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"Dozens of fencing masters graduated from this school and are currently serving throughout Africa, while others even went on to use their experience on other continents. This shows how solid the teaching is within this institution, as well as the quality of the topics learned here by students", underlined the President of the African Confederation. In his view, and given what is going on, EIMA has high standards that need to be maintained and represent an investment to be preserved.
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Ils étaient donc 14 élèves (12 garçons et 2 filles) issue de 11 pays des différentes zones africaines (Niger, Namibie, Ghana, Ouganda, Botswana, Rwanda, Togo, Sénégal, Ile de Maurice, RD Congo et Mali) à avoir subi les cours de formation aux trois armes (Sabre, fleuret et épée) pendant dix mois à l’EIMA. C’est pourquoi le président de la confédération africaine d’escrime (CAE), Mbagnick Ndiaye s’est félicité de la sortie de cette 10ème promotion qui, à son avis, ne fait que renforcer la crédibilité de cette structure d’excellence. « Puisque des dizaines de maîtres d’armes sont issus de cette école et servent partout en Afrique, alors que d’autres sont même allés monnayer leur expérience sur les autres continents. Cela démontre le sérieux des enseignements dispensés au sein de cette structure et la qualité des thèmes que les élèves y apprennent », a souligné le Président de la confédération africaine. Selon lui et au vu de ce qui se fait, l’EIMA dispose d’un bon standing qu’il faut maintenir et constitue un investissement à préserver. « Ce qui devrait permettre de relever le défi de la participation africaine dans les compétitions internationales, mais aussi d’être reconnaissant vis-à-vis de la fédération internationale qui a eu l’ingénieuse idée d’implanter cette école chez nous au Sénégal », a encore souligné Mbagnick Ndiaye. La représentante de la Fédération Internationale d’Escrime, Mme AO Jie, par ailleurs responsable Afrique/Asie, qui a supervisé les travaux de ce stage de passage, a souligné pour sa part que les efforts déployés dans cette école sont bien perçus par la FIE. «C’est pourquoi à chaque sortie de promotion, un expert est envoyé ici pour voir ce qui a été réalisé par les maîtres d’armes », a-t-elle dit. Pour la responsable Afrique/Asie de la FIE, les maîtres d’armes ont fait un excellent travail en amont et en aval et les résultats issus de ce stage le prouvent éloquemment. « C’est pourquoi la FIE est très attentive à ce qui se fait dans cette école et elle ne manquera pas d’apporter toujours son soutien pour la bonne marche des activités en son sein », a-t-elle soutenu. Notons enfin que parmi les pays participants, le Sénégal, le Niger et l’Ouganda étaient les seuls à avoir présenté deux candidats pour cette 10ème promotion.
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