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Enfin, il incombe à tous les États membres de l’Organisation des Nations Unies de faire partie de la solution et non du problème. Le Canada demeure profondément préoccupé par toute forme d’exploitation ou de violences sexuelles commises par des membres du personnel de l’ONU, des Casques bleus ou des membres de forces non onusiennes. Les États membres, y compris tous les membres du Conseil de sécurité, doivent donner suite à leur promesse de tolérance zéro en prenant des mesures concrètes et efficaces concernant leur propre personnel. Surtout, ils ne doivent pas s’opposer aux initiatives clés proposées par le Secrétaire général pour aider à guérir l’ONU de ce cancer.
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