gua – Übersetzung – Keybot-Wörterbuch

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Keybot 32 Ergebnisse  www.biographi.ca
  Biography – SECOUDON – ...  
SECOUDON (Secondon, Chkoudun), sagamo or chieftain of all the Saint John River Indians when Champlain and Du Gua de Monts discovered the river in 1604; d. before 1616.
SECOUDON (Secondon, Chkoudun), sagamo ou chef de tous les Indiens de la rivière Saint-Jean lorsque Champlain et Du Gua de Monts découvrirent ce cours d’eau en 1604, mort avant 1616.
  Biography – DUGUA DE MO...  
Permalink: http://www.biographi.ca/en/bio/du_gua_de_monts_pierre_1E.html
Permalien: http://www.biographi.ca/fr/bio/du_gua_de_monts_pierre_1F.html
  Biography – GRAVÉ DU PO...  
After de Chaste’s death, Gravé became the deputy of the Sieur Du Gua de Monts, the newest successful bidder for the trading rights. On his 1604 voyage, he concerned himself exclusively with trading. In 1605 he brought supplies to the Acadian colony, and along with Champlain, he chose Port-Royal as the site for a new settlement; in 1605 and 1606, de Monts entrusted him with the command of the colony.
De Chaste décédé, Gravé devient le chargé d’affaires du sieur Du Gua de Monts, nouvel adjudicataire de la traite. Dans son voyage de 1604, il ne s’occupe que de commerce. En 1605, il vient ravitailler la colonie acadienne et, avec Champlain, choisit Port-Royal comme site d’une nouvelle habitation ; en 1605 et 1606, de Monts lui confie le commandement de la colonie.
  Biography – OUAGIMOU – ...  
OUAGIMOU (Oagimont), chief of the neighbouring Indians when Du Gua de Monts and Champlain established their settlement on Île Sainte-Croix in 1604. He was described as an Etchemin chief but the Indians of that region are now called Passamaquoddies.
OUAGIMOU (Oagimont), chef des Indiens du voisinage de la colonie que Du Gua de Monts et Champlain établirent dans l’île Sainte-Croix en 1604. On a dit qu’il était chef etchemin, mais les Indiens de cette région s’appellent maintenant les Passamaquoddys.
  Biography – CHAUVIN DE ...  
He was of a wealthy merchant family, and married first Jeanne de Mallemouche, by whom he had one son, François, and second, Marie de Brinon. In 1583 he was serving under admiral Aymar de Chaste in the Azores, and in 1589 he was captain of the important Huguenot garrison at Honfleur, occupied by Du Gua de Monts the previous year.
CHAUVIN DE TONNETUIT, PIERRE DE, capitaine dans la marine et dans l’armée françaises, lieutenant général de la Nouvelle-France, surnommé le fondateur de Tadoussac ; né à Dieppe, en Normandie, mort au début de février 1603 en France (probablement à Honfleur). Il ne faut pas le confondre avec le capitaine Pierre Chauvin de La Pierre, ou Chauvin, de Dieppe, à qui Champlain laissa le commandement de Québec pendant son absence de 1609 à 1610.
  Biography – SAVIGNON – ...  
On the return trip he narrowly escaped death off “l’isle aux herons,” where his canoe became engulfed in the whirling waters. Two companions, Louis, a young Frenchman in the service of Du Gua de Monts, and Outetoucos, a Montagnais chief, were lost.
Savignon revint dans la région du Saint-Laurent avec Champlain en 1611 et on l’envoya de l’avant à partir des rapides (Lachine) avec mission de hâter l’arrivée des Hurons et des Algonquins qui étaient attendus, mais une avarie de son canot l’obligea à rebrousser chemin après avoir franchi le lac des Deux-Montagnes. Pendant le voyage de retour, il faillit se noyer près de « l’isle aux hérons » lorsque son canot fut pris dans un tourbillon. Deux compagnons, Louis, un jeune Français au service de Du Gua de Monts, et Outetoucos, chef montagnais, y trouvèrent la mort. On dit que les rapides Saint-Louis doivent leur nom à cet événement.
  Biography – JACK, DAVID...  
A member of the citizens’ committee formed to make local preparations for the royal visit in 1901, Jack was closely involved three years later with the tercentenary of the arrival at the Saint John River of Samuel de Champlain* and Pierre Du Gua* de Monts.
Après la mort précoce de son père en 1884, Jack dut, en tant que seul fils qui avait survécu jusqu’à l’âge adulte, prendre en main l’entreprise familiale d’assurances. En même temps, il succéda à son père comme vice-consul d’Espagne. Conscient de ses devoirs civiques, il servit Saint-Jean à titre de membre du conseil municipal dans les années 1890. Bien qu’il ait fait pression pour la préservation et la promotion du patrimoine de la ville, il était un fervent progressiste et joua un rôle important dans l’électrification de l’éclairage des rues. Parallèlement à ses fonctions de conseiller, il appartint durant sept ans au Conseil des commissaires d’école.
  Biography – SARCEL DE P...  
Prévert was probably one of those who gave Henri IV information about the Acadian region before Pierre Du Gua de Monts obtained his first commission. He claimed that he possessed a trading licence that was still valid on 13 March 1603, the date on which a captain from Saint-Malo was authorized to join him and François Gravé Du Pont for the explorations that were contemplated.
Il avait parcouru les côtes de la Nouvelle-France dès les premières années du xviie siècle, sinon avant. Prévert était associé avec des marchands malouins ; leur navire trafiquait à l’île d’Orléans quand, en 1600, ils se virent enlever des marchandises par les hommes de Pierre Chauvin de Tonnetuit. Forcé d’indemniser les marchands par un arrêt du Conseil privé le 21 novembre 1601, Chauvin s’exécuta le 23 février 1602.
  Biography – SARCEL DE P...  
Prévert was probably one of those who gave Henri IV information about the Acadian region before Pierre Du Gua de Monts obtained his first commission. He claimed that he possessed a trading licence that was still valid on 13 March 1603, the date on which a captain from Saint-Malo was authorized to join him and François Gravé Du Pont for the explorations that were contemplated.
Il avait parcouru les côtes de la Nouvelle-France dès les premières années du xviie siècle, sinon avant. Prévert était associé avec des marchands malouins ; leur navire trafiquait à l’île d’Orléans quand, en 1600, ils se virent enlever des marchandises par les hommes de Pierre Chauvin de Tonnetuit. Forcé d’indemniser les marchands par un arrêt du Conseil privé le 21 novembre 1601, Chauvin s’exécuta le 23 février 1602.
  Biography – DUVAL, JEAN...  
Duval was executed immediately as an example, and his head was stuck on a pike at the highest point of the fort; the other three were sent to Pierre Du Gua de Monts in France, “in order that more ample justice should be done to them.”
On commençait en juillet 1608 l’Habitation de Québec, lorsque Duval projeta de tuer Champlain afin de livrer Québec aux Basques ou aux Espagnols, et de faire ainsi fortune. Duval trouva quatre complices, dont le serrurier Antoine Natal, qui entreprirent de corrompre tous leurs compagnons, y compris le laquais de Champlain. Peu de temps avant l’heure fixée pour le crime, Natal, pris de remords, alla prévenir le capitaine Testu qui arrivait de Tadoussac : il révéla tous les détails du projet et, par l’entremise de Testu, obtint son pardon.
  Biography – MARTIN, ABR...  
This land was sold by the Martin family to the Ursulines in 1667. It is possible that this is the same Martin who was employed by Jean de Biencourt and Du Gua de Monts as navigator on the coast of Acadia, although he would have been very young at that time.
Les plaines d’Abraham seraient ainsi appelées à cause de lui. Une anecdote pittoresque rapporte que la « Côte d’Abraham » était le sentier emprunté par Martin pour descendre à la rivière Saint-Charles abreuver ses animaux. Son domaine comprenait 32 arpents (environ 48 acres) en tout, 12 arpents octroyés par la Compagnie de la Nouvelle-France en 1635 et 20 reçus en cadeau du sieur Adrien Du Chesne, chirurgien naval de Pierre Legardeur de Repentigny en 1645. Cette propriété fut vendue par la famille Martin aux Ursulines en 1667. Il est possible qu’il s’agisse du même Martin employé par Jean de Biencourt et Du Gua de Monts comme navigateur sur la côte de l’Acadie, bien qu’il fût alors très jeune. Lorsque David Kirke prit Québec en 1629 et laissa son frère Lewis comme gouverneur jusqu’en 1632, Martin et sa famille demeurèrent à Québec. Plus tard, Martin baissa dans l’estime de ses concitoyens, lorsqu’il fut accusé de conduite répréhensible envers une jeune fille de Québec. Il fut emprisonné le 15 février 1649 pour ce motif.
  Biography – BIENCOURT D...  
On his release, ill and discouraged, he arranged a legal separation from his wife to make it possible for her to keep any money and property she still owned. In the meantime, Mme de Guercheville had bought Du Gua de Monts’s lands in New France: the title of viceroy of Canada was bestowed on Henri de Bourbon, Prince de Condé.
Pendant qu’il s’efforçait désespérément de recueillir de l’argent, Poutrincourt reçut, en août 1612, la visite du courtisan René Le Coq de La Saussaye venu lui présenter une proposition d’ordre financier qui aurait résolu ses difficultés. Croyant que La Saussaye agissait pour le compte des Jésuites, Poutrincourt accepta la proposition et, en conséquence, conclut un accord aux termes duquel il empruntait de l’argent pour acquitter sa quote-part de l’armement d’un navire et de l’envoi de La Saussaye à Port-Royal avec des approvisionnements. Dans une lettre qu’il écrivit plus tard à Lescarbot, Poutrincourt expliqua que La Saussaye s’était retiré au dernier moment, et il prétendit que l’accord conclu avec La Saussaye n’était qu’un stratagème en vue de le ruiner et de le discréditer. Incapable de régler ses dettes, il fut jeté en prison. À sa libération, malade et découragé, il demanda la séparation légale d’avec sa femme afin de permettre à cette dernière de conserver l’argent et les biens qu’elle possédait encore. Dans l’intervalle, Mme de Guercheville avait acheté les terres de M. de Monts en Nouvelle-France : le titre de vice-roi du Canada passait à Henri de Bourbon, prince de Condé.
  Biography – MEMBERTOU, ...  
The prestige of the autmoin reinforced that of the sagamo and gave him a special authority in the councils. Membertou, inhabiting a remote region of no interest to French fishermen, suddenly found himself in the limelight when Du Gua de Monts came to settle at Port-Royal in 1605.
A sa qualité de sagamo, Membertou joignait celle d’autmoin (shaman). Contre présents, il vaticinait sur l’issue de la chasse ou de la guerre. Appelé auprès des malades, il soufflait sur eux pour éloigner le démon, dansait, se démenait, présidait à des cérémonies plus étranges encore et se prononçait sur le rétablissement ou la mort prochaine du patient. Le prestige de l’autmoin doublait celui du sagamo et lui donnait une autorité particulière dans les conseils. Habitant une région excentrique et sans intérêt pour les pêcheurs français, Membertou se trouva subitement en vedette, lorsque Du Gua de Monts vint s’installer à Port-Royal, en 1605. Être l’hôte des Européens, à portée immédiate de leurs marchandises, était un avantage fort envié par tous les sagamos. La jalousie de ses congénères a valu au vieux chef le « renom d’estre le plus meschant et traistre qui fut entre ceux de sa nation », d’après Champlain. Mais ce jugement intéressé est compensé par l’estime profonde des Français. « C’a esté, écrit le père Biard, le plus grand, renommé et redouté sauvage qui ayt esté de memoire d’homme : de riche taille, et plus hault et membru que n’est l’ordinaire des autres, barbu comme un françoys, estant ainsy que quasi pas un des autres [sinon les sagamos] n’a du poil au menton ; discret et grave, ressentant bien son homme de commandement », il montra une fidélité indéfectible à ses alliés européens. L’habitation de Port-Royal, abandonnée à sa garde durant trois ans, ne subit aucune dilapidation. Sa touchante amitié envers Jean de Biencourt de Poutrincourt apparut bien dans sa dernière harangue, mais aussi dans toute sa conduite à l’égard du gentilhomme.