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Keybot 39 Results  www.biographi.ca
  Biography – LEHMAN, BER...  
(Cincinnati, Ohio), 10 Aug. 1916 (repr. in Max Bookman, “Excerpts . . . ,”
, Ottawa, 1878–1930.— J. J. Price, « Jews of Canada : the first Jewish settler of Ottawa »,
  Biography – ROULEAU, ÉD...  
, ed. Max Foran and S. S. Jameson (Calgary, 1987), 333–41. Univ. Laval,
(2 vol., [Calgary], 1912), 1 : 507s.— Rolande Parel, « Calgary’s family tree : the French roots », dans
  Biography – GRAVES, HOW...  
, ed. Max Foran and S. S. Jameson ([Calgary], 1987), 303–19.
Max Foran et S. S. Jameson, édit. ([Calgary], 1987), 303–319.—
  Biography – TREGILLUS, ...  
Max Foran, “TREGILLUS, WILLIAM JOHN,” in
Max Foran, « TREGILLUS, WILLIAM JOHN », dans
  Biography – COSTANZO, F...  
, ed. Max Foran and S. S. Jameson (Calgary, 1987). R. E. Spence,
, Max Foran et S. S. Jameson, édit. (Calgary, 1987).— R. E. Spence,
  Biography – ROULEAU, CH...  
, 1876. Max Foran with Edward Cavell,
23 juill. 1989 : 12–15.— Bob Beal et R. [C.] Macleod,
  Biography – ROULEAU, ÉD...  
Max Foran, “ROULEAU, ÉDOUARD-HECTOR,” in
LAURIER, sir WILFRID (Vol. 14)ROULEAU, CHARLES-BORROMÉE (Vol. 13)
  Biography – FRYE, HERMA...  
, ed. Max Black],
, Max Black, édit.],
  Biography – DE SOLA, CL...  
Central Zionist Arch. (Jerusalem), A 119/200–2, C. I. de Sola to Max Nordau, 28 Feb. 1910. NA, MG 28, V 81, 5: 19; MG 29, C95.
AN, MG 28, V 81, 5 : 19 ; MG 29, C95.— Central Zionist Arch. (Jérusalem), A119/200-202, lettre de C. I. De Sola à Max Nordau, 28 févr. 1910.—
  Biography – MARCHAND, C...  
Marchard gave his first important performance in May of the following year, when he was accompanied by harmonica players and fiddlers in traditional costume. The event took place at the Monument National in Montreal, the city to which he had recently moved; he is said to have studied singing there, with Jean Riddez and Max Pantaleieff.
L'année suivante, en mai, Marchand donne son premier spectacle d'importance ; harmonicistes et violoneux en costume traditionnel l'accompagnent. L'événement se déroule au Monument national, à Montréal, ville où il habite depuis peu et où il aurait étudié le chant avec les professeurs Jean Riddez et Max Pantaleieff. Alexandre D'Aragon, qui publiera un article sur l'artiste dans
  Biography – LEHMAN, BER...  
LAC, RG 31, C1, 1901, Ottawa, Central Ward, div.2: 24–25. Ottawa Jewish Arch. , Max Bookman papers; Congregation Adath Jeshurun papers, Ladies Auxiliary Soc. of the King Edward Avenue Synagogue and Minutes ser.
AO, RG 22-354, nº 10955 ; RG 80-8-0-864, nº 10838.— BAC, RG 31, C1, 1901, Ottawa, Central Ward, div. 2 : 24–25.— Ottawa Jewish Arch., Max Bookman papers ; Congregation Adath Jeshurun papers, Ladies Auxiliary Soc. of the King Edward Avenue Synagogue and Minutes ser. ; Dribbin–Berman corr., 1992.— Bibliothèque publique d’Ottawa, Special Coll., Biog. scrapbook 144.—
  Biography – EDWARDS, RO...  
Alberta newspapers, 1880–1982: an historical directory, comp. G. M. Strathern (Edmonton, 1988). Max Foran, “Bob Edwards & social reform,” Alberta Hist. (Calgary), 21 (1973), no.3: 13–17. Bertha Hart Segal, “‘Bob’ Edwards,” Cattlemen (Winnipeg), June 1950: 18, 35, 42.
G. C. Porter, « Legendary Midnapore character made Calgary laugh ; Lord Strathcona was not amused », Calgary Herald, 4 févr. 1939.— Andrew Snaddon, « Bob Edwards' story a bit of a mystery », Calgary Herald, 4 déc. 1954.— Alberta newspapers, 1880–1982 : an historical directory, G. M. Strathern, compil. (Edmonton, 1988).— Max Foran, « Bob Edwards & social reform », Alberta Hist. (Calgary), 21 (1973), nº 3 : 13–17.— Bertha Hart Segal, « “Bob” Edwards », Cattlemen (Winnipeg), juin 1950 : 18, 35, 42.— T. U. Primrose, « Bob Edwards of High River », Cattlemen, janv. 1954 : 6, 33
  Biography – BENNETT, RI...  
After graduating in 1893, Bennett was back in Chatham in the law office now called Tweedie and Bennett. About 1895 there was a new office boy, William Maxwell Aitken* (the future Lord Beaverbook), at the age of 15 getting an early start on assorted mischief.
Après l'obtention de son diplôme en 1893, Bennett retourna à Chatham pour travailler dans le cabinet d'avocats qui s'appelait maintenant Tweedie and Bennett. Vers 1895, un nouveau garçon de bureau, William Maxwell Aitken* (le futur lord Beaverbook), âgé de 15 ans, commença très tôt à créer des ennuis. En 1896, il persuada Bennett de se présenter, malgré ses hésitations, comme conseiller dans la nouvelle municipalité de Chatham ; avec l'aide d'Aitken qui s'occupait de la publicité sur le vélo de Bennett, celui-ci fut élu de justesse par une majorité de 19 voix sur un total de 691. Il reçut l'invitation de Lougheed la même année, mais il ne l'accepta pas tout de suite. Calgary était une ville plus petite que Chatham et une localité récente et non développée ; l'Alberta n'était pas encore une province. L'appel de l'Ouest avec toutes ses possibilités pesait certainement dans la balance, mais il y avait aussi des risques. Bennett gardait à l'esprit (comme il le fit toute sa vie) ces mots de Robert Browning : « Ce qu'un homme [cherche] à atteindre doit dépasser ce qu'il saisit, / ou alors à quoi sert le paradis ? »
  Biography – MACKENZIE, ...  
Her hopes began to fade when John failed to achieve success and legal prominence, but the couple was able to send their boys, William Lyon Mackenzie* and Dougall Macdougall (Max), to university and to see their daughter Janet Lindsey (Jennie) successfully married.
Isabel Grace avait sept ans lorsque, en 1850, les Mackenzie retournèrent à Toronto, où elle fréquenta l’éculé des Sisters of Loretto. Après la mort de son père en 1861, elle-même, sa mère et ses sœurs tinrent une école pendant un certain temps. Son mariage en 1872 avec un avocat plein de promesses et de belle prestance, John King, et leur installation dans une maison de Berlin (Kitchener, Ontario) parurent d’abord combler son besoin de mener grand train. Vive, jolie, portée sur les beaux vêtements et les bijoux, elle était bonne hôtesse, œuvrait à l’église presbytérienne St Andrew, participait aux cercles locaux de musique et encourageait John à développer les capacités intellectuelles de leurs enfants. Ses espoirs se mirent à fondre lorsqu’elle vit que John ne se distinguait pas dans sa carrière d’avocat et ne connaissait pas la réussite, mais tous deux purent envoyer leurs fils, William Lyon Mackenzie* et Dougall Macdougall (Max), à l’université et marier leur fille Janet Lindsey (Jennie) à un bon parti. Quand même, la vie n’était pas facile. Leur fille aînée, Isabel Christina Grace (Bella), ne fut jamais en bonne santé ; elle mourrait en 1915. À compter de 1886, les King habitèrent dans une maison louée, Woodside, près de Berlin. En 1893, ils s’installèrent à Toronto, où John avait accepté un poste de maître de conférences à l’Osgoode Hall. Cependant, il ne faisait pas de percée dans sa pratique privée, si bien que, parvenue à l’âge mûr, Isabel Grace connaissait les difficultés financières, les fréquents déplacements et les déceptions qui avaient marqué son enfance. Elle reporta ses craintes et ses espoirs sur son fils aîné, William Lyon Mackenzie.
  Biography – MEIGHEN, AR...  
Meighen could not forget his own two boys in uniform: Ted was in the Royal Canadian Artillery while Max served in the Royal Canadian Ordnance Corps. "I never knew what human longing was until separated by war from the sons I love so much," he had written in March 1941.
Meighen sentait une pression croissante pour qu'il prenne la barre du Parti conservateur. En 1941, il approcha John Bracken*, premier ministre du Manitoba libéral-progressiste, pour tenter de le persuader d'accepter ce poste à Ottawa. Bien que flatté, Bracken ne s'avança pas et la pression sur Meighen s'exerça davantage. Ce dernier méprisait King et désespérait de voir les libéraux opter pour un effort de guerre maximal, mais il résista encore à l'appel, jugeant qu'il était trop âgé, à 68 ans, pour relever ce défi. Pour sa part, King ne voulait certainement pas de nouveau croiser le fer avec Meighen aux Communes. Les qualités de débatteur de Meighen et sa connaissance approfondie des détails administratifs et des procédures parlementaires étaient exceptionnelles. King, à juste titre, appréhendait le retour de son vieil ennemi, comme en fait foi cet extrait de son journal, daté du 6 novembre 1941 : « Je me fais trop vieux pour me battre en public contre un homme comme Meighen. Il est sarcastique, mordant et du type d'hommes politiques les plus mesquins. » À l'occasion d'une réunion du parti qui eut lieu à Ottawa ce mois-là, Meighen lança une autre attaque virulente à l'endroit du gouvernement libéral au sujet du timide effort de guerre. Par la suite, les délégués décidèrent à 37 contre 13 d'offrir la direction du parti à Meighen. Prétextant l'absence d'unanimité et faisant observer que la réunion avait été convoquée à d'autres fins, il refusa cet honneur. Les délégués insistèrent et, par une autre motion, ils réclamèrent à l'unanimité qu'il accepte. À contrecœur, Meighen céda et entra en fonction le 12 novembre. Il posa comme condition que le Parti conservateur s'engage à appuyer « le service sélectif obligatoire dans tous les domaines de la guerre ». Ainsi, le parti ne serait plus à la remorque de l'opinion publique, comme ce fut le cas sous la direction de Manion et de Hanson. Avec le retour de Meighen, les conservateurs tenteraient plutôt de l'orienter.
  Biography – McCARTHY, D...  
That assumption in turn was grounded in both the “practical” experience of Lord Durham [Lambton*] in the past and the “science of language” espoused by such modern nationalist thinkers of his own day as Oxford professors Edward Augustus Freeman and Max Müller, all of whom McCarthy quoted.
En juin, Mowat remporta une victoire retentissante et, quoique plusieurs candidats conservateurs et libéraux victorieux aient été acquis aux principes des « droits égaux », un seul candidat de l’Equal Rights Association fut élu (George Campbell dans Durham East). Heureux de ce piètre résultat, Macdonald s’attela à la tâche de regagner avant les élections fédérales de 1891 l’allégeance des catholiques désenchantés et des protestants militants. McCarthy, sans abandonner la cause des « droits égaux », retourna alors dans le giron du parti et remporta une autre victoire sous la bannière conservatrice. L’Equal Rights Association n’exerça aucune influence sur le résultat des élections, mais elle avait déjà fait suffisamment de mal en favorisant les controverses scolaires et linguistiques. Le 10 juillet 1890, Macdonald avait d’ailleurs fait part de son inquiétude à James Robert Gowan* de Barrie : « Le démon de l’animosité religieuse, qui, je l’espérais, avait été enterré dans la tombe de George Brown [*], est ressuscité [...] McCarthy a semé les dents du Dragon – Je crains qu’elles ne sortent de terre sous forme d’hommes armés. »