wilhelm – -Translation – Keybot Dictionary

  Wie alles begann  

Show textShow cached sourceOpen source URL	1846: Wilhelm Maybach. Der König der Konstrukteure.
Compare text pagesCompare HTM pagesOpen source URLOpen target URLDefine mercedes-benz.lu as primary domain	1846 : Wilhelm Maybach. Le roi des concepteurs.

  Wie alles begann  

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  Übersicht  

Show textShow cached sourceOpen source URL	Das Museum für historische Maybach-Fahrzeuge in Neumarkt in der Oberpfalz ist die weltweit einzige Ausstellung, die ausschließlich die Entwicklung und die Produkte von Wilhelm und Karl Maybach präsentiert.
Compare text pagesCompare HTM pagesOpen source URLOpen target URLDefine mercedes-benz.lu as primary domain	Sis à « Neumarkt in der Oberpfalz », le musée d’exposition des légendaires limousines Maybach est le seul au monde à présenter exclusivement les développements et les produits de Wilhelm et de Karl Maybach. Il peint le portrait des deux brillants ingénieurs à travers leur histoire et leur lien avec Gottlieb Daimler, le comte Zeppelin ou la société Maybach Motorenbau GmbH.

  Wie alles begann  

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Nach dem Vorbild der „Standuhr“ bauen Gottlieb Daimler und Wilhelm Maybach einen nochmals verkleinerten 1-Zylinder-Motor. Erster Versuchsträger ist ein an ein Fahrrad angelehntes Gefährt mit verstärktem hölzernem Rahmen – der sogenannte „Daimler-Reitwagen“.

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Sur le modèle de l’« horloge », Gottlieb Daimler et Wilhelm Maybach construisent un moteur monocylindre encore plus compact. Le premier véhicule d’essai est un engin ressemblant à un vélo avec cadre en bois renforcé, la première moto surnommée « Reitwagen Daimler » (voiture chevauchable à moteur). En implantant verticalement le moteur dans le cadre en bois Gottlieb Daimler invente en effet – presque fortuitement, la moto. Pour ce « véhicule à moteur à gaz ou au pétrole », comme le document d’enregistrement du dépôt l’indique, Daimler se voit remettre le brevet DRP 36423 le 28 août 1885.

  Historische Orte  

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So als hätten Gottlieb Daimler und Wilhelm Maybach eben erst die Türe abgeschlossen, befindet sich dieses ehemalige Gartenhaus größtenteils noch im Originalzustand von 1882. Damals allerdings war der umgebende Park nicht eine öffentliche Grün-Oase in der Stadt, sondern Teil des Daimlerschen Privatanwesens.

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C'est un peu comme si Gottlieb Daimler et Wilhelm Maybach venaient tout juste d'en refermer les portes : cette ancienne serre a conservé en grande partie son état d'origine de 1882. Le parc qui l'entoure n'était cependant à cette époque pas encore l'espace vert public qu'il est devenu, mais faisait partie intégrante de la propriété privée de la famille Daimler. Ici, les visiteurs peuvent parfaitement percevoir l'atmosphère qui régnait dans l'atelier au cours des années qui ont suivi sa création.

  Mercedes Jellinek – Ein...  

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Der erste neue Wagen, ein Mercedes 35 PS, wird am 22. Dezember 1900 an Jellinek geliefert. Dieser von Wilhelm Maybach entwickelte neue Typ sorgt zu Beginn des Jahrhunderts für Furore: Es ist der modernste Wagen der Welt und gilt zugleich als erstes modernes Automobil.

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Emil Jellinek ne se laisse pas abattre par les revers de fortune et convainc la société DMG de développer une voiture entièrement nouvelle équipée d’un tout nouveau moteur, qui portera le nom de « Daimler-Mercedes ». La première voiture de ce type, une Mercedes 35 ch, est livrée à Jellinek le 22 décembre 1900. Le nouveau modèle développé par Wilhelm Maybach fait sensation en ce début de siècle : le véhicule le plus évolué au monde est également considéré comme la première automobile moderne. Avec la Mercedes 35 ch, la voiture obtient pour la première une forme autonome, qui n’a plus rien de commun avec les constructions de type calèche qui dominent alors le marché.

  Wie alles begann  

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Seine Entstehung verdankt diese richtungweisende Konstruktion, die als erstes modernes Automobil gilt, nicht nur dem konstruktiven Genie von Wilhelm Maybach, sondern auch der Initiative von Emil Jellinek.

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Décédé prématurément, Gottlieb Daimler ne connaîtra pas l’une des conceptions de Maybach les plus prodigieuses pour l'entreprise commune : la première Mercedes qui fera fureur à la « semaine de Nice » en mars 1901. Il s’agit d’un véhicule léger et puissant doté d’un centre de gravité bas qui se démarque nettement de toutes les voitures construites jusque-là. La Mercedes 35 ch confère à l’automobile sa forme originale et met ainsi fin à l’ère des calèches dans la construction automobile. Considérée comme la première automobile moderne, cette conception qui ouvre la voie de l’avenir n’est pas née du seul génie créatif de Wilhelm Maybach ; elle doit également sa naissance à l’initiative d’Emil Jellinek. Cet homme d’affaires passionné d’automobiles, propriétaire de résidences à Baden, près de Vienne, et à Nice, commande sa première voiture Daimler en 1897 et exige depuis lors des voitures toujours plus puissantes et plus rapides de Maybach et de la DMG. Avec des victoires spectaculaires en courses et des chiffres de vente impressionnants, les voitures Mercedes marquent le début d’une nouvelle ère.

  Philosophie  

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Die Produkte von Mercedes-Benz machen es einem leicht, sich in sie zu verlieben, denn sie sind unwiderstehlich – kurz: sie sind hot. Damit symbolisieren sie die eine Seite des Markenkerns, welche von Gottlieb Wilhelm Daimler und mit ihm der Ära der frühen Rennwagen und Classic Cars geprägt ist.

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La philosophie de pureté sensuelle résume parfaitement un aspect essentiel de la marque : l'imbrication de l'intelligence et de l'émotion. Pour les designers, un design réussi doit être à la fois beau et intelligent ou, en d'autres termes, « hot » et « cool ». Les clients n'auront aucun mal à tomber sous le charme des produits Mercedes-Benz car ceux-ci sont littéralement irrésistibles – autrement dit : ils sont « hot ». Ils symboisent ainsi l'une des facettes de la marque qui porte l'empreinte de Gottlieb Wilhelm Daimler et avec lui, de l'ère des anciennes voitures de course et des voitures classiques. L'autre facette est marquée par la raison, elle évoque plutôt Carl Friedrich Benz. Il incarne la réduction et la technologie – les produits sont « cool », un aspect qui relève de l'inattendu et du jamais vu. Avec cette philosophie, les designers conçoivent non seulement des automobiles, mais aussi tout un univers de luxe moderne.

  Philosophie  

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Die Ratio und der Verstand bilden eine Seite des Markenkerns von Mercedes-Benz, wofür symbolisch Carl Friedrich Benz steht. Die andere Seite ist geprägt von Gottlieb Wilhelm Daimler und der Ära der frühen Rennwagen und Classic Cars, weshalb Begeisterung, Begehren und Genuss wichtig für die Marke sind.

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Le design permet de concevoir l'exceptionnel et contribue de manière essentielle à forger l'image de marque dans l'opinion publique. C'est en jouant entre tradition et modernité que les designers de Mercedes-Benz dessinent aujourd'hui les voitures de demain. Leurs créations sont guidées par la pureté sensorielle, comme définition du luxe moderne. Elle résume parfaitement un aspect essentiel de la marque : l'imbrication de l'intelligence et de l'émotion. La raison et toutes les notions rationnelles constituent une partie de l'essence de la marque Mercedes-Benz, symbolisée par Carl Friedrich Benz. L'autre partie est marquée par Gottlieb Wilhelm Daimler et l'ère des premières voitures de course et des Classic Cars, ce qui explique pourquoi l'enthousiasme, le désir et le plaisir sont des notions importantes pour la marque. L’objectif de la philosophie stylistique est de créer des formes épurées et des surfaces à forte charge émotionnelle mêlant technologie de pointe et émotions. Telle est la stratégie de mise en scène de la marque et de ses produits.

  Wie alles begann  

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Gottlieb Daimler und Wilhelm Maybach arbeiten in Cannstatt an folgender Herausforderung: Um ein Fahrzeug zu betreiben, muss der Motor eine hohe Leistung bereitstellen. Die damals verfügbaren Antriebsmaschinen sind jedoch zu groß und zu schwer für den Einbau in ein Fahrzeug.

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A Cannstatt, Gottlieb Daimler et Wilhelm Maybach s’attachent à relever le défi suivant : pour animer un véhicule, le moteur doit fournir une puissance élevée. Les machines d’entraînement disponibles sont cependant trop volumineuses et trop lourdes pour une implantation dans un véhicule. Les deux complices doivent d’abord développer le concept d’entraînement pour l’automobile telle que Daimler la conçoit en miniaturisant les constructions existantes. Dans ce contexte, l’architecture compacte et le gain de poids constituent des facteurs de succès décisifs. Soucieux de répondre à ces critères, Daimler et Maybach construisent un moteur d’essai à cylindre vertical qui, en raison de son esthétique particulière, héritera du surnom d’« horloge ». Sur la première version de 1884, sa puissance est d’1 ch (0,8 kW) à 600 tours par minute. Avec cette conception, Daimler et Maybach jettent les bases d’une implantation dans un véhicule.

  Frauen und Motorsport  

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Ernes Merck wurde als Tochter eines Industriellen aus Darmstadt geboren. Ihr Ehemann Wilhelm Merck, Fabrikbesitzer, brachte sie zum Motorsport. Sie teilte bald seine Leidenschaft für schnelle Automobile.

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Elle incarne la femme moderne et aisée des années 20 – aventurière et animée d’une véritable passion pour l’automobile. A une époque où les femmes se voient tout juste accorder le droit de vote, le pilotage d’une voiture de sport par une femme est considéré comme inconvenant et scandaleux. Ernes Merck est la fille d’un industriel de Darmstadt. Son mari, Wilhelm Merck, propriétaire d’usine, lui fait connaître le sport automobile. Elle partage bientôt sa passion pour les automobiles rapides. Très vite, elle prend le volant et roule à des vitesses élevées. En 1922, Erns participe à sa première course et franchit la ligne d’arrivée en « position d’honneur ». Elle améliore par la suite ses aptitudes en course et se hisse jusqu’à la tête du classement. Dans de nombreuses courses, la pilote d’usine laisse de fiers compétiteurs sur le carreau.

  Wie alles begann  

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Wilhelm Maybach wird am 9. Februar 1846 in Heilbronn geboren. Als er mit zehn Jahren Vollwaise wird, nimmt sich das Reutlinger Bruderhaus seiner an. In dessen Maschinenfabrik lernt er 1865 Gottlieb Daimler kennen.

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Wilhelm Maybach naît le 9 février 1846 à Heilbronn. A l’âge de 10 ans, il devient orphelin et entre à la Reutlinger Bruderhaus. Là, il fait la connaissance de Gottlieb Daimler en 1865 dans l'atelier de construction mécanique. C'est le début d'une amitié qui durera toute une vie. Maybach suit Daimler à Karlsruhe puis en 1872 lorsqu'il rejoint les usines de moteurs Deutz – d'abord comme dessinateur puis comme ingénieur en chef à partir de 1873. En 1884, Maybach et Daimler développent à Cannstatt un moteur thermique léger et rapide. Quand Daimler fonde en novembre 1890 la Daimler-Motoren-Gesellschaft (DMG) avec Max Duttenhofer et Wilhelm Lorenz, Maybach en devient le concepteur en chef. En raison des conditions insatisfaisantes du contrat, il entre en désaccord avec Duttenhofer et Lorenz. A partir de février 1891, Maybach bénéficie d'un financement secret de la part de Daimler qui lui permet de développer avec une petite équipe à l'hôtel Hermann de Cannstatt l'entraînement par courroie, le moteur Phoenix et le carburateur à gicleurs – des inventions qui seront décisives par la suite. L'industriel anglais Frederick Simms propose à la DMG de racheter des droits de licence, ce qui permet à Daimler et Maybach de réintégrer la DMG en novembre 1895. C'est le début de développements intenses pour Maybach et les constructions imaginées à l'hôtel Hermann peuvent enfin être intégrées à la production en série. Résultat majeur : la voiture à courroie – la première voiture vendue par la DMG à un nombre dʼexemplaires considérable. En avril 1907, Maybach quitte la DMG suite à des différends et construit avec ses fils, sous son propre nom, des véhicules devenus aujourd'hui légendaires. Le 29 décembre 1929, il s'éteint à Cannstatt.

  Wie alles begann  

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Ende 1863 wird er Werkstätteninspektor in einer Reutlinger Maschinenfabrik. Hier trifft er 1865 Wilhelm Maybach. 1872 folgt eine Stelle als technischer Leiter der Gasmotorenfabrik Deutz, wo er das Ottosche Viertaktprinzip kennenlernt.

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Gottlieb Daimler naît le 17 mars 1834 à Schorndorf. Une formation d'armurier en poche, il étudie la construction mécanique à l'Ecole Polytechnique de Stuttgart. Fin 1863, il est engagé comme superviseur d'atelier dans une usine de construction mécanique à Reutlingen, où il fait la connaissance de Wilhelm Maybach en 1865. A partir de 1872, il est directeur technique de la Gasmotorenfabrik Deutz et y découvre le principe du moteur à quatre temps d'Otto. En 1882, Daimler quitte l'entreprise et aménage un atelier expérimental dans la serre de sa villa de Cannstatt. En 1884, il met au point avec Maybach un moteur thermique compact et léger surnommé l'« horloge ». Les bases d'une implantation dans un véhicule sont jetées ! Daimler a alors besoin de capitaux. En 1890, il fonde avec Max Duttenhofer et Wilhelm Lorenz la « Daimler-Motoren-Gesellschaft ». Rapidement, le désaccord s'installe entre Duttenhofer qui veut fabriquer des moteurs stationnaires, et Daimler qui tient plus que tout à la production de véhicules à moteur. Maybach quitte l'entreprise. Daimler ruse : les deux complices continuent de construire des moteurs mais enregistrent tous les brevets au nom de Maybach. Plus tard, Duttenhofer et Lorenz excluent Daimler comme actionnaire. En 1895, l'industriel anglais Frederick Simms propose d'acquérir pour environ 350 000 marks les droits de licence du moteur Phoenix construit par Maybach, ce qui permet à Daimler et Maybach de réintégrer la DMG. La DMG connaît une ascension inespérée. Maybach est nommé directeur technique et Gottlieb Daimler est conseil et superviseur général au conseil de surveillance. Le 6 mars 1900, Daimler succombe à un infarctus.

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Wilhelm Maybach wird am 9. Februar 1846 in Heilbronn geboren. Als er mit zehn Jahren Vollwaise wird, nimmt sich das Reutlinger Bruderhaus seiner an. In dessen Maschinenfabrik lernt er 1865 Gottlieb Daimler kennen.

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Wilhelm Maybach naît le 9 février 1846 à Heilbronn. A l’âge de 10 ans, il devient orphelin et entre à la Reutlinger Bruderhaus. Là, il fait la connaissance de Gottlieb Daimler en 1865 dans l'atelier de construction mécanique. C'est le début d'une amitié qui durera toute une vie. Maybach suit Daimler à Karlsruhe puis en 1872 lorsqu'il rejoint les usines de moteurs Deutz – d'abord comme dessinateur puis comme ingénieur en chef à partir de 1873. En 1884, Maybach et Daimler développent à Cannstatt un moteur thermique léger et rapide. Quand Daimler fonde en novembre 1890 la Daimler-Motoren-Gesellschaft (DMG) avec Max Duttenhofer et Wilhelm Lorenz, Maybach en devient le concepteur en chef. En raison des conditions insatisfaisantes du contrat, il entre en désaccord avec Duttenhofer et Lorenz. A partir de février 1891, Maybach bénéficie d'un financement secret de la part de Daimler qui lui permet de développer avec une petite équipe à l'hôtel Hermann de Cannstatt l'entraînement par courroie, le moteur Phoenix et le carburateur à gicleurs – des inventions qui seront décisives par la suite. L'industriel anglais Frederick Simms propose à la DMG de racheter des droits de licence, ce qui permet à Daimler et Maybach de réintégrer la DMG en novembre 1895. C'est le début de développements intenses pour Maybach et les constructions imaginées à l'hôtel Hermann peuvent enfin être intégrées à la production en série. Résultat majeur : la voiture à courroie – la première voiture vendue par la DMG à un nombre dʼexemplaires considérable. En avril 1907, Maybach quitte la DMG suite à des différends et construit avec ses fils, sous son propre nom, des véhicules devenus aujourd'hui légendaires. Le 29 décembre 1929, il s'éteint à Cannstatt.

  Wie alles begann  

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Wie Gottlieb Daimler und Wilhelm Maybach muss er Mittel und Wege finden, die Drehzahl zu erhöhen – und wie die Cannstatter Ingenieure befasst er sich dazu vor allem mit der Zündung und der Ventilsteuerung.

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Le succès financier de son usine de moteur à gaz assure à Carl Benz la base économique qui lui permettra de se consacrer à sa vision d’un véhicule motorisé. Son moteur à deux temps étant trop volumineux et trop lourd pour une implantation dans un véhicule, Benz mise sur le principe du moteur à quatre temps. A l’instar de Gottlieb Daimler et Wilhelm Maybach, il doit trouver des moyens pour augmenter le régime. Comme les ingénieurs de Cannstatt, il se penche avant tout sur l’allumage et la commande des soupapes. Son moteur « n’affiche que » 400 tr/min, ce qui est inférieur à la conception de Daimler, mais il fournit la puissance nécessaire pour animer une « voiture sans chevaux ». Carl Benz démontre tout son savoir-faire lors du développement du véhicule : au lieu d’implanter son moteur dans un engin existant, il conçoit sa voiture à moteur comme une construction intégrale et originale dont la pièce maîtresse est le moteur à cylindre couché et volant moteur grand format horizontal. Benz propose son engin totalement novateur en version tricycle car la direction à sellette pivotante utilisée à l’époque sur les calèches ne le satisfait pas. En octobre 1885, Benz lance une série d’essais. Le 29 janvier 1886, il prend une décision historique : il dépose un brevet pour son « véhicule à moteur à gaz » auprès de l’Office impérial des brevets. Le fascicule du brevet DRP 37435 est considéré comme l’acte de naissance de l’automobile. L’appellation « voiture à moteur brevetée » utilisée pour désigner la première voiture du monde restera à jamais gravée dans les esprits.

  Wie alles begann  

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Im Oktober 1882 gründet Benz die „Gasmotorenfabrik Mannheim“, verlässt sie aber schon im Januar 1883. Mit Max Rose und Friedrich Wilhelm Eßlinger gründet er im Oktober 1883 die Firma „Benz & Cie. Rheinische Gasmotoren-Fabrik Mannheim“ und bringt den Zweitaktmotor „System Benz“ auf den Markt.

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Carl Benz naît le 25 novembre 1844 à Karlsruhe. Après ses études de construction mécanique, le jeune ingénieur gravit rapidement les échelons, simple serrurier, concepteur, puis chef d’atelier. En août 1871, il fonde avec August Ritter la société « Carl Benz et August Ritter, ateliers mécaniques » à Mannheim. Ritter est un partenaire peu fiable. Pour lui permettre de se séparer de lui, Bertha Ringer, l'épouse de Benz offre sa dot. Carl Benz a l'idée d’un véhicule sans chevaux. A partir de 1878, il travaille d’arrache-pied à la conception d’un moteur à deux temps sur la base d’un moteur à gaz. Après de longs essais, ce moteur présente pour la première fois un fonctionnement satisfaisant dans la nuit de la Saint-Sylvestre 1879. En octobre 1882, Benz crée la société par actions « Gasmotorenfabrik Mannheim » qu'il quitte cependant dès janvier 1883. En octobre 1883, il fonde avec Max Rose et Friedrich Wilhelm Eßlinger la société « Benz & Cie. Rheinische Gasmotoren-Fabrik Mannheim » et commercialise le moteur à deux temps « Système Benz ». Tandis que Benz œuvre à la réalisation de sa vision automobile, ses partenaires commerciaux Rose et Eßlinger sont plutôt sceptiques sur leurs perspectives d’avenir. En mai 1890, Julius Ganß et Friedrich von Fischer prennent le relais de Rose et Eßlinger. La production à la fois de moteurs stationnaires et de moteurs de véhicules connaît un véritable succès, mais Benz souhaite se consacrer exclusivement à la construction automobile. En 1906, il fonde à Ladenburg la société « Carl Benz Söhne » dont il confie la direction à ses fils en 1912. Benz a la chance d'assister à la percée de ses idées, à partir de 1926, alors qu'il est membre du conseil de surveillance de la nouvelle Daimler-Benz AG. Le 4 avril 1929, il décède dans sa maison de Ladenburg.

  Frauen und Motorsport  

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1927 nahm sie zweimal am Rennen über den Klausenpass in der Schweiz teil, dem zum damaligen Zeitpunkt populärsten und schwierigsten Bergrennen. Dort forderte sie nicht nur ihren Ehemann Wilhelm heraus, sondern auch den legendären Rudolf Caracciola – den erfolgreichsten deutschen Rennfahrer vor dem II. Weltkrieg.

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En 1927, elle participe deux fois à la course du Col du Klausen en Suisse, la course de côtes la plus populaire et la plus difficile de l’époque. Elle y défie non seulement son mari Wilhelm, mais aussi le légendaire Rudolf Caracciola – le pilote de course allemand le plus titré avant la Seconde . Guerre mondiale. Lors du week-end du 13/14 juillet 1927, Ernes prend part à la course du Col de Klausen au volant de sa Mercedes-Benz Type S de 180 ch dans la catégorie des voitures de course, aux côtés de plus grands véhicules de 5 à 8 litres de cylindrée. Ernes Merck reste au-dessous de la marque magique de 20 minutes et franchit la ligne d’arrivée en deuxième position. A la surprise générale, elle réédite son exploit de la veille et bat non seulement son mari, mais aussi plusieurs pilotes de renom. Seul Caracciola sur Mercedes-Benz devance la jeune femme. Même si elle ne gagne pas cette fois-ci, Ernes Merck devient une célébrité de la compétition automobile.

  Béla Barényi, der Leben...  

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Mit dem Gefühl, nichts zu verlieren zu haben, fordert er sein Glück ein weiteres Mal heraus. Diesmal erhält er die Chance, den Vorstand Wilhelm Haspel in einem Vieraugengespräch von seinen Qualifikationen zu überzeugen.

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Pendant sa seule activité chez GETEFO/SOPROTEC, il dépose plus de 150 brevets. Mais ses jours chez GETEFO sont eux aussi comptés : Début 1939, il se retrouve encore une fois sur le marché du travail. Abattu, il cherche à nouveau un poste. C'est alors qu'il repense à ses rêves d'enfant et à l'Austro-Daimler de sa famille. Il postule chez Mercedes-Benz. Et essuie un refus. Avec le sentiment de n'avoir rien à perdre, il tente sa chance à nouveau. Cette fois-ci, il a la chance de rencontrer le président du directoire Wilhelm Haspel et de faire valoir ses qualifications. Béla Barényi ne mâche pas ses mots en perfectionniste passionné qu'il est, indiquant clairement à Haspel les erreurs commises à l'époque par le département Conception. Haspel détecte le potentiel immense du jeune homme. « Monsieur Barényi, vous êtes 15 à 20 ans en avance sur votre époque. Vous allez intégrer le site de Sindelfingen. Ce que vous inventerez ira directement au service des brevets. » Barényi n'aura plus jamais à rédiger de lettre de candidature.

  Sternstunden der Rennge...  

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Der Siegeszug des Automobils hält um die Jahrhundertwende Einzug in alle Bereiche des Lebens und auch der Rennsport gewinnt zunehmend an Attraktivität. Für die Rennwoche von Nizza baut Wilhelm Maybach ein wegweisendes Automobil mit einem 5,9 l großen, als Frontmotor eingebauten Vierzylinder.

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L’ascension victorieuse de l’automobile se poursuit jusqu’au tournant du siècle dans tous les domaines, y compris dans le sport automobile qui gagne de plus en plus d’adeptes. Wilhelm Maybach construit pour la course de Nice une voiture avant-gardiste dotée d’un énorme moteur quatre cylindres monté à l’avant, d’une cylindrée de 5,9 litres capable de délivrer 35 ch (26 kW), pour une vitesse maxi de 100 km/h. Cette voiture moderne sera la première à porter le nom « Mercedes » et cʼest grâce à Emil Jellinek, ami d’affaires de Gottlieb Daimler, décédé en mars 1900. Jellinek insiste en effet pour que le véhicule porte le nom de « Daimler-Mercedes », en hommage à sa fille. La première Mercedes remporte facilement la course Nice-Aix-Salon-Nice. Le pilote Wilhelm Werner avale les 392 km à une vitesse moyenne de 58,1 km/h. Se détachant résolument de la calèche, la conception frontale du moteur influence de manière décisive l’ensemble des constructeurs automobiles à lʼéchelle mondiale dans la conception future des véhicules à moteur de toute sorte. Le succès du nouveau modèle est tellement impressionnant que Paul Meyan, secrétaire général de l’Automobile Club de France écrit : « Nous sommes entrés dans l’ère Mercedes ».

  Sternstunden der Rennge...  

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Der Siegeszug des Automobils hält um die Jahrhundertwende Einzug in alle Bereiche des Lebens und auch der Rennsport gewinnt zunehmend an Attraktivität. Für die Rennwoche von Nizza baut Wilhelm Maybach ein wegweisendes Automobil mit einem 5,9 l großen, als Frontmotor eingebauten Vierzylinder.

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L’ascension victorieuse de l’automobile se poursuit jusqu’au tournant du siècle dans tous les domaines, y compris dans le sport automobile qui gagne de plus en plus d’adeptes. Wilhelm Maybach construit pour la course de Nice une voiture avant-gardiste dotée d’un énorme moteur quatre cylindres monté à l’avant, d’une cylindrée de 5,9 litres capable de délivrer 35 ch (26 kW), pour une vitesse maxi de 100 km/h. Cette voiture moderne sera la première à porter le nom « Mercedes » et cʼest grâce à Emil Jellinek, ami d’affaires de Gottlieb Daimler, décédé en mars 1900. Jellinek insiste en effet pour que le véhicule porte le nom de « Daimler-Mercedes », en hommage à sa fille. La première Mercedes remporte facilement la course Nice-Aix-Salon-Nice. Le pilote Wilhelm Werner avale les 392 km à une vitesse moyenne de 58,1 km/h. Se détachant résolument de la calèche, la conception frontale du moteur influence de manière décisive l’ensemble des constructeurs automobiles à lʼéchelle mondiale dans la conception future des véhicules à moteur de toute sorte. Le succès du nouveau modèle est tellement impressionnant que Paul Meyan, secrétaire général de l’Automobile Club de France écrit : « Nous sommes entrés dans l’ère Mercedes ».

  Die Formel 1 zündet den...  

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Für Mercedes-Benz reicht die Verbindung zwischen Hybridtechnik und Motorsport sogar noch viel weiter zurück - genau genommen mehr als ein Jahrhundert. Die ersten Experimente von Daimler-Chefingenieur Wilhelm Maybach konzentrierten sich in den frühen 1900er Jahren darauf, einen Ottomotor mit alternativen Antriebstechnologien zu verknüpfen.

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Le concept consistant à utiliser le moteur comme unique source de propulsion a été abandonné en Formule 1 il y a déjà plusieurs années suite à l'apparition du système KERS Hybrid Power lors de la saison 2009 et de son utilisation de 2011 à 2013. Les nouveaux systèmes hybrides utilisés au cours de la saison 2014 présentent une bien plus longue portée. Pour Mercedes-Benz, la relation entre la technologie hybride et le sport automobile remonte à bien longtemps, il y a plus d'un siècle. Au début des années 1900, les premiers essais réalisés pour Daimler par l'ingénieur en chef Wilhelm Maybach consistaient déjà à allier un moteur essence à des propulsions alternatives.

  Wie alles begann  

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Im Oktober 1883 gründet Carl Benz zusammen mit dem Kaufmann Max Kaspar Rose und dem Handelsvertreter Friedrich Wilhelm Eßlinger die Benz & Co. Rheinische Gasmotoren-Fabrik (nach 1899 Benz & Cie.) in Mannheim.

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En octobre 1883, Carl Benz crée avec l’homme d’affaires Max Kaspar Rose et le représentant de commerce Friedrich Wilhelm Eßlinger la société Benz & Co. Rheinische Gasmotoren-Fabrik (rebaptisée Benz & Cie. en 1899) à Mannheim. L’activité est florissante et le nombre de collaborateurs augmente rapidement pour atteindre 25. La toute jeune société octroie même des licences pour la construction de moteurs à gaz. La demande de moteurs stationnaires en hausse l'oblige à déménager vers un site de fabrication plus grand. Alors que Carl Benz travaille d’arrache-pied au développement d’un moteur de voiture, ses partenaires commerciaux considèrent les perspectives d’avenir de l’invention de Benz avec de plus en plus de scepticisme et quittent l'entreprise en 1890. L’arrivée des nouveaux associés Julius Ganß et Friedrich von Fischer permet à la Rheinische Gasmotoren-Fabrik Benz & Cie. de devenir la deuxième plus grande usine de moteurs d’Allemagne et jusqu’au tournant du siècle, le premier constructeur automobile au monde. La prospérité économique arrive avec le vélocipède à moteur et quatre roues, surnommé « Vélo », produit entre 1894 et 1901 - une voiture bon marché et légère conçue pour deux personnes. Compte tenu des chiffres de production - environ 1 200 exemplaires - elle peut être considérée comme la toute première automobile de grande série. En 1897, Benz développe un moteur à cylindres opposés, l’ancêtre des moteurs boxer actuels. L'entreprise réussit ainsi à satisfaire la demande croissante de véhicules plus puissants. De 1890 à 1899, l’effectif passe de 50 à 430 personnes. En 1899, 572 véhicules sont construits chez Benz ; leur nombre passera à 603 l’année suivante.

  Mercedes Jellinek – Ein...  

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Bei diesen Gelegenheiten bringt Jellinek Daimler die Idee nahe, dass der Hersteller mit eigenen Autos und unter eigenem Namen Rennen und Zuverlässigkeitsfahrten bestreiten soll und überzeugt ihn und Konstrukteur Wilhelm Maybach, dass die Zukunft des Automobils in der Geschwindigkeit und Eleganz liegt.

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Jellinek prospecte dans les plus hautes sphères de la société pour les nouveaux véhicules construits à Cannstatt. Personnellement, l’inventeur de l’automobile stuttgartois et le vendeur de voitures mondain s’entendent également bien : Gottlieb Daimler a ainsi invité plusieurs fois Jellinek et sa fille Mercedes dans sa villa. C’est à ces occasions que Jellinek familiarise Daimler avec l’idée de participer aux courses et aux parcours de fiabilité avec ses propres voitures et sous son propre nom. Il le convainc, de même que le constructeur Wilhelm Maybach, que l’avenir de l’automobile réside dans la vitesse et l’élégance. Jellinek ne voit cependant pas dans la vitesse une incitation à l’imprudence, mais plutôt la vraie quintessence d’un véhicule automobile : « Si je ne peux pas aller plus vite dans une voiture qu’avec un attelage, autant que je retourne à la calèche tirée par des chevaux ! »

  Wie alles begann  

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Ende 1863 wird er Werkstätteninspektor in einer Reutlinger Maschinenfabrik. Hier trifft er 1865 Wilhelm Maybach. 1872 folgt eine Stelle als technischer Leiter der Gasmotorenfabrik Deutz, wo er das Ottosche Viertaktprinzip kennenlernt.

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Gottlieb Daimler naît le 17 mars 1834 à Schorndorf. Une formation d'armurier en poche, il étudie la construction mécanique à l'Ecole Polytechnique de Stuttgart. Fin 1863, il est engagé comme superviseur d'atelier dans une usine de construction mécanique à Reutlingen, où il fait la connaissance de Wilhelm Maybach en 1865. A partir de 1872, il est directeur technique de la Gasmotorenfabrik Deutz et y découvre le principe du moteur à quatre temps d'Otto. En 1882, Daimler quitte l'entreprise et aménage un atelier expérimental dans la serre de sa villa de Cannstatt. En 1884, il met au point avec Maybach un moteur thermique compact et léger surnommé l'« horloge ». Les bases d'une implantation dans un véhicule sont jetées ! Daimler a alors besoin de capitaux. En 1890, il fonde avec Max Duttenhofer et Wilhelm Lorenz la « Daimler-Motoren-Gesellschaft ». Rapidement, le désaccord s'installe entre Duttenhofer qui veut fabriquer des moteurs stationnaires, et Daimler qui tient plus que tout à la production de véhicules à moteur. Maybach quitte l'entreprise. Daimler ruse : les deux complices continuent de construire des moteurs mais enregistrent tous les brevets au nom de Maybach. Plus tard, Duttenhofer et Lorenz excluent Daimler comme actionnaire. En 1895, l'industriel anglais Frederick Simms propose d'acquérir pour environ 350 000 marks les droits de licence du moteur Phoenix construit par Maybach, ce qui permet à Daimler et Maybach de réintégrer la DMG. La DMG connaît une ascension inespérée. Maybach est nommé directeur technique et Gottlieb Daimler est conseil et superviseur général au conseil de surveillance. Le 6 mars 1900, Daimler succombe à un infarctus.