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Keybot 3 Results  www.africaneconomicoutlook.org
  Angola - African Econom...  
The implementation of the 2009-12 Stand-By Arrangement (SBA) programme of the International Monetary Fund (IMF) helped the country to regain macroeconomic stability, achieve an improved fiscal position, more comfortable level of international reserves, a stable exchange rate, and lower inflation.
Avec la mise en œuvre du programme de réformes contenu dans l’Accord de confirmation 2009-12 du Fonds monétaire international (FMI), le pays a pu renouer avec la stabilité macroéconomique, améliorer sa situation budgétaire, étoffer ses réserves de change, stabiliser le cours de sa devise et faire reculer l’inflation. De plus, l’Angola a été en mesure d’apurer d’importants arriérés sur sa dette intérieure et a progressé sur la voie de la transparence et de la responsabilité budgétaires. Cependant, des obstacles considérables freinent toujours le développement du pays, qui doit atténuer sa dépendance vis-à-vis du pétrole, diversifier son économie, reconstruire son infrastructure économique et sociale, renforcer les capacités de ses institutions et ses systèmes de gouvernance et de gestion des finances publiques, et relever le niveau de vie et de développement humain de sa population. Ces facteurs entravent la diversification de l’économie, ainsi que le développement des petites et moyennes entreprises (PME) et la création d’emplois. Le chômage reste élevé, autour de 25.0 %, et l’incidence de la pauvreté culmine toujours à 36.6 % de la population.
Após registar um crescimento lento ao longo de vários anos, em resultado dos persistentes efeitos da crise financeira global, a economia angolana recuperou fortemente. O produto interno bruto (PIB) real cresceu a um ritmo estimado de 7.9% em 2012 (contra 3.9% em 2011) estimulado pelo forte desempenho registado pelos setores dos transportes, da energia e da construção e obras públicas. As perspectivas para 2013 e 2014 são muito positivas, com a previsão de um crescimento económico de 8.2% e 7.8%, respectivamente. Este crescimento será impulsionado por uma combinação da expansão contínua do setor petrolífero e do gás e um programa de gastos públicos destinado a incentivar a diversificação económica.
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Expenditures in social sectors increased from 32.9% of total expenditures in 2011 to 33.1% in 2012 and are projected to reach 33.5% in 2013 as the government continues with its programme to improve social welfare and alleviate poverty. This is in line with the National Development Strategy, 2013-17 and the IMF SBA programme.
De 32.9 % du total des dépenses en 2011, les dépenses dans le secteur social sont ressorties à 33.1 % en 2012, et devraient s’établir à 33.5 % en 2013, puisque les autorités reconduisent leur programme d’amélioration de la protection sociale et de lutte contre la pauvreté. Ces dépenses sont conformes à la stratégie de développement national 2013-17 et au programme de l’Accord de confirmation avec le FMI. Le budget de l’administration publique sera lui aussi revu à la hausse, de 20.5 % du PIB en 2012 à 23.6 % en 2013, car les pouvoirs publics entendent améliorer la qualité des services, en particulier dans l’éducation et la santé. Pour la première fois, l’élaboration du budget 2013 a reposé sur un scénario macrobudgétaire à moyen terme (2013-17) et s’est fondée sur un prix du pétrole de référence de 96 USD le baril, ce qui est nettement supérieur aux 77 USD retenus pour l’élaboration du budget 2012. Cette hypothèse est plus proche des chiffres calculés par les analystes internationaux ; telle l’Economic Intelligence Unit (EIU), qui table actuellement sur un cours de 103.8 USD le baril pour 2013). Cependant, les subventions aux carburants (environ 7.8 % du PIB), qui servent à stabiliser l’inflation, continuent de peser sur la santé budgétaire du pays.
O Governo está a realizar esforços com vista a avançar com o Programa Executivo para a Reforma Tributária (PERT) através do alargamento da base tributária e do aumenta das cobranças, permitindo aliviar a carga actual de tributação sobre o sector petrolífero. De um modo geral, as receitas fiscais (incluindo donativos), em percentagem do PIB, aumentaram de 43.5% em 2010, para 48.8% em 2012, devido ao forte desempenho das receitas petrolíferas. Apesar disso, o principal objectivo da política orçamental, de redução do défice orçamental não-petrolífero, em percentagem do PIB, de 21.9% em 2011, para 20.9% em 2012, não foi alcançado, com o défice a continuar acima de 24.7% do PIB. A médio prazo, Angola deve prosseguir os esforços para melhorar a gestão orçamental e macroeconómica, embora o saldo orçamental primário tenda a cair para 5.9% em 2013, e para 4.7% em 2014, enquanto o Governo revê em alta o seu programa de investimentos no setor público.
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Under the 2009-12 IMF SBA programme, the government made significant efforts to tighten fiscal policy and strengthen public financial management. The rationalisation of current expenditure yielded a fiscal surplus of 8.8% of GDP in 2012 and allowed the authorities to repay domestic arrears of USD 7.5 billion which had been incurred since 2009.
Dans le cadre du programme mis en œuvre au titre de l’Accord de confirmation conclu pour 2009-12 avec le FMI, le gouvernement angolais a fait des efforts significatifs pour resserrer sa politique budgétaire et renforcer sa gestion des finances publiques. La rationalisation des dépenses courantes a permis de dégager un excédent budgétaire de 8.8 % du PIB en 2012, si bien que le pays a pu rembourser 7.5 milliards USD d’arriérés sur sa dette intérieure, accumulés depuis 2009. La dette angolaise paraît gérable et le ratio de la dette publique extérieure sur le PIB a reculé, passant de 19.7 % en 2011 à 19.5 % en 2012. Cependant, il devrait augmenter légèrement pour atteindre 20.4 % en 2013 à la suite de l’attribution de nouvelles lignes de crédit destinées à financer le programme de remise en état de l’infrastructure. En revanche, le ratio de la dette publique intérieure sur le PIB s’est tassé, de 11.8 % en 2011 à moins de 9 % en 2012, sous l’effet de la rationalisation des sources de financement des dépenses. La règle budgétaire instaurée par le gouvernement, qui repose sur l’accumulation de vastes réserves de change, a protégé le pays des effets de la volatilité des cours du pétrole et des chocs extérieurs. La création du fonds souverain, en octobre, est également perçue comme une première étape dans les efforts visant à atténuer l’impact de la volatilité des cours du pétrole sur les dépenses d’investissement et à parvenir à une gestion durable des recettes pétrolières.