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Bien que l'intervention volontaire pour réduire la pollution de l'air ait été le choix préféré des participants aux groupes de discussion, cela n'a pas été perçu comme le moyen le plus efficace de promouvoir le changement et d'obtenir des résultats. Malgré le ton quelque peu coercitif, les participants ont manifesté une forte préférence pour une approche réglementaire à ce problème, en particulier si cette approche s'applique également aux individus, aux industries et aux gouvernements. Nombre de participants ont suggéré qu'une forme de conjugaison des approches d'interventions volontaire et réglementaire serait préférable. Les participants aux trois endroits avaient le sentiment que plusieurs bonnes réglementations étaient déjà en place, mais que les mesures d'application de ces règlements souffraient de laxisme ou que l'industrie utilisait des échappatoires lui permettant de s'y soustraire, rendant ainsi la réglementation inefficace.
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