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Je tiens également à souligner que cette approche peut être très rentable. De par l'expérience que j'acquise sur le terrain, je sais que pour une contribution annuelle de deux millions et demi de dollars par pays, le Canada peut s'imposer non simplement comme une forte présence, mais comme le plus important joueur dans un pays. C'est ce que mon expérience dans des sociétés d'après-guerre m'a appris, plus précisément au Kosovo. Donc, en investissant chaque année deux millions et demi de dollars par pays, le Canada peut avoir un fort bon programme, probablement le meilleur de bien des pays. Pour 25 millions de dollars par année, par exemple, le Canada pourrait s'imposer comme un intervenant sérieux dans dix pays. Si nous les choisissons bien, en fonction de notre histoire, de notre diversité, je crois que nous pouvons y avoir beaucoup d'impact.
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