Laurentien comme zone auxiliaire d’échange des eaux de lest (ZAEEL) pour les ressources halieutiques et les écosystèmes marins du Saint-Laurent et de l'Atlantique. L'évaluation de ces risques est fondée sur : 1) l'importance du trafic maritime en provenance de l'étranger qui a utilisé ou aurait pu utiliser le chenal Laurentien comme zone d'échange; 2) la diversité et la richesse spécifique des eaux de lest et des sédiments des navires en provenance de l'étranger; 3) les conditions environnementales du golfe du Saint-Laurent (GSL); 4) les schémas de dispersion des organismes introduits dans cette zone par le déversement des eaux de lest. Bien que l'industrie maritime ne semble pas faire une utilisation intensive du chenal Laurentien comme ZAEEL, les données analysées indiquent qu'un grand nombre de navires (1948), transportant un volume total de 12,2 t d'eaux de lest, ont transité dans cette zone en 2000 et auraient pu y effectuer des échanges. La plus grande partie des eaux de lest de ces navires provenait de la Région B de l'Organisation des Nations Unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO), où les conditions environnementales peuvent ressembler à celles du GSL, surtout l'été dans la mer du Nord et la mer Baltique. Toutefois, les navires qui ont déclaré avoir utilisé le chenal Laurentien comme ZAEEL arrivaient principalement de la Région A de la FAO, à partir de laquelle les voyages vers le Saint-Laurent sont généralement plus courts qu'à partir des autres régions de la FAO. Plusieurs études ont montré que les ballasts des navires en provenance de l'étranger qui entrent dans le Saint-Laurent contiennent divers assemblages d'organismes vivants (y compris des taxons non indigènes, des taxons toxiques et/ou nuisibles et des taxons qui représentent un risque potentiel) provenant de diverses régions du monde. Des simulations de déversement d'organismes dans le chenal Laurentien ont montré que le plancton introduit est retenu dans le golfe (la rétention de phytoplancton est plus élevée au printemps et à la fin de l'été) et est transporté vers les côtes. Le modèle a mis en évidence quelques régions qui sont particulièrement exposées à ces déversements selon les saisons : les îles de la Madeleine, le sud-ouest de Terre-Neuve, le nord de l'île du Cap-Breton et le sud de l'île d'Anticosti. La présente évaluation a permis de déterminer que l’utilisation de la ZAEEL sit
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In the second part of the experiment, a two-way coupled simulation is performed over the same period. The results indicate that on a monthly or longer timescale, the CRCM is not very sensitive to the details of the oceanic fields from GOM, except locally over the Gulf of St. Lawrence (GSL).
Le modèle NODEM (« Northern Oceans DMS Emission Model ») de production de dimethylsulfide (DMS) a été couplé avec le modèle 1-D d'océan GOTM (« General Ocean Turbulence Model »), qui incluse un schéma de la turbulence océanique du second ordre de type ?-e-e. Ce modèle couplé physique et biogéochimique constitue une amélioration significative de la précédente version non couplée de NODEM, qui s'appuyait sur un schéma diagnostique pour le mélange vertical. Reprenant les mêmes paramètres biogéochimiques, le modèle couplé a été utilisé pour simuler le cycle saisonnier des années 1992 et 1993 à la station S en mer des Sargasses. La meilleure prise en compte de l'aspect turbulent du mélange océanique corrige certains défauts dans la représentation du cycle de l'azote, en particulier l'évolution saisonnière des concentrations en nutriments. Le modèle couplé capture maintenant les floraisons phytoplanctoniques de fin d'hiver et les pics en chlorophylle et en DMS(P) qui les caractérisent. Il améliore également la représentation des distributions verticales de chlorophylle et de DMS(P) en été. De plus, le réservoir de DMS est moins dépendant des paramètres contrôlant le cycle de l'azote, et relativement plus sensible aux paramètres reliés au cycle du souffre. Finalement, le modèle couplé reproduit certaines des différences observées entre 1992 et 1993 dans les réservoirs de DMS(P), la dernière année constituant un jeu de données indépendant qui n'a pas été utilizé pour la calibration de la version initiale de NODEM.©2004 NRC Canada