subtitle – Traduction – Dictionnaire Keybot

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Keybot 8 Résultats  www.journal.forces.gc.ca
  The Battle of the St. L...  
. The subtitle,
Le sous-titre
  Valour  
, with its ironic volley subtitle of
[Nations damnées] de Sam Nutt, dont le sous-titre
  A War Like No Other: H...  
His approach is signalled in the subtitle he has chosen for the book. For his is not a chronological recitation of events, but rather an examination of the modalities of classical Greek warfare. After a brief summation of the causes and social factors underlying the war, Hanson simply tabulates the main incidents of a civil war that lasted from 431 BC to 404 BC.
Le sous-titre du livre dévoile déjà l'approche empruntée par l'auteur : il ne s'agit pas d'une énumération chronologique des événements mais plutôt d'un examen des modalités de la conduite de la guerre à l'époque de la Grèce classique. Après un bref exposé des causes et des facteurs sociaux sous-jacents au conflit, Hanson brosse simplement un tableau des incidents marquants d'une guerre civile qui s'est étendue de 431 à 404 avant Jésus-Christ. Cette démarche prépare le terrain pour une analyse des stratégies et des méthodes ayant servi à la conduite de la guerre en Grèce classique.
  book-livre-01-eng  
National Historic Site, and provides an overview of Doctor Jim Kenny, an Annapolis Valley native, teaches History what visitors will see when they visit the habitation. at the Royal Military College of Canada. A WAR LIKE NO OTHER: His approach is signalled in the subtitle he has chosen for the book. For his is not a chronological
et de sources secondaires, mais elle n’est pas exhaustive. Le Jim Kenny, Ph. D., est natif de la vallée d’Annapolis et enseigne l’histoire dernier chapitre, qui explique comment Port-Royal est au Collège militaire royal du Canada. A WAR LIKE NO OTHER: ont suivi, et Hanson la ressuscite dans le contexte actuel, caractérisé par le terrorisme, les guerres asymétriques et, HOW THE ATHENIANS
  Intelligence in War: Kn...  
Other studies include Stonewall Jackson’s Shenandoah Valley campaign in 1862, the German cruiser campaign in the Pacific in 1914, Crete 1941, Midway 1942, and The Battle of the Atlantic 1939-45. Despite the book’s subtitle, there is very little about the present war on terrorism.
Comme dans ses autres livres, Keegan illustre sa thèse par des études de cas. Il évoque huit batailles navales et terrestres pour mettre en lumière le rôle de certains aspects du renseignement dans la guerre. Ses études de cas vont de Nelson poursuivant la flotte française dans la Méditerranée et livrant finalement la bataille du Nil dans la baie d’Aboukir, en 1798, jusqu’à une description brève et décevante de la guerre des Malouines, en 1982. Il évoque également, entre autres, la campagne de Stonewall Jackson dans la vallée de Shenandoah, en 1862, et celle des croiseurs allemands dans le Pacifique, en 1914, la Crète en 1941, Midway en 1942 et la bataille de l’Atlantique de 1939 à 1945. Malgré son sous-titre, le livre traite fort peu de la guerre actuelle contre le terrorisme ou de la guerre froide. À une exception près, les études de cas sont surtout des descriptions de batailles. Les références au renseignement se limitent à quelques paragraphes à la fin de chapitres descriptifs. Keegan se plaît davantage à décrire les batailles qu’à analyser la part du renseignement dans leur déroulement, et, quand il se livre à une analyse, c’est généralement pour dénigrer l’importance du renseignement, même si cela contredit les faits qu’il a rapportés. Ce qui me paraît le plus énorme, c’est qu’il nie l’importance du renseignement dans la victoire des alliés lors de la bataille de l’Atlantique, alors qu’il a montré à de nombreuses reprises le rôle clé qu’a joué le renseignement dans cette victoire. La majorité des navires ont traversé l’Atlantique sans encombre parce que les convois suivaient un itinéraire tracé en fonction des renseignements sur la position des sous-marins allemands. C’est quand le renseignement n’aboutissait pas, comme cela est parfois arrivé au cours des six années de la bataille de l’Atlantique, que les sous-marins ont infligé des pertes aux convois.