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Une série d'essais expérimentaux aléatoires en amplitude et à large bande ont été effectués en vue de déterminer la capacité des modèles à prédire le mouvement aléatoire des bulles. Comme pour les essais sinusoïdaux, le mouvement efficace des bulles dans le cadre des essais aléatoires a fait l'objet d'une surprédiction par les modèles à cause de l'effet de paroi. Les tracés de densité spectrale de puissance pour le mouvement prédit et mesuré des bulles n'étaient pas conformes au taux de certitude à 95 % lorsqu'ils étaient comparés au moyen d'une forme modifiée d'essais DCP en ce qui a trait à l'équivalence indiquée dans Bendat et Piersol. Cependant, le modèle a donné la bonne tendance pour le spectre de puissance. Une paire d'essais verrouillés/isolés a été effectuée pour déterminer l'efficacité du MIM à isoler les expériences contre la gigue gravitationnelle. Les résultats montrent que le MIM-2 (version utilisée à bord de la navette spatiale) permettait de réduire le mouvement des bulles de façon significative à des fréquences supérieures à 0,3 Hz, cette limite inférieure étant causée par un problème de blindage magnétique sur le MIM-2.
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