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C'est la même chose dans l'affaire Kazemi, même si les circonstances sont légèrement différentes, parce que bien sûr, Mme Kazemi était Canadienne à l'époque où elle a été violentée. Cette cause est d'ailleurs toujours en appel. Comme nous l'avons expliqué, Stephan a été autorisé à aller de l'avant. Mais on n'a pas tenu compte des mauvais traitements qu'avait subis Zahra Kazemi, à l'époque, pour se prévaloir d'un droit en vertu de la Loi sur l'immunité des États, parce que le tribunal avait refusé de reconnaître l'exception qui s'applique dans les cas de torture. On va interjeter appel de toutes ces décisions. Par conséquent, rien n'est encore joué.
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