harper – -Translation – Keybot Dictionary

Spacer TTN Translation Network TTN TTN Login Deutsch Français Spacer Help
Source Languages Target Languages
Keybot 289 Results  www.biographi.ca  Page 8
  Biography – HARPER, JER...  
Jerome Harper never changed his citizenship and was a strong supporter of the Confederate states; to him, Robert E. Lee was the equal of Napoleon or Wellington. In 1862–63 he was connected with a plot to outfit a Confederate privateer at Victoria, but the scheme failed and only the plotters were discomfited.
Jerome Harper ne changea jamais de nationalité et fut un chaud partisan des états confédérés ; à ses yeux, Robert Edward Lee était l’égal de Napoléon ou de Wellington. En 1862 et 1863, Harper fut mêlé à un complot pour armer un corsaire confédéré à Victoria, mais cette conspiration échoua et seuls les comploteurs en furent attristés. Harper était très connu et très estimé. Il donnait des réceptions somptueuses qui étaient renommées et il était reconnu pour les petits repas au champagne qu’il offrait dans son moulin de Clinton. Des deux frères, c’était toujours Jerome qui prenait les décisions ; c’est sur son initiative que furent créés les immenses ranchs de bestiaux situés à Kamloops, à Cache Creek, à Clinton et dans le Chilcotin, et qui devaient plus tard appartenir à Thaddeus.
  Biography – DUBREUIL, V...  
Henry Albert Harper*]. For a number of years he was also a superintendent of incinerators for Montreal. In February 1901 he gave up that job and moved to Ottawa to become a full-time fair-wage officer alongside Daniel John O’Donoghue* in the Department of Labour.
, publication mensuelle du département fédéral du Travail qui vient d’être créé [V. Henry Albert Harper*]. Dubreuil combine alors cette tâche avec celle de surintendant des incinérateurs de la ville de Montréal, qu’il occupe depuis quelques années. En février 1901, il abandonne cette dernière fonction pour devenir agent d’équité salariale à temps plein au département du Travail, où il retrouve le syndicaliste Daniel John O’Donoghue*. Il doit alors déménager ses pénates à Ottawa. Un peu plus tard, il est aussi affecté comme conciliateur à l’occasion de certaines grèves. Ce sont les tâches qui l’occupent jusqu’à son décès en 1916.
  Biography – FLEMING, JO...  
PAC, RG 5, C1, 523. J. R. Harper,
[...] (Toronto, 1859), 72–84.
  Biography – HARPER, JOH...  
Permalink: http://www.biographi.ca/en/bio/harper_john_murdoch_14E.html
Permalien: http://www.biographi.ca/fr/bio/harper_john_murdoch_14F.html
  Biography – VALENTINE, ...  
(Toronto, 1943). Harper,
— William Colgate,
  Biography – BERCZY, WIL...  
John Andre and J. Russell Harper
John Andre et J. Russell Harper
  Biography – HARPER, JOH...  
Anne Drummond, “HARPER, JOHN MURDOCH,” in
Comment écrire la référence bibliographique de cette biographie
  Biography – HARPER, HEN...  
Permalink: http://www.biographi.ca/en/bio/harper_henry_albert_13E.html
Permalien: http://www.biographi.ca/fr/bio/harper_henry_albert_13F.html
  Biography – VALENTINE, ...  
(Halifax), 1 Jan. 1842. Harper,
(Charlottetown), 6 août 1833.—
  Biography – MACTAGGART,...  
, ed. M. M. Harper (Dalbeattie, Scot., 1889). R. [F.] Legget,
The engineer.— Sights and surveys : two diarists on the Rideau
  Biography – HARPER, CHA...  
, 43 (1937): 31–32. Raymond Douville, “Les trois abbés Harper,”
(Trois-Rivières, Québec, 1980).— Lucien Brault, « Charles Harper, maître d’école au Cap Santé »,
  Biography – DUNCANSON, ...  
J. Russell Harper, “DUNCANSON, ROBERT STUART,” in
NOTMAN, WILLIAM (Vol. 12)EDSON, ALLAN AARON (Vol. 11)
  Biography – HARPER, CHA...  
Permalink: http://www.biographi.ca/en/bio/harper_charles_8E.html
Permalien: http://www.biographi.ca/fr/bio/harper_charles_8F.html
  Biography – MCCULLY, LA...  
McCully’s public expression began in childhood. She was a regular contributor of poetry and correspondence to the “Children’s corner” of the Toronto Daily Mail and Empire and was profiled in Harper’s Bazaar (New York) in 1899.
Laura Elizabeth McCully s'exprima en public dès son enfance. Elle signa régulièrement des poèmes et des lettres dans le « Children's corner » du Daily Mail and Empire de Toronto ; le Harper's Bazaar de New York brossa un portrait d'elle en 1899. Elle continua d'écrire de la poésie toute sa vie et fit paraître à Toronto deux recueils, Mary Magdalene, and other poems en 1914 et Bird of dawn, and other lyrics en 1919. Dans ses vers, son amour du classique et de la nature s'entrelace à ses opinions politiques, à sa vision morale et à ses idées sur la condition humaine. Ainsi, dans un poème intitulé Cassandra, elle s'inspire de l'histoire antique pour exprimer ses propres vues sur la quête existentielle :
  Biography – LAMPMAN, AR...  
Harper
l’
  Biography – SOWER, CHRI...  
(Norristown, Pa., 1948). J. R. Harper, “Christopher Sower, king’s printer and loyalist,” N.B. Hist. Soc.,
(Norristown, Pa., 1948).— J. R. Harper, Christopher Sower, king’s printer and loyalist, N.B. Hist. Soc.,
  Biography – EDSON, ALLA...  
(Toronto, 1943; repr. 1967), 35, 121–24. Harper,
, 103.— J. H. S. Bugeia et T. C. Moore,
  Biography – HARPER, JOH...  
Several papers presented by John Murdoch Harper before the Literary and Hist. Soc. of Quebec were published in its
(Montréal), livret-souvenir conçu pour un ralliement au bénéfice des familles de soldats. Il mourut à l’âge de 74 ans, victime d’une fracture du crâne au cours d’un accident de la circulation.
  Biography – HARPER, JER...  
Jerome Harper never changed his citizenship and was a strong supporter of the Confederate states; to him, Robert E. Lee was the equal of Napoleon or Wellington. In 1862–63 he was connected with a plot to outfit a Confederate privateer at Victoria, but the scheme failed and only the plotters were discomfited.
Jerome Harper ne changea jamais de nationalité et fut un chaud partisan des états confédérés ; à ses yeux, Robert Edward Lee était l’égal de Napoléon ou de Wellington. En 1862 et 1863, Harper fut mêlé à un complot pour armer un corsaire confédéré à Victoria, mais cette conspiration échoua et seuls les comploteurs en furent attristés. Harper était très connu et très estimé. Il donnait des réceptions somptueuses qui étaient renommées et il était reconnu pour les petits repas au champagne qu’il offrait dans son moulin de Clinton. Des deux frères, c’était toujours Jerome qui prenait les décisions ; c’est sur son initiative que furent créés les immenses ranchs de bestiaux situés à Kamloops, à Cache Creek, à Clinton et dans le Chilcotin, et qui devaient plus tard appartenir à Thaddeus.
  Biography – HARPER, CHA...  
The history of the Séminaire de Nicolet bears testimony to the services rendered by Charles Harper, and identifies him as a benefactor. To recognize his merit and to reward him, the seminary’s board of trustees in 1853 bestowed upon him the office of superior.
Harper entra alors au séminaire de Nicolet où, de 1822 à 1824, il fit ses études classiques et philosophiques. Puis il entreprit sa théologie, tout en enseignant aux étudiants du séminaire, de 1824 à 1828. Ordonné prêtre le 7 septembre 1828, il était le deuxième de sa famille à choisir le sacerdoce : son frère Jean avait été ordonné prêtre en 1824 et un autre de ses frères, Jacques, le sera en 1835
  Biography – HARPER, CHA...  
The history of the Séminaire de Nicolet bears testimony to the services rendered by Charles Harper, and identifies him as a benefactor. To recognize his merit and to reward him, the seminary’s board of trustees in 1853 bestowed upon him the office of superior.
Harper entra alors au séminaire de Nicolet où, de 1822 à 1824, il fit ses études classiques et philosophiques. Puis il entreprit sa théologie, tout en enseignant aux étudiants du séminaire, de 1824 à 1828. Ordonné prêtre le 7 septembre 1828, il était le deuxième de sa famille à choisir le sacerdoce : son frère Jean avait été ordonné prêtre en 1824 et un autre de ses frères, Jacques, le sera en 1835
  Biography – THOMPSON, J...  
, 1790–91. J. R. Harper,
, 1790–1791.— J. R. Harper,
  Biography – WATTS, JOHN...  
, 1988). J. R. Harper,
Canadian who’s who
  Biography – LEBLOND DE ...  
(Paris, 1963), 369–71. Harper,
(Paris, 1963), 369–371.— Harper,
  Biography – HARPER, HEN...  
a memoir of Henry Albert Harper
(London, 1955).— Sandra Gwyn,
  Biography – HARPER, CHA...  
Harper then entered the Séminaire de Nicolet, where from 1822 to 1824 he completed his classical and philosophical studies. From 1824 to 1828 he took his theology, and at the same time taught the students of the seminary.
Charles Harper était le cinquième d’une famille de neuf enfants. Le bon exemple de son père, homme honnête s’il en fut, de même que celui d’une mère profondément religieuse, marqua son enfance et son adolescence. De bonne heure, Charles donna des signes d’une intelligence supérieure et ses parents ne négligèrent rien pour lui procurer une instruction qui lui permettrait de gagner sa vie malgré son infirmité (il avait un pied bot). L’élève répondit à leur attente en remportant des succès remarquables à l’école du révérend Daniel Wilkie, à Québec. C’est ainsi qu’en 1815
  Biography – GUNN, ISABE...  
She may also have acted as nurse to the pupils of the school established by the company at Albany that year. Her son was baptized by the schoolmaster William Harper in October. The chief factor at Albany, John Hodgson*, appears to have been sympathetic to the young woman’s plight; she did not want to return to the Orkneys but it was against company policy to allow white women at any of its posts.
À l’automne de 1807, Fubbister fit partie d’un convoi de trappeurs qu’on envoya hiverner à Pembina (Dakota du Nord), sur la rivière Rouge. Là encore, elle « travailla à tout, aussi bien que les autres hommes », jusqu’au matin du 29 décembre, moment où, à l’étonnement général, Fubbister donna naissance à un fils. L’accouchement eut lieu au poste de la North West Company, à Pembina, la coutume voulant que les hommes des postes rivaux passent ensemble le temps des fêtes. Comme les hommes de la Hudson’s Bay Company étaient sur leur départ, Fubbister, ne se sentant pas bien, demanda à Alexander Henry, qui avait la charge du poste, la permission de rester dans sa maison. Peu de temps après, Henry la trouva « allongée devant le foyer, se lamentant d’une horrible façon ». Et Henry décrit ainsi la scène : « il tendit ses mains vers moi et d’un ton pitoyable sollicita mon aide, me demandant d’avoir pitié d’un pauvre malheureux, abandonné et sans secours, et qui n’était pas du sexe que j’avais toutes les raisons de croire. Qu’au contraire elle était une malheureuse fille des Orcades, enceinte et en train d’accoucher ; en disant cela elle ouvrit sa chemise et me fit voir une magnifique paire de seins, ronds et blancs. » Moins d’une heure après, le bébé était né ; la mère et l’enfant furent bientôt déposés à la hâte dans une carriole et retournés au poste de la Hudson’s Bay Company. Scarth passa pour être le père.
  Biography – HARPER, JOH...  
Despite his pro-British imperialism and his desire for a pan-Canadian system of public schools, Harper appears to have been held in esteem by French Catholics in Quebec City. Among the English Protestants he wanted most to impress, he seems to have remained a relative outsider, even though his publications were well reviewed and he received considerable support at the time of his forced resignation.
publié à Toronto en 1913. Fervent impérialiste, il préférait décrire les relations entre anglophones et francophones comme une continuation du « régime de courtoisie » en vigueur dans le passé au lieu d’admettre la montée du nationalisme canadien-français. Il se sentait probablement plus à l’aise dans cette vision romantique du passé. En cette période où l’activité d’historien était en train de se professionnaliser, un homme au style aussi exubérant et fleuri n’avait plus guère sa place. En 1916, il contribua à
  Biography – HARPER, JOH...  
Nevertheless, a small number of English Protestant legislators led by William Alexander Weir and representing rural constituencies in the provincial Liberal government of Simon-Napoléon Parent insisted on Harper’s resignation.
, qui paraissait à Québec. Il organisa des stages de formation pour enseignants. Il occupa la présidence de la Québec Protestant Teachers Association en 1890–1891 et celle de la Provincial Association of Protestant Teachers en 1895–1896. Il participa en 1892 à la fondation de la Dominion Educational Association, dont il se servit pour promouvoir l’instauration d’un système fédéral d’enseignement public respectant des critères d’âge. En 1897, il accéda au Bureau central des examinateurs protestants. À ce moment-là, il avait à son actif plusieurs ouvrages de poésie, d’histoire et de fiction.
  Biography – HARPER, CHA...  
40 when he taught theology), Harper won and retained the confidence of Bishop Joseph Signay*, who relied upon him in all matters related to the seminary’s administration. Among other tasks, Harper had to supervise the construction of a larger building, begun in 1828.
Le 30 avril 1818, Harper obtint du gouvernement la commission de « Maître de l’École gratuite de fondation royale établie au Cap Santé », laquelle avait été mise sur pied depuis peu à la demande des habitants. Il enseigna à environ 36 élèves la lecture, l’écriture et l’arithmétique dans les deux langues, et son salaire s’élevait à £45 par année. Il semble avoir donné satisfaction dans l’accomplissement de sa charge, puisque son engagement fut renouvelé régulièrement jusqu’à ce qu’il quitte son emploi, le 30 avril 1822
  Biography – HARPER, CHA...  
40 when he taught theology), Harper won and retained the confidence of Bishop Joseph Signay*, who relied upon him in all matters related to the seminary’s administration. Among other tasks, Harper had to supervise the construction of a larger building, begun in 1828.
Le 30 avril 1818, Harper obtint du gouvernement la commission de « Maître de l’École gratuite de fondation royale établie au Cap Santé », laquelle avait été mise sur pied depuis peu à la demande des habitants. Il enseigna à environ 36 élèves la lecture, l’écriture et l’arithmétique dans les deux langues, et son salaire s’élevait à £45 par année. Il semble avoir donné satisfaction dans l’accomplissement de sa charge, puisque son engagement fut renouvelé régulièrement jusqu’à ce qu’il quitte son emploi, le 30 avril 1822
  Biography – MOORE, WILL...  
He left immediately for New York, where he returned to his music hall entertainments. Later he joined the Harper Rhode Island Company in Newport, and on 3 Oct. 1793, when he had his benefit, he again delivered his
L’on ne sait rien de précis sur les activités de Moore pendant les quatre années suivantes. En 1798, John Durang, membre du cirque de Rickett, indiquait dans son journal intime qu’il avait rencontré Moore à Québec. Il se peut qu’il soit retourné à Québec en juillet de cette année-là à cause du décès de Hugh McKay, mais on ignore ce qu’il devint par la suite.
  Biography – CHEWETT, WI...  
(Toronto, 1850), 16, 32–33. Harper,
Fasti academici ; annals of King’s College, Toronto
  Biography – HARPER, HEN...  
Best remembered as King’s friend, Harper might have come to resent King’s demands on his time or even to question King’s disinterested idealism, but he died young. He drowned in a heroic but unsuccessful attempt to save a young woman, Elizabeth (Bessie) Blair (daughter of Andrew George Blair, the minister of railways and canals), who had gone through the ice while skating on the Ottawa River.
King était la figure dominante. Il associait Harper aux projets de développement qu’il caressait pour le ministère du Travail. Quand il quittait Ottawa pour aller faire de la médiation dans des conflits de travail, Harper devenait sous-ministre suppléant. Les deux hommes ne doutaient pas que l’harmonie dans les relations industrielles faisait partie de l’ordre social chrétien. Certains capitalistes pouvaient être incorrigibles, et même certains travailleurs, mais, comme le disait Harper, « la plupart des conflits de travail prov[enaient] de malentendus ». Pour lui comme pour King, la
  Biography – DUNCAN, JAM...  
(2v., Montreal, 1963), I: 85, 89–94. J. R. Harper,
, 1er nov. 1856.— Mary Allodi,
  Biography – JACOBI, OTT...  
. . . (Liverpool), 1853. Harper,
(Toronto, 1945).— Paul Duval,
  Biography – HAYR, ANNIE...  
Harper’s Young People
Montreal Witness
  Biography – BRUNEAU, FR...  
In 1814 François-Jacques Bruneau went to Montreal with his father, where he was baptized on 28 October, and in 1822 came to the Red River Settlement. He registered in the Saint-Boniface school directed by Abbé Jean Harper; it became a classical college the following year.
Le père de François-Jacques Bruneau fut probablement « voyageur » de la North West Company ; il semble qu’il ait eu des liens de parenté avec les Bruneau, bien connus dans la société québécoise, y compris la femme de Louis-Joseph Papineau*, Julie. Les grands-parents de François-Jacques étaient originaires du Poitou ; il appartenait donc à une famille française récemment établie au pays, chose rare parmi les Métis français. Ceux qui le pouvaient se disaient petits-fils de « Français de France », dans l’espoir d’être sur le même pied que les Métis anglais, leurs compatriotes, qui comptaient pour la plupart parmi leurs proches parents des Écossais ou des Anglais.
  Biography – TOLER, JOSE...  
(Halifax), 24 Nov. 1837. Harper,
(Halifax), 24 nov. 1837.— Harper,
  Biography – HARPER, HEN...  
By publishing an objective record of statistics and facts, they would promote understanding, foster conciliation, and provide a reliable basis for social analysis and the formation of labour policy. Because King was busy with labour conciliation and raising his own profile, it was left to Harper to collect data and oversee the editing and publication of the monthly journal.
Presbytérien austère, Harper s’employait à son éducation personnelle, tirait sa nourriture morale de la contemplation des beautés de la nature et de la fréquentation d’auteurs comme Carlyle, Tennyson et Matthew Arnold, et croyait en l’harmonie et en la justice sociales. King partageait cet idéalisme un peu apprêté. Les deux jeunes gens, qui passèrent l’été de 1901 dans les collines de la Gatineau, habitaient le même appartement à Ottawa et parlaient interminablement de leurs sentiments et de leurs ambitions.
  Biography – CRAIG, JOHN...  
, 20 Nov. 1844. Harper,
, 24 mai 1833, 5 mars 1841.—
  Biography – HARPER, JER...  
Little is known of Jerome Harper’s youth. He is reported to have been involved in a rebellion in Chile, and in 1852, with his younger brother Thaddeus*, he was farming in Santa Clara County, California.
On sait peu de chose de la jeunesse de Jerome Harper. Il aurait été impliqué dans une révolte au Chili et, en 1852, il cultivait la terre dans le comté de Santa Clara, en Californie, avec son jeune frère Thaddeus*. Les deux frères vinrent probablement en Colombie-Britannique en 1858, à l’époque de la grande ruée vers l’or dans la région du fleuve Fraser. En 1859, ils dirigeaient une scierie à Yale. Jerome s’intéressa activement aux mines du Cariboo en y achetant et en y vendant des concessions minières, mais, à l’automne de 1862, il élevait déjà des bestiaux dans un ranch situé à l’est de Kamloops. En 1862 ou 1863, Jerome commença à acheter du bétail en Oregon et dans le territoire de Washington pour l’importer en Colombie-Britannique. Harper hivernait le bétail au sud d’Osoyoos (C.-B.) puis le conduisait à Kamloops par troupeaux d’environ 450 bêtes auxquelles il faisait traverser la vallée d’Okanagan en suivant l’ancienne piste des trafiquants de fourrures ; de Kamloops, il menait le bétail dans les montagnes du Cariboo où il le retenait avant de l’abattre. Grâce à ces opérations menées à bien, les chercheurs d’or pouvaient se procurer de la viande de bœuf à peu de frais et les frères Harper accroissaient leur fortune. Jerome, qui exerçait ce métier avec une grande énergie, eut très vite un rôle de premier plan dans l’importation du bétail et diversifia ses activités en fondant une scierie à Quesnellemouth, vers la fin de 1863, et un moulin à farine au nord de Clinton, cinq ans plus tard.
  Biography – SPROULE, RO...  
, ed. J. [R.] Kennedy (Ottawa, [1981]). J. R. Harper,
C. W. Jefferys, compil. (Toronto, 1948), 74–76, 135.— Mary Allodi,
  Biography – LE BER, PIE...  
(Ville-Marie [Montréal], 1860), 160, 164, 218f., 329f. Harper,
(Ville-Marie [Montréal], 1860),160,164, 218s., 329s.— J. R. Harper,
  Biography – RAPHAEL, WI...  
) (exhibition catalogue, Walter Klinkhoff Gallery, Montreal, 1996); “William Raphael, r.c.a. (1833–1914)” (ma thesis, Concordia Univ., Montreal, 1978). J. R. Harper,
(catalogue d’exposition, Galerie Walter Klinkhoff, Montréal, 1996) ; « William Raphael, r.c.a. (1833–1914) » (mémoire de m.a., Concordia Univ., Montréal, 1978).— J. R. Harper,
  Biography – CAREY, ELIZ...  
Antoinette Nordbeck died in 1898 and Caroline Nordbeck in 1902. After Robert Murray died in December 1910, Elizabeth and her eldest son, Robert Harper, sold the Studley estate to Dalhousie University, in accordance with her husband’s wishes.
Au début de 1875, par suite des pressions de la Halifax City Mission et d’influents ministres du culte, Elizabeth Murray et d’autres femmes avaient fondé le Halifax Infants’ Home. Deux autres foyers avaient ouvert leurs portes la même année, l’un pour les prostituées, l’autre pour les alcooliques. Constitué juridiquement en 1876, l’Infants’ Home avait pour mission « d’accueillir de jeunes enfants sans ressources et d’en prendre soin tendrement », puis d’organiser leur adoption. Par la suite, semble-t-il, les mères célibataires allaitantes y furent hébergées aussi longtemps que nécessaire avec leur bébé. Thomas Ritchie Almon et Maria Louisa Angwin* figurèrent parmi les médecins traitants, qui avaient « l’autorité exclusive sur les soins médicaux donnés au foyer ». Le foyer était financé au moyen de souscriptions annuelles, de dons et de quêtes faites dans les églises de toutes les Maritimes le jour de l’Action de grâces. Un comité d’au moins 12 femmes l’administraient avec l’aide d’un comité consultatif de 3 hommes ou plus. Elizabeth Murray appartint au comité dès le début ; en outre, c’était une vaillante collectrice de fonds, et elle fut un certain temps secrétaire d’administration.
  Biography – HARPER, JOH...  
Harper reorganized the High School of Quebec according to age-grading principles. In 1886 he encouraged the Protestant Board of School Commissioners of the City of Quebec to sign a ten-year agreement to manage the school and he resigned as rector to become secretary-treasurer of the board.
Fils d’un libraire, imprimeur et éditeur de journaux de Johnstone, John Murdoch Harper fit ses études dans des écoles paroissiales et reçut sa formation professionnelle au Free Church Training College de Glasgow. Il enseigna un moment en Écosse, puis, en 1867, après la mort de sa mère et le remariage de son père, il immigra au Nouveau-Brunswick pour occuper le poste de directeur de la Harkins Academy à Newcastle. La direction de la Provincial Model School de Truro, en Nouvelle-Écosse, fut son affectation suivante. Il enseigna ensuite à Saint-Jean, où il fut nommé en septembre 1873 directeur de la Girls’ High School. En 1876, cette école fut transférée à la nouvelle Victoria School ; Harper dirigea les deux établissements jusqu’au grand incendie de juin 1877, qui détruisit l’édifice. Pendant qu’on construisait une nouvelle école, il s’installa à Charlottetown, où il fut surintendant des écoles publiques de la ville et principal de l’école normale. Il choisit de demeurer à l’île-du-Prince-Édouard et démissionna officiellement de son poste à Saint-Jean en août 1878. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, il joua un rôle primordial dans la mise en œuvre de programmes adaptés à l’âge des élèves et dans la création d’un lieu de travail propice aux enseignants brevetés. Son premier ouvrage historique,
  Biography – HARPER, HEN...  
By publishing an objective record of statistics and facts, they would promote understanding, foster conciliation, and provide a reliable basis for social analysis and the formation of labour policy. Because King was busy with labour conciliation and raising his own profile, it was left to Harper to collect data and oversee the editing and publication of the monthly journal.
Presbytérien austère, Harper s’employait à son éducation personnelle, tirait sa nourriture morale de la contemplation des beautés de la nature et de la fréquentation d’auteurs comme Carlyle, Tennyson et Matthew Arnold, et croyait en l’harmonie et en la justice sociales. King partageait cet idéalisme un peu apprêté. Les deux jeunes gens, qui passèrent l’été de 1901 dans les collines de la Gatineau, habitaient le même appartement à Ottawa et parlaient interminablement de leurs sentiments et de leurs ambitions.
  Biography – HARPER, HEN...  
Best remembered as King’s friend, Harper might have come to resent King’s demands on his time or even to question King’s disinterested idealism, but he died young. He drowned in a heroic but unsuccessful attempt to save a young woman, Elizabeth (Bessie) Blair (daughter of Andrew George Blair, the minister of railways and canals), who had gone through the ice while skating on the Ottawa River.
King était la figure dominante. Il associait Harper aux projets de développement qu’il caressait pour le ministère du Travail. Quand il quittait Ottawa pour aller faire de la médiation dans des conflits de travail, Harper devenait sous-ministre suppléant. Les deux hommes ne doutaient pas que l’harmonie dans les relations industrielles faisait partie de l’ordre social chrétien. Certains capitalistes pouvaient être incorrigibles, et même certains travailleurs, mais, comme le disait Harper, « la plupart des conflits de travail prov[enaient] de malentendus ». Pour lui comme pour King, la
  Biography – HOOPER, JOH...  
, 22 Jan., 9 April 1831. Harper,
of the province of New Brunswick
  Biography – HAMEL, THÉO...  
(Montréal, 1932), 287–89. J. R. Harper,
(Toronto, 1943), 26–38.— P.[-J. -B.] Duchaussois,
  Biography – KANE, PAUL ...  
, 611–17. J. R. Harper,
(Oregon City), 11 févr. 1847.— Morgan,
  Biography – OSGOOD, THA...  
COLTMAN, WILLIAM BACHELER (Vol. 6)HARPER, JEROME (Vol. 10)MURE, JOHN (Vol. 6)NEILSON, JOHN (Vol. 7)SPARK, ALEXANDER (Vol. 5)STEWART, CHARLES JAMES (Vol. 7)
LANCASTER, JOSEPH (Vol. 7)LARTIGUE, JEAN-JACQUES (Vol. 7)LUSHER, ROBERT LANGHAM (Vol. 7)PLESSIS, JOSEPH-OCTAVE (Vol. 6)RAMSAY, GEORGE, 9e comte de DALHOUSIE (Vol. 7)WILKES, HENRY (Vol. 11)BELLET, FRANÇOIS (Vol. 6)COLTMAN, WILLIAM BACHELER (Vol. 6)FR:More
  General Bibliography – ...  
1316: John Russell Harper collection
B.198/b : Severn House correspondence books.
  Biography – BERTHON, GE...  
(Toronto, 1943; repr. 1967). J. R. Harper,
Early painters and engravers.— Standard dict. of Canadian biog.
  Biography – HARPER, JOH...  
Harper reorganized the High School of Quebec according to age-grading principles. In 1886 he encouraged the Protestant Board of School Commissioners of the City of Quebec to sign a ten-year agreement to manage the school and he resigned as rector to become secretary-treasurer of the board.
Fils d’un libraire, imprimeur et éditeur de journaux de Johnstone, John Murdoch Harper fit ses études dans des écoles paroissiales et reçut sa formation professionnelle au Free Church Training College de Glasgow. Il enseigna un moment en Écosse, puis, en 1867, après la mort de sa mère et le remariage de son père, il immigra au Nouveau-Brunswick pour occuper le poste de directeur de la Harkins Academy à Newcastle. La direction de la Provincial Model School de Truro, en Nouvelle-Écosse, fut son affectation suivante. Il enseigna ensuite à Saint-Jean, où il fut nommé en septembre 1873 directeur de la Girls’ High School. En 1876, cette école fut transférée à la nouvelle Victoria School ; Harper dirigea les deux établissements jusqu’au grand incendie de juin 1877, qui détruisit l’édifice. Pendant qu’on construisait une nouvelle école, il s’installa à Charlottetown, où il fut surintendant des écoles publiques de la ville et principal de l’école normale. Il choisit de demeurer à l’île-du-Prince-Édouard et démissionna officiellement de son poste à Saint-Jean en août 1878. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, il joua un rôle primordial dans la mise en œuvre de programmes adaptés à l’âge des élèves et dans la création d’un lieu de travail propice aux enseignants brevetés. Son premier ouvrage historique,
Arrow 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Arrow