|
Ayant dit tout cela, nous arrivons à la question de savoir ce que l'on doit faire. De nombreuses personnes actives dans le domaine des droits de la personne en Iran avec qui je parle et travaille — dont certaines ont comparu devant le présent comité — ont dit que, même si initialement elles n'appuyaient pas les sanctions, elles avaient maintenant changé d'avis, disons, depuis le 12 juin. Même si initialement, elles estimaient que l'Iran avait le droit, comme n'importe quel autre pays, d'exploiter l'énergie atomique à des fins pacifiques, elles sont préoccupées par le fait que ce que l'on pourrait appeler les violations « à répétition » des résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU et la tricherie qui s'ensuit, aient en fait invité les sanctions qui, autrement, n'auraient pas été adoptées pour faire mal à l'Iran.
|