mab – Traduction – Dictionnaire Keybot

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As part of the UN’s Man and the Biosphere (MAB) program, the federal government was looked to as a possible funder and co-ordinator, and was approached with several funding models that included core funding for a national office or network, endowment funding, or creating an application-based fund for biosphere reserves nationally.
Dans sa thèse publiée récemment, Pollack (2009 : 102) rend compte du peu de documentation disponible au sujet des réserves de la biosphère au Canada. Toutefois, elle mentionne que dans ce secteur, « des approches multilatérales des plus collaboratives ont été adoptées en matière de gouvernance ». Par exemple, dans le cadre du programme de l’UNESCO, L’homme et la biosphère, le gouvernement fédéral avait été envisagé à titre de bailleur de fonds et coordonnateur potentiel. Plusieurs modèles de financement avaient été présentés, notamment un financement de base accordé à un bureau ou un réseau national, un financement par dotation, ou la création d’un système national de financement fondé sur la demande pour les réserves de la biosphère. Un comité canadien responsable du programme L’homme et la biosphère avait été formé en 1974, mais il a été dissous en 1992. Le rôle joué par le gouvernement fédéral, plutôt nébuleux, aurait varié au fil du temps, en raison des limites juridiques, administratives et disciplinaires dont la portée était telle qu’« au Canada, la responsabilité du [programme L’homme et la biosphère] semblait incomber à tous et à personne » (Francis, 2004, citation tirée de Pollack, 2009 : 95). La direction du programme aurait été assumée par des fonctionnaires ou, dans le cas d’un parc national ou d’une réserve nationale de faune, par des employés de Parcs Canada. En 1998, lorsque le groupe de travail est devenu une organisation sans but lucratif, Parcs Canada y a affecté, à mi-temps, un secrétaire de direction, en plus d’y verser des fonds (Francis, 2004, citation tirée de Pollack, 2009). La réserve de biosphère Clayoquot Sound a notamment réussi à obtenir du fédéral un financement par dotation de 12 millions de dollars, auquel s’ajoute le versement de deux millions de dollars sur deux ans, annoncé récemment par le fédéral, pour soutenir les travaux de coordination et l’établissement d’un bureau national comptant deux employés. Cette étude de cas porte principalement sur le rôle du gouvernement fédéral en tant que bailleur de fonds et coordonnateur, et souligne les complications que peut entraîner le manque de constance dans l’exercice de ces rôles.
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As part of the UN’s Man and the Biosphere (MAB) program, the federal government was looked to as a possible funder and co-ordinator, and was approached with several funding models that included core funding for a national office or network, endowment funding, or creating an application-based fund for biosphere reserves nationally.
Dans sa thèse publiée récemment, Pollack (2009 : 102) rend compte du peu de documentation disponible au sujet des réserves de la biosphère au Canada. Toutefois, elle mentionne que dans ce secteur, « des approches multilatérales des plus collaboratives ont été adoptées en matière de gouvernance ». Par exemple, dans le cadre du programme de l’UNESCO, L’homme et la biosphère, le gouvernement fédéral avait été envisagé à titre de bailleur de fonds et coordonnateur potentiel. Plusieurs modèles de financement avaient été présentés, notamment un financement de base accordé à un bureau ou un réseau national, un financement par dotation, ou la création d’un système national de financement fondé sur la demande pour les réserves de la biosphère. Un comité canadien responsable du programme L’homme et la biosphère avait été formé en 1974, mais il a été dissous en 1992. Le rôle joué par le gouvernement fédéral, plutôt nébuleux, aurait varié au fil du temps, en raison des limites juridiques, administratives et disciplinaires dont la portée était telle qu’« au Canada, la responsabilité du [programme L’homme et la biosphère] semblait incomber à tous et à personne » (Francis, 2004, citation tirée de Pollack, 2009 : 95). La direction du programme aurait été assumée par des fonctionnaires ou, dans le cas d’un parc national ou d’une réserve nationale de faune, par des employés de Parcs Canada. En 1998, lorsque le groupe de travail est devenu une organisation sans but lucratif, Parcs Canada y a affecté, à mi-temps, un secrétaire de direction, en plus d’y verser des fonds (Francis, 2004, citation tirée de Pollack, 2009). La réserve de biosphère Clayoquot Sound a notamment réussi à obtenir du fédéral un financement par dotation de 12 millions de dollars, auquel s’ajoute le versement de deux millions de dollars sur deux ans, annoncé récemment par le fédéral, pour soutenir les travaux de coordination et l’établissement d’un bureau national comptant deux employés. Cette étude de cas porte principalement sur le rôle du gouvernement fédéral en tant que bailleur de fonds et coordonnateur, et souligne les complications que peut entraîner le manque de constance dans l’exercice de ces rôles.
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As part of the UN’s Man and the Biosphere (MAB) program, the federal government was looked to as a possible funder and co-ordinator, and was approached with several funding models that included core funding for a national office or network, endowment funding, or creating an application-based fund for biosphere reserves nationally.
Dans sa thèse publiée récemment, Pollack (2009 : 102) rend compte du peu de documentation disponible au sujet des réserves de la biosphère au Canada. Toutefois, elle mentionne que dans ce secteur, « des approches multilatérales des plus collaboratives ont été adoptées en matière de gouvernance ». Par exemple, dans le cadre du programme de l’UNESCO, L’homme et la biosphère, le gouvernement fédéral avait été envisagé à titre de bailleur de fonds et coordonnateur potentiel. Plusieurs modèles de financement avaient été présentés, notamment un financement de base accordé à un bureau ou un réseau national, un financement par dotation, ou la création d’un système national de financement fondé sur la demande pour les réserves de la biosphère. Un comité canadien responsable du programme L’homme et la biosphère avait été formé en 1974, mais il a été dissous en 1992. Le rôle joué par le gouvernement fédéral, plutôt nébuleux, aurait varié au fil du temps, en raison des limites juridiques, administratives et disciplinaires dont la portée était telle qu’« au Canada, la responsabilité du [programme L’homme et la biosphère] semblait incomber à tous et à personne » (Francis, 2004, citation tirée de Pollack, 2009 : 95). La direction du programme aurait été assumée par des fonctionnaires ou, dans le cas d’un parc national ou d’une réserve nationale de faune, par des employés de Parcs Canada. En 1998, lorsque le groupe de travail est devenu une organisation sans but lucratif, Parcs Canada y a affecté, à mi-temps, un secrétaire de direction, en plus d’y verser des fonds (Francis, 2004, citation tirée de Pollack, 2009). La réserve de biosphère Clayoquot Sound a notamment réussi à obtenir du fédéral un financement par dotation de 12 millions de dollars, auquel s’ajoute le versement de deux millions de dollars sur deux ans, annoncé récemment par le fédéral, pour soutenir les travaux de coordination et l’établissement d’un bureau national comptant deux employés. Cette étude de cas porte principalement sur le rôle du gouvernement fédéral en tant que bailleur de fonds et coordonnateur, et souligne les complications que peut entraîner le manque de constance dans l’exercice de ces rôles.