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Because intellectual property rights (IPR) in their various forms (patents, breeders’ rights, copyrights, etc.) only recognize and remunerate the inventor (or group of inventors) of a new product, new knowledge, or a new idea, they are difficult to apply within traditional systems of knowledge of biodiversity-related practices and innovations, since these practices and innovations cannot be attributed to an individual inventor.
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La première version de l’article XX (« Relation entre la protection des savoirs traditionnels et la propriété intellectuelle et relation entre l’accès aux ressources génétiques et la propriété intellectuelle ») exige des pays membres qu’ils protègent les savoirs traditionnels liés à la diversité biologique au moyen d’un système sui generis ou de leur propre législation. Si les pays utilisent leur propre législation, ils doivent voir à ce que celle-ci régisse l’accès aux ressources biologiques et aux savoirs traditionnels d’une manière qui garantira une rémunération juste et équitable pour leur utilisation par des tierces parties. Cette version reconnaît le principe de la souveraineté des États sur leurs ressources biologiques et leurs savoirs traditionnels (établi par la CDB). En conséquence, les États ont la responsabilité de réglementer l’accès à ces ressources par l’adoption de lois nationales. Toutefois, l’article ne précise pas le type de protection de la propriété intellectuelle qui devrait être accordée aux savoirs traditionnels. Les différents types de droits de propriété intellectuelle (brevets, droits d’obtention, droits d’auteur, etc.) accordent une reconnaissance et une rémunération uniquement à l’inventeur ou au groupe d’inventeurs d’un produit, d’une connaissance ou d’une idée, mais il est difficile de faire respecter ces droits au sein de systèmes traditionnels de pratiques et d’innovations fondées sur les savoirs en matière de biodiversité puisque ces pratiques et innovations ne peuvent être attribuées à une seule personne. Elles sont plutôt le fruit d’un travail collectif transmis de génération en génération.
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En una primera versión del Art. XX (“Relación entre la Protección del Conocimiento Tradicional y la Propiedad Intelectual así como la relación entre el acceso a los recursos genéticos y la propiedad intelectual”), se exige a los países miembros otorgar protección al conocimiento tradicional asociado a la biodiversidad mediante un sistema Sui Generis o sea una legislación propia. Esta última deberá regular el acceso a los recursos biológicos y conocimientos tradicionales, garantizando una compensación justa y equitativa por el uso por terceras partes. Aquí se reconoce el principio de soberanía de los Estados sobre sus recursos biológicos y conocimientos tradicionales (establecido por el CDB), de ahí que les compete a los Estados desarrollar una legislación nacional para regular el acceso a los mismos. Sin embargo, no se especifica que tipo de protección intelectual se debe otorgar al conocimiento tradicional. Ahora bien, los derechos de propiedad intelectual (DPI) en sus distintas formas actuales (patentes, derechos de obtentor, derechos de autor, etc.), al reconocer y recompensar únicamente a una persona (o grupo de persona) que invente nuevos productos, nuevos conocimientos o nuevas ideas, difícilmente se pueden aplicar a los sistemas tradicionales de conocimientos sobre prácticas y innovaciones relacionadas con la biodiversidad, dado que estos últimos no pueden atribuirse a un único inventor. Son el producto de una comunidad y se transmiten de generación en generación.
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